Source : UNIFAN
Deux institutions s’en partagent la charge: le Ministère de l’Education et le département éducatif de la mairie de votre ville.
Le Ministère de l’Education Nationale nomme, forme et supervise le personnel enseignant. Il porte aussi la responsabilité des programmes scolaires.
Le département éducatif de la mairie de votre ville est responsable des bâtiments, des services accordés par l’école comme les services dentaires, les visites médicales et les vaccinations gratuites.
Frais de scolarité
S’il est vrai que de la maternelle à la terminale, dans le courant laïque ou religieux, la scolarité est gratuite, vous aurez tout de même à votre charge l’achat des livres, les fournitures scolaires, les frais de transports, les frais de gestion (Dmeï Chikloul) l’excursion annuelle (Tyioul shnati) les activités culturelles et l’utilisation du matériel dans les ateliers. Ces frais varient d’une école à l’autre.
Les enfants scolarisés sont assurés par le Ministère de l’Education. Pour tout accident survenu à l’intérieur de l’école, il faut s’adresser au Ministère et présenter une demande d’indemnité.
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vendredi 30 novembre 2007
Le système scolaire israélien.
Source : UNIFAN
En Israël la scolarisation est obligatoire et gratuite de 5 à 16 ans.
Le système d’enseignement israélien compte quatre courants :
- Ecole d’Etat - Mamlahti
- Ecole d’état religieuse - Mamlahti Dati
- Ecole privée reconnue par le ministère de l’Education nationale Hinoukh Prati
- Ecole privée non reconnue par le ministère de l’Education - Hinoukh Atsmaï.
1. Ecole d’Etat - Beit Sefer Mamlakhti
Les programmes sont établis et contrôlés par le ministère de l’Education nationale. L’enseignement d’Etat met l’accent sur les valeurs de la société israélienne.
2. Ecole d’Etat religieuse-Beit Sefer Mamlakhti Dati
Les programmes sont établis et contrôlés par le ministère de l’Education nationale, et supervisés par les représentants de l’enseignement religieux. L’étude des fêtes et des textes bibliques est aussi bien axée sur le contenu spirituel que sur le contenu historique. L’enseignement est donné dans un cadre de vie religieux. Dans la plupart de ces écoles, des heures d’études sont ajoutées au programme quotidien pour lesquelles les parents payent une contribution.
3. Ecole privée reconnue par le ministère de l’Education nationale – Beit Sefer Prati
Il existe différents courants avec des programmes différents (religieux, laïque, technologique...) L’école est en droit de choisir elle-même ses professeurs et élèves. La scolarisation y est payante. Ces écoles élaborent leurs programmes en fonction de ceux du ministère de l’Education Nationale, et préparent les élèves au baccalauréat.
4. Ecole privée non reconnue par le ministère de l’Education - Hinoukh Atsmaï Ecoles privées à tendance orthodoxe. Elles sont indépendantes dans la conception de leurs programmes et ne préparent pas au baccalauréat sauf exception.
Les enfants nouveaux immigrants scolarisés dans les écoles non reconnues par le ministère de l’Education ne bénéficient pas des avantages accordés par celui-ci.
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En Israël la scolarisation est obligatoire et gratuite de 5 à 16 ans.
Le système d’enseignement israélien compte quatre courants :
- Ecole d’Etat - Mamlahti
- Ecole d’état religieuse - Mamlahti Dati
- Ecole privée reconnue par le ministère de l’Education nationale Hinoukh Prati
- Ecole privée non reconnue par le ministère de l’Education - Hinoukh Atsmaï.
1. Ecole d’Etat - Beit Sefer Mamlakhti
Les programmes sont établis et contrôlés par le ministère de l’Education nationale. L’enseignement d’Etat met l’accent sur les valeurs de la société israélienne.
2. Ecole d’Etat religieuse-Beit Sefer Mamlakhti Dati
Les programmes sont établis et contrôlés par le ministère de l’Education nationale, et supervisés par les représentants de l’enseignement religieux. L’étude des fêtes et des textes bibliques est aussi bien axée sur le contenu spirituel que sur le contenu historique. L’enseignement est donné dans un cadre de vie religieux. Dans la plupart de ces écoles, des heures d’études sont ajoutées au programme quotidien pour lesquelles les parents payent une contribution.
3. Ecole privée reconnue par le ministère de l’Education nationale – Beit Sefer Prati
Il existe différents courants avec des programmes différents (religieux, laïque, technologique...) L’école est en droit de choisir elle-même ses professeurs et élèves. La scolarisation y est payante. Ces écoles élaborent leurs programmes en fonction de ceux du ministère de l’Education Nationale, et préparent les élèves au baccalauréat.
4. Ecole privée non reconnue par le ministère de l’Education - Hinoukh Atsmaï Ecoles privées à tendance orthodoxe. Elles sont indépendantes dans la conception de leurs programmes et ne préparent pas au baccalauréat sauf exception.
Les enfants nouveaux immigrants scolarisés dans les écoles non reconnues par le ministère de l’Education ne bénéficient pas des avantages accordés par celui-ci.
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jeudi 29 novembre 2007
Description des principales caractéristiques du système bancaire israélien.
Source : Esther Amar-Essec-France, Tsion Consultants, www.tsioncslt.com, Tél : 02-5861239
Il y a de nombreuses banques en Israël, plus ou moins spécialisées selon les secteurs d'activité. Les banques les plus importantes par ordre décroissant sont :
- La banque Hapoalim
- La banque Leoumi
- La banque Discount
- La banque Habenleoumi Harishon
- La banque Mizrahi
Toutes ces banques offrent des services divers aux entreprises dont les coûts et l'efficacité présentent des écarts importants. Cela tient à plusieurs causes:
D'abord il faut savoir que les agences de chaque réseau disposent d'une autonomie stratégique élevée. Entre deux agences de la banque Hapoalim à proximité l'une de l'autre, la gestion des risques peut être radicalement opposée en fonction des options de la direction. Il est donc une question préalable que posent les entrepreneurs au consultant chargé du "business plan" : quelle est la banque et l'agence la plus adaptée à notre projet? C'est pourquoi avant d'ouvrir un compte commercial, l'investisseur français aura intérêt à évaluer exactement ses besoins et à constituer un dossier détaillé de son projet de façon à le présenter à plusieurs agences avant de déterminer son choix auprès de la banque et de l'agence qui offrira le plus de flexibilité pour la gestion de son entreprise. C'est d'autant plus nécessaire que tout se négocie dans les banques en Israël, de la petite commission aux garanties bancaires nécessaires à l'obtention d'un découvert ou financement particulier. Les pièces maîtresses de la négociation pour un financement d'un projet est évidemment le Business plan et la trésorerie prévisionnelle que l'entrepreneur aura soin de faire préparer par un cabinet spécialisé. Cependant il existe des seuils impératifs et communs à toutes les agences et à toutes les banques. La caution personnelle en est un bon exemple. Pour toute ouverture de compte commercial d'une société SARL, il faut une caution personnelle signée par l'entreprise et ses associés ou ses actionnaires. Cela s'explique par la législation israélienne qui accepte la création d'une SARL sans apport de Capital. Les banques doivent donc se protéger des entrepreneurs peu solvables par cette procédure obligatoire d'une caution personnelle. Ce même risque d'insolvabilité se retrouve avec la trésorerie d'une entreprise, face à la souplesse du système bancaire israélien qui autorise les chèques "post datés", pratique interdite en France et dans la plus part des pays européens. Ces chèques bien dangereux pour la trésorerie d'une affaire sont totalement admis dans le système au point qu'ils servent de garantie face à un découvert autorisé.Il va sans dire qu'une banque préférera un portefeuille de chèques à montants moyens et de sources variées plutôt que quelques gros chèques ou nombre de petits chèques provenant de la même branche d'activité. Le gros problème de ces chèques post datés est donc le manque de provisions à la date d'encaissement prévu, alors qu'ils ont été émis 60 ou 90 jours auparavant. Pour palier à ce risque, on s'achemine donc en Israël vers des systèmes de paiements exclusifs en monnaie électronique, même pour des petits commerces, ce qui représente une garantie de paiement. Dans certains cas, ces chèques ne seront pas encaissés mais endossés pour payer des fournisseurs qui prennent eux le risque d'insolvabilité. S'ils l'acceptent, c'est sous certaines conditions par exemple : ne doit pas figurer sur le chèque la mention "au solde unique de". En effet, c'est souvent pour des problèmes de trésorerie mal gérée à moyen et court terme que les sociétés connaissent des difficultés bancaires qui les entraînent dans 97% des cas vers la fermeture. Une mauvaise gestion de la trésorerie amène parfois la limitation bancaire, car la banque d’Israël pénalise au 10eme chèque impayé en interdisant l'ouverture d'un compte chèque pendant un an.
Le dernier point concernant la gestion d'un compte bancaire commercial est le type de garanties acceptées pour l'accord d'un découvert. Comme en France, les dépôts bloqués en liquide, ou les lettres de garantie financière, ou les hypothèques de biens sont valables et prises en compte à hauteur de 60% à 100 % selon la valeur et la nature de la garantie. L'originalité réside dans l'acceptation des chèques post datés mis en garde temporaire et qui sont pris en compte en moyenne à 70%. Ceci après une vérification de la solvabilité des émetteurs essentiels de chèques reçus par l'entreprise. Pour ce qui est des cartes de crédit, les encaissements reçus par un commerce en monnaie électronique seront visibles et pris en compte par la banque avant même leur crédit réel sur le compte banque, ce qui suppose l'hypothèque de tous les encaissements en carte de crédit.
Les commissions courantes
l'intérêt bancaire est composé d'un indice au nom de la "prime". Définissons-le. La "prime" est le composant essentiel de l'intérêt bancaire débité sur les découverts (mais pas forcement celui des emprunts contractés) De par sa définition théorique, il est lié à l'inflation mais dans la réalité, son évolution n'est pas liée à celle de l'inflation. Il est fixé par la Banque d'Israël selon ses directives en matière de relance d'épargne ou d'activité économique.
Les cartes de crédit en Israël et les groupes émetteurs.
Seules trois banques ont la possibilité d'émettre des cartes de crédit: La banque Hapoalim, la banque Leoumi et la banque Discount. Elles éditent respectivement la Isracard-Mastercard, Eurocard et l'American Express (banque Hapoalim) La Visa leoumi (banque leoumi) et la Visa Cal (banque Discount). L'introduction de la carte visa à deux versions (leoumi et cal) date du 1er janvier 2001, et accentue la concurrence. En effet, il est tout à fait usuel de réduire les commissions payées au groupe Visa concerné sachant qu'une entreprise optera pour le moins cher des deux. Les commissions pour les opérations standards, pour une affaire qui démarre, sont de 1.65% pour le groupe Visa leoumi, 1.9% pour la visa Cal, 2.5% pour la Isracard et 3.6% pour l'American express. Elles sont plus élevées que celles pratiquées en France et traduisent un coût de l'argent plus élevé. L'originalité du système repose sur une pratique spéciale de l'escompte des cartes de crédit.Notion d'escompte des cartes de crédit
Pour mieux comprendre l'intérêt de l'escompte, il faut tenir compte de la mentalité israélienne La plupart des israéliens achètent à crédit et payent chaque achat en plusieurs paiements sans intérêt. A tel point qu'une des pratiques promotionnelles les plus réussies dans de nombreux commerces est de proposer tout achat en 12 paiements par carte de crédit sans intérêt. C'est donc une grande satisfaction pour le consommateur d'acheter sans sentir le poids du débit. Mais que se passe t-il pour le commerce? Et bien il reçoit également la vente réalisée sur 12 mois. Cela suppose pour le commerçant l'obligation d'une trésorerie positive pour se permettre d'attendre un paiement fractionné sur 12 mois. S'il ne peut financer ces promotions indispensables dans le système commercial israélien, il lui reste la possibilité d'escompter ses traites de cartes de crédit, les intérêts supplémentaires variant avec le chiffre d'affaire escompté. L'intérêt généralement pratique représente une moyenne de 0.5% par mois d'escompte.Par exemple une vente payée en 6 paiements par une Visa Leoumi sera pénalisée d'une commission de 1.65% + 6*0.5% soit 4.65% global. Bien que le taux paraisse élevé dans sa globalité, il reste moins coûteux en moyenne qu'un intérêt bancaire. Mais il est clair que toute négociation étant possible, de nombreux commerces payent un intérêt sur l'escompte pour 6 paiements de 1,9%, soit un intérêt global de 1,65% + 1,9%, soit 3,55%.
Les groupes financiers pratiquant l'escompte de cartes de crédit.
Quatre principaux groupes sont répertoriés actuellement :
- Gama Nihoul ve Slika Sarl
- Yatsil mikvoutsat molar ashkaot sarl
- Leoumi Card sarl
- Tsameret mimounim sarl
Certains de ces groupes ne proposent l'escompte que d'un type de carte, comme leoumi card que pour les Visa et Tsameret mimounim que pour les Isracard.
L'essentiel est de s'adresser aux agents de ces organismes afin de négocier au mieux les intérêts sur l'escompte.
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Il y a de nombreuses banques en Israël, plus ou moins spécialisées selon les secteurs d'activité. Les banques les plus importantes par ordre décroissant sont :
- La banque Hapoalim
- La banque Leoumi
- La banque Discount
- La banque Habenleoumi Harishon
- La banque Mizrahi
Toutes ces banques offrent des services divers aux entreprises dont les coûts et l'efficacité présentent des écarts importants. Cela tient à plusieurs causes:
D'abord il faut savoir que les agences de chaque réseau disposent d'une autonomie stratégique élevée. Entre deux agences de la banque Hapoalim à proximité l'une de l'autre, la gestion des risques peut être radicalement opposée en fonction des options de la direction. Il est donc une question préalable que posent les entrepreneurs au consultant chargé du "business plan" : quelle est la banque et l'agence la plus adaptée à notre projet? C'est pourquoi avant d'ouvrir un compte commercial, l'investisseur français aura intérêt à évaluer exactement ses besoins et à constituer un dossier détaillé de son projet de façon à le présenter à plusieurs agences avant de déterminer son choix auprès de la banque et de l'agence qui offrira le plus de flexibilité pour la gestion de son entreprise. C'est d'autant plus nécessaire que tout se négocie dans les banques en Israël, de la petite commission aux garanties bancaires nécessaires à l'obtention d'un découvert ou financement particulier. Les pièces maîtresses de la négociation pour un financement d'un projet est évidemment le Business plan et la trésorerie prévisionnelle que l'entrepreneur aura soin de faire préparer par un cabinet spécialisé. Cependant il existe des seuils impératifs et communs à toutes les agences et à toutes les banques. La caution personnelle en est un bon exemple. Pour toute ouverture de compte commercial d'une société SARL, il faut une caution personnelle signée par l'entreprise et ses associés ou ses actionnaires. Cela s'explique par la législation israélienne qui accepte la création d'une SARL sans apport de Capital. Les banques doivent donc se protéger des entrepreneurs peu solvables par cette procédure obligatoire d'une caution personnelle. Ce même risque d'insolvabilité se retrouve avec la trésorerie d'une entreprise, face à la souplesse du système bancaire israélien qui autorise les chèques "post datés", pratique interdite en France et dans la plus part des pays européens. Ces chèques bien dangereux pour la trésorerie d'une affaire sont totalement admis dans le système au point qu'ils servent de garantie face à un découvert autorisé.Il va sans dire qu'une banque préférera un portefeuille de chèques à montants moyens et de sources variées plutôt que quelques gros chèques ou nombre de petits chèques provenant de la même branche d'activité. Le gros problème de ces chèques post datés est donc le manque de provisions à la date d'encaissement prévu, alors qu'ils ont été émis 60 ou 90 jours auparavant. Pour palier à ce risque, on s'achemine donc en Israël vers des systèmes de paiements exclusifs en monnaie électronique, même pour des petits commerces, ce qui représente une garantie de paiement. Dans certains cas, ces chèques ne seront pas encaissés mais endossés pour payer des fournisseurs qui prennent eux le risque d'insolvabilité. S'ils l'acceptent, c'est sous certaines conditions par exemple : ne doit pas figurer sur le chèque la mention "au solde unique de". En effet, c'est souvent pour des problèmes de trésorerie mal gérée à moyen et court terme que les sociétés connaissent des difficultés bancaires qui les entraînent dans 97% des cas vers la fermeture. Une mauvaise gestion de la trésorerie amène parfois la limitation bancaire, car la banque d’Israël pénalise au 10eme chèque impayé en interdisant l'ouverture d'un compte chèque pendant un an.
Le dernier point concernant la gestion d'un compte bancaire commercial est le type de garanties acceptées pour l'accord d'un découvert. Comme en France, les dépôts bloqués en liquide, ou les lettres de garantie financière, ou les hypothèques de biens sont valables et prises en compte à hauteur de 60% à 100 % selon la valeur et la nature de la garantie. L'originalité réside dans l'acceptation des chèques post datés mis en garde temporaire et qui sont pris en compte en moyenne à 70%. Ceci après une vérification de la solvabilité des émetteurs essentiels de chèques reçus par l'entreprise. Pour ce qui est des cartes de crédit, les encaissements reçus par un commerce en monnaie électronique seront visibles et pris en compte par la banque avant même leur crédit réel sur le compte banque, ce qui suppose l'hypothèque de tous les encaissements en carte de crédit.
Les commissions courantes
l'intérêt bancaire est composé d'un indice au nom de la "prime". Définissons-le. La "prime" est le composant essentiel de l'intérêt bancaire débité sur les découverts (mais pas forcement celui des emprunts contractés) De par sa définition théorique, il est lié à l'inflation mais dans la réalité, son évolution n'est pas liée à celle de l'inflation. Il est fixé par la Banque d'Israël selon ses directives en matière de relance d'épargne ou d'activité économique.
Les cartes de crédit en Israël et les groupes émetteurs.
Seules trois banques ont la possibilité d'émettre des cartes de crédit: La banque Hapoalim, la banque Leoumi et la banque Discount. Elles éditent respectivement la Isracard-Mastercard, Eurocard et l'American Express (banque Hapoalim) La Visa leoumi (banque leoumi) et la Visa Cal (banque Discount). L'introduction de la carte visa à deux versions (leoumi et cal) date du 1er janvier 2001, et accentue la concurrence. En effet, il est tout à fait usuel de réduire les commissions payées au groupe Visa concerné sachant qu'une entreprise optera pour le moins cher des deux. Les commissions pour les opérations standards, pour une affaire qui démarre, sont de 1.65% pour le groupe Visa leoumi, 1.9% pour la visa Cal, 2.5% pour la Isracard et 3.6% pour l'American express. Elles sont plus élevées que celles pratiquées en France et traduisent un coût de l'argent plus élevé. L'originalité du système repose sur une pratique spéciale de l'escompte des cartes de crédit.Notion d'escompte des cartes de crédit
Pour mieux comprendre l'intérêt de l'escompte, il faut tenir compte de la mentalité israélienne La plupart des israéliens achètent à crédit et payent chaque achat en plusieurs paiements sans intérêt. A tel point qu'une des pratiques promotionnelles les plus réussies dans de nombreux commerces est de proposer tout achat en 12 paiements par carte de crédit sans intérêt. C'est donc une grande satisfaction pour le consommateur d'acheter sans sentir le poids du débit. Mais que se passe t-il pour le commerce? Et bien il reçoit également la vente réalisée sur 12 mois. Cela suppose pour le commerçant l'obligation d'une trésorerie positive pour se permettre d'attendre un paiement fractionné sur 12 mois. S'il ne peut financer ces promotions indispensables dans le système commercial israélien, il lui reste la possibilité d'escompter ses traites de cartes de crédit, les intérêts supplémentaires variant avec le chiffre d'affaire escompté. L'intérêt généralement pratique représente une moyenne de 0.5% par mois d'escompte.Par exemple une vente payée en 6 paiements par une Visa Leoumi sera pénalisée d'une commission de 1.65% + 6*0.5% soit 4.65% global. Bien que le taux paraisse élevé dans sa globalité, il reste moins coûteux en moyenne qu'un intérêt bancaire. Mais il est clair que toute négociation étant possible, de nombreux commerces payent un intérêt sur l'escompte pour 6 paiements de 1,9%, soit un intérêt global de 1,65% + 1,9%, soit 3,55%.
Les groupes financiers pratiquant l'escompte de cartes de crédit.
Quatre principaux groupes sont répertoriés actuellement :
- Gama Nihoul ve Slika Sarl
- Yatsil mikvoutsat molar ashkaot sarl
- Leoumi Card sarl
- Tsameret mimounim sarl
Certains de ces groupes ne proposent l'escompte que d'un type de carte, comme leoumi card que pour les Visa et Tsameret mimounim que pour les Isracard.
L'essentiel est de s'adresser aux agents de ces organismes afin de négocier au mieux les intérêts sur l'escompte.
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Aides gouvernementales à la création d'entreprises en Israel
Source : Esther Amar-Essec-France, Tsion Consultants, www.tsioncslt.com, 02-5861239
Les différentes sources de financement
Keren ole aatsmahi
C'est un fond dépendant du ministère de l'intégration.
Il octroie jusqu'a 35,000 shk remboursables sur 6 ans indexés sur l'inflation plus 2% par an avec une année de franchise pendant laquelle seuls les intérêts sont payés (environ 60 shk par mois)
Les garanties exigées sont : une caution personnelle, 3 garants Israéliens, un apport du tiers et un dossier fait au MATI sur devis et/ou factures. Il est largement recommandé de présenter sa demande avant la création de l'entreprise. Le pourcentage d'obtention est proche de 100%.
La banque Apoalim est la seule institution financière qui accorde ce type de prêt.
Keren Ahvat Yossef
Il dépend également du ministère de l'intégration.
Il n'est valable que sur Jérusalem. Il représente une somme maximum de 16,000 shk indexé au dollar remboursable immédiatement sur 24 mois.
Les garanties exigées sont une caution personnelle et 3 garants. Sans apport de fond ni devis ou facture, vous recevrez un chèque utilisable tout de suite.
Keren tipouah yazamout
Il s'agit d'un fond sous garantie gouvernementale qui prête jusqu'a 400,000 shk sur 6 ans indexés sur l'inflation plus 4.8% par an. Il permet une période de franchise jusqu'a 12 mois. Les garanties exigées sont : une caution personnelle, un dépôt bloque de 5% de la valeur de l'emprunt et 45% de garantie supplémentaire comme l'hypothèque d'un bien. La demande est présentée auprès du MATI qui constitue un dossier complet sur le projet incluant devis et ou factures. Les frais de dossiers sont élevés et à vérifier auprès du MATI de votre ville (environ 2,000 a 3,000 shk).
La banque Otsar ahayal est la seule institution financière qui accorde ce type de prêt.
Keren Aagouda lealevaot le lo ribit
C'est un fond alimenté par des donateurs privés désirant aider les entrepreneurs israéliens. Seules les entreprises dont le CA mensuel est inférieur a 100,000 shk peuvent en bénéficier. Il donne jusqu'a 70,000 shk indexé au dollar sur 30 mois remboursable dès l'obtention. Les garanties exigées sont une caution personnelle et 3 garants ou des garanties bancaires couvrant 100% de la somme. Sans apport de fond. Il faut néanmoins constituer une demande au MATI qui constituera un dossier complet inclus devis et factures.
Emprunt avec caution gouvernementale (Bearevout medina)
C'est un fond qui est articulé par la banque Otsar ahayal et la société Tabor ltd. Toutes les entreprises peuvent potentiellement en bénéficier (Avec un maximum de 70 employés et un CA annuel maximum de 22 millions de shk)
Cet emprunt sert au financement d'investissements immobilisés et à la constitution d'un fond de roulement. Le dossier d'obtention peut être préparé par l'entrepreneur seul et certifié par son expert comptable.
Keren korat leisrael
C'est un fond qui est articule par la banque Otsar ahayal. Toutes les entreprises peuvent potentiellement en bénéficier. Il octroie jusqu'a 500,000 shk sur 5 ans, indexe sur le libor plus 1.8% pour tout emprunt supérieur a 100,000 shk et libor plus 0% en dessous de 100,000 shk. Il permet jusqu'a 12 mois de franchise. Les garanties exigées sont une caution personnelle et un pourcentage variable, selon le projet, de garantie supplémentaire.
Il est important de souligner que tous ces emprunts peuvent être remboursés de façon anticipée sans frais.
Le conseil d'entreprises subventionne a 75%
Le second type d'aide est du conseil d'entreprises subventionne à 75%
Le ministère du commerce et de l'industrie a décidé de mandater des auditeurs du marché privé pour redresser l'économie israélienne. Il attribue en fonction du nombre d'employés de 20 a 150 heures de conseil subventionné.
La tache essentielle de l'auditeur est de former l’entrepreneur français à affronter son nouvel environnement économique.
Le conseil s'applique à toutes les étapes intervenant dans la création et l'optimisation d'une entreprise en Israël. Il assurera la formation dans le domaine de la gestion pure comme le montage de trésorerie provisionnelle, la lecture des documents financiers, l'explication du système bancaire et des cartes de crédit, des procédures d'importation et de ses coûts... Le conseiller peut également accompagner l'entrepreneur à la banque afin de négocier les meilleures conditions possibles de financement. Pour qu'une entreprise soit performante, elle doit impérativement s'assurer de trois objectifs:
1. Bien positionner son produit
2. L'accompagner d'une bonne communication
3. Maitriser certains indicateurs clés comme la maîtrise des coûts et de la trésorerie, la répartition des bénéfices bruts et net, le maintient du fond de roulement...
Le manque de connaissance de l'environnement israélien peut largement compromettre cette maîtrise. Il est grandement recommandé de ne pas se fier uniquement à une expérience acquise sur le territoire français, si riche soit-elle.
C'est bien pour cela que le conseil d'entreprises subventionné existe.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Les différentes sources de financement
Keren ole aatsmahi
C'est un fond dépendant du ministère de l'intégration.
Il octroie jusqu'a 35,000 shk remboursables sur 6 ans indexés sur l'inflation plus 2% par an avec une année de franchise pendant laquelle seuls les intérêts sont payés (environ 60 shk par mois)
Les garanties exigées sont : une caution personnelle, 3 garants Israéliens, un apport du tiers et un dossier fait au MATI sur devis et/ou factures. Il est largement recommandé de présenter sa demande avant la création de l'entreprise. Le pourcentage d'obtention est proche de 100%.
La banque Apoalim est la seule institution financière qui accorde ce type de prêt.
Keren Ahvat Yossef
Il dépend également du ministère de l'intégration.
Il n'est valable que sur Jérusalem. Il représente une somme maximum de 16,000 shk indexé au dollar remboursable immédiatement sur 24 mois.
Les garanties exigées sont une caution personnelle et 3 garants. Sans apport de fond ni devis ou facture, vous recevrez un chèque utilisable tout de suite.
Keren tipouah yazamout
Il s'agit d'un fond sous garantie gouvernementale qui prête jusqu'a 400,000 shk sur 6 ans indexés sur l'inflation plus 4.8% par an. Il permet une période de franchise jusqu'a 12 mois. Les garanties exigées sont : une caution personnelle, un dépôt bloque de 5% de la valeur de l'emprunt et 45% de garantie supplémentaire comme l'hypothèque d'un bien. La demande est présentée auprès du MATI qui constitue un dossier complet sur le projet incluant devis et ou factures. Les frais de dossiers sont élevés et à vérifier auprès du MATI de votre ville (environ 2,000 a 3,000 shk).
La banque Otsar ahayal est la seule institution financière qui accorde ce type de prêt.
Keren Aagouda lealevaot le lo ribit
C'est un fond alimenté par des donateurs privés désirant aider les entrepreneurs israéliens. Seules les entreprises dont le CA mensuel est inférieur a 100,000 shk peuvent en bénéficier. Il donne jusqu'a 70,000 shk indexé au dollar sur 30 mois remboursable dès l'obtention. Les garanties exigées sont une caution personnelle et 3 garants ou des garanties bancaires couvrant 100% de la somme. Sans apport de fond. Il faut néanmoins constituer une demande au MATI qui constituera un dossier complet inclus devis et factures.
Emprunt avec caution gouvernementale (Bearevout medina)
C'est un fond qui est articulé par la banque Otsar ahayal et la société Tabor ltd. Toutes les entreprises peuvent potentiellement en bénéficier (Avec un maximum de 70 employés et un CA annuel maximum de 22 millions de shk)
Cet emprunt sert au financement d'investissements immobilisés et à la constitution d'un fond de roulement. Le dossier d'obtention peut être préparé par l'entrepreneur seul et certifié par son expert comptable.
Keren korat leisrael
C'est un fond qui est articule par la banque Otsar ahayal. Toutes les entreprises peuvent potentiellement en bénéficier. Il octroie jusqu'a 500,000 shk sur 5 ans, indexe sur le libor plus 1.8% pour tout emprunt supérieur a 100,000 shk et libor plus 0% en dessous de 100,000 shk. Il permet jusqu'a 12 mois de franchise. Les garanties exigées sont une caution personnelle et un pourcentage variable, selon le projet, de garantie supplémentaire.
Il est important de souligner que tous ces emprunts peuvent être remboursés de façon anticipée sans frais.
Le conseil d'entreprises subventionne a 75%
Le second type d'aide est du conseil d'entreprises subventionne à 75%
Le ministère du commerce et de l'industrie a décidé de mandater des auditeurs du marché privé pour redresser l'économie israélienne. Il attribue en fonction du nombre d'employés de 20 a 150 heures de conseil subventionné.
La tache essentielle de l'auditeur est de former l’entrepreneur français à affronter son nouvel environnement économique.
Le conseil s'applique à toutes les étapes intervenant dans la création et l'optimisation d'une entreprise en Israël. Il assurera la formation dans le domaine de la gestion pure comme le montage de trésorerie provisionnelle, la lecture des documents financiers, l'explication du système bancaire et des cartes de crédit, des procédures d'importation et de ses coûts... Le conseiller peut également accompagner l'entrepreneur à la banque afin de négocier les meilleures conditions possibles de financement. Pour qu'une entreprise soit performante, elle doit impérativement s'assurer de trois objectifs:
1. Bien positionner son produit
2. L'accompagner d'une bonne communication
3. Maitriser certains indicateurs clés comme la maîtrise des coûts et de la trésorerie, la répartition des bénéfices bruts et net, le maintient du fond de roulement...
Le manque de connaissance de l'environnement israélien peut largement compromettre cette maîtrise. Il est grandement recommandé de ne pas se fier uniquement à une expérience acquise sur le territoire français, si riche soit-elle.
C'est bien pour cela que le conseil d'entreprises subventionné existe.
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Créer votre entreprise en Israel
Source : Esther Amar-Essec-France, Tsion Consultants, www.tsioncslt.com, 02-5861239
Démarches préliminaires
Les différents types d'entreprises et fiscalité
Le lancement d’une nouvelle entreprise nécessite un certain nombre de démarches indispensables, tant pour être en règle avec la loi que par souci d’efficacité. Vous trouverez ci dessous une liste des principales opérations à réaliser avant l’ouverture de votre société.
Permis d’exercer (richaion essek)
Avant d'ouvrir votre entreprise vous devez vous adresser à la municipalité pour vérifier les conditions d 'obtention d'un permis (si besoin). Assurez-vous que l 'entreprise sera située dans un endroit autorisé par les autorités municipales.
Inscription au registre de commerce (misrade Maam)
Si vous ouvrez une société en nom propre ou dans le cadre d' une SARL, vous devez avant de commencer vos activités, vous inscrire auprès des responsables de la TVA (Maam).
En nom propre, votre chiffre d' affaire prévisionnel décidera de votre statut: assujetti ou non a la TVA.
Les documents à fournir sont différents selon une SARL ou une société en nom propre.
Pour les deux types il faut apporter:
- Contrat de location
- Numéro de compte en banque
- Photocopie d’un chèque de société
- Carte d’identité pour un nom propre
- La charte (Tazkir) et les statuts (Takanone) ainsi que son tampon pour une SARL
L' inscription a lieu dans les bureaux du Maam
Notification aux impôts des sociétés (mas hakhnassa)
Vous devez informer les impôts de l’existence d’une nouvelle entreprise et ce immédiatement à compter de son ouverture ou à partir du jour de son inscription au registre des commerces. Pour ce faire, il faut vous adresser aux bureaux des impôts soit par courrier recommandé soit en s y rendant directement.
Ouverture d'un compte en banque
Avant d'entreprendre toute transaction vous devez ouvrir un compte bancaire commercial. S’il s'agit d 'une SARL vous devez présenter lors de l’ouverture du compte une copie de ses statuts (takanone) ainsi qu’une attestation d’un avocat concernant les droits de signature dans la société.
Inscription a la sécurité sociale et assurance maladie (bitouah leoumi)
Dès l’inscription d’une société en nom propre au registre de commerce, il faut ouvrir un dossier au Bitouah leoumi ainsi qu'aux Impôts locaux(Arnona)
Pour régler les questions d'impôts locaux, vous devez vous adresser à la municipalité (Iria)
Il s' agit en général de la taxe municipale (Arnona)
Ouverture d’un dossier en tant qu 'employeur aux impôts et à la sécurité sociale
Au cas vous auriez l’intention d’embaucher du personnel, vous devez ouvrir un dossier (tik nikouim) à la sécurité sociale (bitouah leoumi) et aux impôts (mas hakhnassa) afin de payer les charges sur salaires et de reverser l’impôt prélevé à la source.
Une fois le dossier ouvert vous recevrez des formulaires vous permettant de procéder aux retenues salariales de vos employés.
Procès verbal de séance
Au cas ou vous fonctionnez dans le cadre d une SARL, et après avoir procédé à son enregistrement, vous devez réunir la première assemblée générale des actionnaires. Au cours de cette assemblée, les directeurs de l’entreprise seront nommes ainsi que les responsables des signatures dans la société. Toutes décisions devront être transmises au registre des sociétés (racham ahavarot)
Inscription a une association professionnelle
Vérifiez s’il n’existe pas une association professionnelle à laquelle il serait intéressant d’adhérer.
Enseignes et publicités
Il est recommandé d’apposer des l’ouverture une enseigne sur le lieu de votre entreprise et d’informer les responsables des annuaires, notamment des pages jaunes. Toute nouvelle entreprise est habilitée à recevoir une annonce gratuite dans ces pages jaunes, sous la rubrique appropriée..
Caisses complémentaires
Les impôts accordent des avantages fiscaux sur les sommes prélevées pour les caisses complémentaires de retraite et de prévoyance. Renseignez vous auprès d’un spécialiste afin d 'avoir une police optimale en épargne, assurance vie et abattement d’impôts.
Esther Amar-Essec-France, Tsion Consultants, www.tsioncslt.com, 02-5861239
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Démarches préliminaires
Les différents types d'entreprises et fiscalité
Le lancement d’une nouvelle entreprise nécessite un certain nombre de démarches indispensables, tant pour être en règle avec la loi que par souci d’efficacité. Vous trouverez ci dessous une liste des principales opérations à réaliser avant l’ouverture de votre société.
Permis d’exercer (richaion essek)
Avant d'ouvrir votre entreprise vous devez vous adresser à la municipalité pour vérifier les conditions d 'obtention d'un permis (si besoin). Assurez-vous que l 'entreprise sera située dans un endroit autorisé par les autorités municipales.
Inscription au registre de commerce (misrade Maam)
Si vous ouvrez une société en nom propre ou dans le cadre d' une SARL, vous devez avant de commencer vos activités, vous inscrire auprès des responsables de la TVA (Maam).
En nom propre, votre chiffre d' affaire prévisionnel décidera de votre statut: assujetti ou non a la TVA.
Les documents à fournir sont différents selon une SARL ou une société en nom propre.
Pour les deux types il faut apporter:
- Contrat de location
- Numéro de compte en banque
- Photocopie d’un chèque de société
- Carte d’identité pour un nom propre
- La charte (Tazkir) et les statuts (Takanone) ainsi que son tampon pour une SARL
L' inscription a lieu dans les bureaux du Maam
Notification aux impôts des sociétés (mas hakhnassa)
Vous devez informer les impôts de l’existence d’une nouvelle entreprise et ce immédiatement à compter de son ouverture ou à partir du jour de son inscription au registre des commerces. Pour ce faire, il faut vous adresser aux bureaux des impôts soit par courrier recommandé soit en s y rendant directement.
Ouverture d'un compte en banque
Avant d'entreprendre toute transaction vous devez ouvrir un compte bancaire commercial. S’il s'agit d 'une SARL vous devez présenter lors de l’ouverture du compte une copie de ses statuts (takanone) ainsi qu’une attestation d’un avocat concernant les droits de signature dans la société.
Inscription a la sécurité sociale et assurance maladie (bitouah leoumi)
Dès l’inscription d’une société en nom propre au registre de commerce, il faut ouvrir un dossier au Bitouah leoumi ainsi qu'aux Impôts locaux(Arnona)
Pour régler les questions d'impôts locaux, vous devez vous adresser à la municipalité (Iria)
Il s' agit en général de la taxe municipale (Arnona)
Ouverture d’un dossier en tant qu 'employeur aux impôts et à la sécurité sociale
Au cas vous auriez l’intention d’embaucher du personnel, vous devez ouvrir un dossier (tik nikouim) à la sécurité sociale (bitouah leoumi) et aux impôts (mas hakhnassa) afin de payer les charges sur salaires et de reverser l’impôt prélevé à la source.
Une fois le dossier ouvert vous recevrez des formulaires vous permettant de procéder aux retenues salariales de vos employés.
Procès verbal de séance
Au cas ou vous fonctionnez dans le cadre d une SARL, et après avoir procédé à son enregistrement, vous devez réunir la première assemblée générale des actionnaires. Au cours de cette assemblée, les directeurs de l’entreprise seront nommes ainsi que les responsables des signatures dans la société. Toutes décisions devront être transmises au registre des sociétés (racham ahavarot)
Inscription a une association professionnelle
Vérifiez s’il n’existe pas une association professionnelle à laquelle il serait intéressant d’adhérer.
Enseignes et publicités
Il est recommandé d’apposer des l’ouverture une enseigne sur le lieu de votre entreprise et d’informer les responsables des annuaires, notamment des pages jaunes. Toute nouvelle entreprise est habilitée à recevoir une annonce gratuite dans ces pages jaunes, sous la rubrique appropriée..
Caisses complémentaires
Les impôts accordent des avantages fiscaux sur les sommes prélevées pour les caisses complémentaires de retraite et de prévoyance. Renseignez vous auprès d’un spécialiste afin d 'avoir une police optimale en épargne, assurance vie et abattement d’impôts.
Esther Amar-Essec-France, Tsion Consultants, www.tsioncslt.com, 02-5861239
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Numéros utiles en Israel
Source : Unifan
Numéros utiles
100 Police
101 Magen David Adom - SAMU
102 Pompiers
144 Renseignements
155 Horloge Parlante
166 Dérangements
171 Télégrammes
175 Réveil par téléphone
188 P.C.V Rens. internationaux
199 Services Bezek
142 P.C.V local
Indicatifs Internationaux
Belgique 32
France 33
Luxembourg 35
Maroc 212
Suisse 41
Indicatifs Régionaux
Jérusalem et environs 02
Tel-Aviv et Centre 03
Haïfa et Nord 04
Beer Sheva et région Sud 08
Natanya, Herzliah, Raanana 09
Trois grandes compagnies se partagent le marché des téléphones portables :
Cellcom (052)
Pelefone (050)
Partner Orange (054)
Vérifiez les tarifs et les régions où la qualité du réseau est la meilleure avant de faire votre choix.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Numéros utiles
100 Police
101 Magen David Adom - SAMU
102 Pompiers
144 Renseignements
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166 Dérangements
171 Télégrammes
175 Réveil par téléphone
188 P.C.V Rens. internationaux
199 Services Bezek
142 P.C.V local
Indicatifs Internationaux
Belgique 32
France 33
Luxembourg 35
Maroc 212
Suisse 41
Indicatifs Régionaux
Jérusalem et environs 02
Tel-Aviv et Centre 03
Haïfa et Nord 04
Beer Sheva et région Sud 08
Natanya, Herzliah, Raanana 09
Trois grandes compagnies se partagent le marché des téléphones portables :
Cellcom (052)
Pelefone (050)
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Les charges locatives en Israel
Source : UNIFAN
Les factures d’eau, de gaz, d’électricité, d’impôts locaux, de téléphone, de charges de co-propriété, ainsi que les petites réparations (remplacement d’un joint défectueux...) en bref, tout ce qui concerne les usages courants sont à la charge du locataire.
Par contre, les grosses réparations, comme les travaux de réfection, le remplacement des installations lourdes de l’immeuble, incombent au propriétaire, autrement dit, tout ce qui modifie la durée de vie de l’équipement.
Les charges de co-propriété comprennent le nettoyage des zones d’habitation communes (mais pas la peinture des escaliers qui reste à la charge du propriétaire) l’entretien de l’ascenseur (mais non le remplacement des grosses pièces) l’entretien du jardin, le chauffage s’il est central, etc...
En entrant dans un appartement, vérifiez que toutes les factures antérieures ont été réglées (eau, électricité, gaz, impôt local) Le responsable du syndic (Rosh Vaad) peut vous demander 12 chèques anti-datés afin de s’assurer du règlement annuel.
En ce qui concerne le téléphone, vérifiez avant la signature d’un contrat de location, si la ligne aussi est louée. Si non, vous pourrez vous adresser à la compagnie de téléphone Bézek, qui vous vendra une ligne à vie, et qui vous suivra lors de vos déménagements.
Certains propriétaires de petites locations, vous proposeront un loyer qui comprendra les charges. Dans ce cas, vérifiez que ce soit bien mentionné dans le contrat de location.
Les personnes vivant en co-location (Shoutafout) devront faire attention de signer sur un contrat qui engage tous les locataires. Dans ce cas, les charges, ainsi que les impôts locaux sont divisés en fonction du nombre de locataires.
La redevance télé (Agrat Rishouy) : payable 30 jours à partir de l’acquisition de votre poste, prevenez le bureau des redevances télé : pendant les 12 premiers mois de votre alyah vous bénéficiez d’une exonération. Vous devez faire une demande par écrit en mentionnant vos nom, prénom, n° de téoudat zéout, adresse, n° de téléphone et la date d’achat de votre téléviseur ainsi que les détails techniques de ce dernier.
Les impôts locaux (Arnona) Ils sont calculés en fonction de la surface de l’appartement en m2, du quartier et de l’emploi qu’on en fait. Dans le calcul de la surface, sont compris toutes les surfaces ainsi que les balcons couverts ou autre surface couverte. Les balcons ne dépassant pas 6 m2 sont exemptés ainsi que les cours extérieures et parking. Le règlement de l’arnona est réclamé chaque année au 1er janvier par la mairie. Il peut se faire en paiements mensuels généralement par prélèvements automatiques ou en une seule fois.
Réductions accordées : La mairie prend en compte la situation économique des familles et peut passer en commission votre demande. Généralement, les nouveaux immigrants bénéficient de 90% de réduction sur les 90 premiers m2 pendant un an durant les 24 mois qui suivent l’alyah. Les ayant-droits pour cause économique peuvent obtenir une réduction d’après le nombre de personnes habitant dans l’appartement, le montant de leurs revenus pour les 100 premiers m2 (au dessus de 160 m2 , aucune réduction ne sera octroyée)
Les soldats bénéficient d’une exonération totale pendant toute la durée du service, ainsi que durant les 4 mois suivants leur retour à la vie civile.
Afin d’obtenir ces réductions, il faut faire une demande à la mairie de votre ville muni de votre Téoudat Zéout, de votre Téoudat Olé et des pièces justifiant de votre statut et de votre contrat d’habitation.
Il est préférable de régler vos factures par prélèvement automatique (horaat keva)
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Les factures d’eau, de gaz, d’électricité, d’impôts locaux, de téléphone, de charges de co-propriété, ainsi que les petites réparations (remplacement d’un joint défectueux...) en bref, tout ce qui concerne les usages courants sont à la charge du locataire.
Par contre, les grosses réparations, comme les travaux de réfection, le remplacement des installations lourdes de l’immeuble, incombent au propriétaire, autrement dit, tout ce qui modifie la durée de vie de l’équipement.
Les charges de co-propriété comprennent le nettoyage des zones d’habitation communes (mais pas la peinture des escaliers qui reste à la charge du propriétaire) l’entretien de l’ascenseur (mais non le remplacement des grosses pièces) l’entretien du jardin, le chauffage s’il est central, etc...
En entrant dans un appartement, vérifiez que toutes les factures antérieures ont été réglées (eau, électricité, gaz, impôt local) Le responsable du syndic (Rosh Vaad) peut vous demander 12 chèques anti-datés afin de s’assurer du règlement annuel.
En ce qui concerne le téléphone, vérifiez avant la signature d’un contrat de location, si la ligne aussi est louée. Si non, vous pourrez vous adresser à la compagnie de téléphone Bézek, qui vous vendra une ligne à vie, et qui vous suivra lors de vos déménagements.
Certains propriétaires de petites locations, vous proposeront un loyer qui comprendra les charges. Dans ce cas, vérifiez que ce soit bien mentionné dans le contrat de location.
Les personnes vivant en co-location (Shoutafout) devront faire attention de signer sur un contrat qui engage tous les locataires. Dans ce cas, les charges, ainsi que les impôts locaux sont divisés en fonction du nombre de locataires.
La redevance télé (Agrat Rishouy) : payable 30 jours à partir de l’acquisition de votre poste, prevenez le bureau des redevances télé : pendant les 12 premiers mois de votre alyah vous bénéficiez d’une exonération. Vous devez faire une demande par écrit en mentionnant vos nom, prénom, n° de téoudat zéout, adresse, n° de téléphone et la date d’achat de votre téléviseur ainsi que les détails techniques de ce dernier.
Les impôts locaux (Arnona) Ils sont calculés en fonction de la surface de l’appartement en m2, du quartier et de l’emploi qu’on en fait. Dans le calcul de la surface, sont compris toutes les surfaces ainsi que les balcons couverts ou autre surface couverte. Les balcons ne dépassant pas 6 m2 sont exemptés ainsi que les cours extérieures et parking. Le règlement de l’arnona est réclamé chaque année au 1er janvier par la mairie. Il peut se faire en paiements mensuels généralement par prélèvements automatiques ou en une seule fois.
Réductions accordées : La mairie prend en compte la situation économique des familles et peut passer en commission votre demande. Généralement, les nouveaux immigrants bénéficient de 90% de réduction sur les 90 premiers m2 pendant un an durant les 24 mois qui suivent l’alyah. Les ayant-droits pour cause économique peuvent obtenir une réduction d’après le nombre de personnes habitant dans l’appartement, le montant de leurs revenus pour les 100 premiers m2 (au dessus de 160 m2 , aucune réduction ne sera octroyée)
Les soldats bénéficient d’une exonération totale pendant toute la durée du service, ainsi que durant les 4 mois suivants leur retour à la vie civile.
Afin d’obtenir ces réductions, il faut faire une demande à la mairie de votre ville muni de votre Téoudat Zéout, de votre Téoudat Olé et des pièces justifiant de votre statut et de votre contrat d’habitation.
Il est préférable de régler vos factures par prélèvement automatique (horaat keva)
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Acceder à la propriété en Israel : le certificat d'ayant doit
Source : UNIFAN
Pour recevoir l’emprunt logement gouvernemental (Mashkenta) et l’aide au loyer, vous devez vous rendre à l’une des banques hypothécaires (Bank Lémachkentaot) qui vous délivrera votre certificat d’ayant-droit (Teoudat Zakaout)
Ces banques jouent le rôle d’agent du ministère du Logement.
Cette démarche exige la présence des 2 conjoints qui devront se munir de
- Leur carte d’identité (Téoudat Zéout)
- Du carnet d’immigrant (Téoudat Olé)
- Parfois du contrat de location
Votre demande est ensuite portée devant une commission qui statuera de vos droits.
Le certificat fait état de la composition de la famille, de ses droits en matière de logement, de la ville choisie pour le logement, ainsi que tous les renseignements déterminant le montant et les composantes du prêt.
La validité de cette carte est limitée à une année; il est possible de proroger sa validité avant le terme de la première année. La téoudat Zakaout est payante. Elle est délivrée par le ministère du Logement si le postulant n’a pas été propriétaire de tout ou d’une partie d’un appartement après 1971, et ce, quelque soit son statut de l’époque.
Vous n’êtes pas dans l’obligation de contracter votre prêt dans la banque où vous avez fait faire votre Téoudat Zakaout.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Pour recevoir l’emprunt logement gouvernemental (Mashkenta) et l’aide au loyer, vous devez vous rendre à l’une des banques hypothécaires (Bank Lémachkentaot) qui vous délivrera votre certificat d’ayant-droit (Teoudat Zakaout)
Ces banques jouent le rôle d’agent du ministère du Logement.
Cette démarche exige la présence des 2 conjoints qui devront se munir de
- Leur carte d’identité (Téoudat Zéout)
- Du carnet d’immigrant (Téoudat Olé)
- Parfois du contrat de location
Votre demande est ensuite portée devant une commission qui statuera de vos droits.
Le certificat fait état de la composition de la famille, de ses droits en matière de logement, de la ville choisie pour le logement, ainsi que tous les renseignements déterminant le montant et les composantes du prêt.
La validité de cette carte est limitée à une année; il est possible de proroger sa validité avant le terme de la première année. La téoudat Zakaout est payante. Elle est délivrée par le ministère du Logement si le postulant n’a pas été propriétaire de tout ou d’une partie d’un appartement après 1971, et ce, quelque soit son statut de l’époque.
Vous n’êtes pas dans l’obligation de contracter votre prêt dans la banque où vous avez fait faire votre Téoudat Zakaout.
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Achat d'un logement en Israel
Source UNIFAN
Si vous voulez accéder à la propriété, certains points sont à vérifier:
- Le quartier : la localisation, la population, la proximité des services publics, les moyens de transports, etc...
- La qualité du logement : les matériaux de construction, les commodités d’accès, le système de chauffage.
- Le contrat d’achat avec votre avocat.
- Le montant des frais supplémentaires : les frais d’inscription au cadastre, l’impôt foncier, la commission de l’agence le cas échéant (négociable à 1% - 1.5% de la valeur de l’appartement hors taxes) les honoraires de l’avocat (soit 1% - 1.5% hors taxes) et l’abonnement aux services d’eau, de gaz, d’électricité et de téléphone et le montant des impôts locaux. En tant que nouvel immigrant vous bénéficiez d’une réduction sur l’impôt foncier jusqu’à un certain plafond.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Si vous voulez accéder à la propriété, certains points sont à vérifier:
- Le quartier : la localisation, la population, la proximité des services publics, les moyens de transports, etc...
- La qualité du logement : les matériaux de construction, les commodités d’accès, le système de chauffage.
- Le contrat d’achat avec votre avocat.
- Le montant des frais supplémentaires : les frais d’inscription au cadastre, l’impôt foncier, la commission de l’agence le cas échéant (négociable à 1% - 1.5% de la valeur de l’appartement hors taxes) les honoraires de l’avocat (soit 1% - 1.5% hors taxes) et l’abonnement aux services d’eau, de gaz, d’électricité et de téléphone et le montant des impôts locaux. En tant que nouvel immigrant vous bénéficiez d’une réduction sur l’impôt foncier jusqu’à un certain plafond.
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L'emprunt logement en Israel (Mashkenta)
Source Unifan
Durant les sept premières années de votre alyah, vous bénéficiez d’un emprunt logement accordé par le Ministère du logement, dont le montant est fonction de:
- La composition de votre famille
- La ville où est situé l’appartement
- Le nombre d’années passées en Israël depuis votre changement de statut
- Le nombre d’enfants de moins de 25 ans inscrits sur la Téoudat Olé
- La durée du service militaire effectué en Israël par les deux conjoints
Pour ce faire, vous devez adressez une demande auprès d’une banque hypothécaire - bank le Mashkentaot - de votre choix; celle-ci joue le rôle d’agent du Ministère.
Les documents requis pour obtenir l’agrément de ce prêt sont:
- Votre carte d’identité et celles de vos garants
- Vos bulletins de salaires ainsi que ceux de vos garants (ou justificatifs de rentrées financières)
- Le formulaire de demande de prêt dûment complété et signé
- Votre Téoudat Zakaout
- L’extrait du cadastre signifiant le changement de propriété en votre faveur.
En général, trois garants vous seront exigés par la banque hypothécaire. Ils devront être âgés de 21 à 55 ans et fournir des justificatifs de leurs rentrées financières.
Le prêt gouvernemental - Mashkenta - se compose de 2 parties :
1. Halvaa bessissite - Prêt de base remboursable sur une période maximale de 28 ans, indexé sur le coût de la vie, avec un interêt annuel de 4%. Cependant, si vous cédez votre bien avant le terme des 15 ans, vous aurez à rembourser le montant de ce don. Si vous vendez votre maison pour une autre, ce don sera transféré.
Par ailleurs, il existe d’autres formes d’emprunts :
a) Halvaat Makom - Prêt accordé dans certaines zones dites de développement, ou pour l’achat d’un logement en construction. Ce prêt est indexé au coût de la vie avec un intérêt annuel de 4.5%.
b) Mashlima : Prêt bancaire personnel complémentaire qui ne dépend pas du Ministère du logement, mais de la banque qui vous l’accorde. N’hésitez pas à contacter plusieurs banques et à faire jouer la concurrence.
Vérifiez que le propriétaire de l’appartement a déjà payé la taxe du Minhal Mekarkaé Israël, payable une fois à vie pour tout appartement. Dans le cas contraire, cette taxe sera à votre charge.
Il est conseillé de vérifier le montant qui vous sera accordé par le Ministère du logement avant de signer un contrat d’achat. N’entamez aucune procédure sans votre avocat.
Une famille d’olim peut acheter ou construire un logement en association avec un ou deux parents olim – nouveaux immigrants - (parents, oncle, tante, frère, soeur)
Les prêts peuvent alors se cumuler dans des conditions précises.
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Durant les sept premières années de votre alyah, vous bénéficiez d’un emprunt logement accordé par le Ministère du logement, dont le montant est fonction de:
- La composition de votre famille
- La ville où est situé l’appartement
- Le nombre d’années passées en Israël depuis votre changement de statut
- Le nombre d’enfants de moins de 25 ans inscrits sur la Téoudat Olé
- La durée du service militaire effectué en Israël par les deux conjoints
Pour ce faire, vous devez adressez une demande auprès d’une banque hypothécaire - bank le Mashkentaot - de votre choix; celle-ci joue le rôle d’agent du Ministère.
Les documents requis pour obtenir l’agrément de ce prêt sont:
- Votre carte d’identité et celles de vos garants
- Vos bulletins de salaires ainsi que ceux de vos garants (ou justificatifs de rentrées financières)
- Le formulaire de demande de prêt dûment complété et signé
- Votre Téoudat Zakaout
- L’extrait du cadastre signifiant le changement de propriété en votre faveur.
En général, trois garants vous seront exigés par la banque hypothécaire. Ils devront être âgés de 21 à 55 ans et fournir des justificatifs de leurs rentrées financières.
Le prêt gouvernemental - Mashkenta - se compose de 2 parties :
1. Halvaa bessissite - Prêt de base remboursable sur une période maximale de 28 ans, indexé sur le coût de la vie, avec un interêt annuel de 4%. Cependant, si vous cédez votre bien avant le terme des 15 ans, vous aurez à rembourser le montant de ce don. Si vous vendez votre maison pour une autre, ce don sera transféré.
Par ailleurs, il existe d’autres formes d’emprunts :
a) Halvaat Makom - Prêt accordé dans certaines zones dites de développement, ou pour l’achat d’un logement en construction. Ce prêt est indexé au coût de la vie avec un intérêt annuel de 4.5%.
b) Mashlima : Prêt bancaire personnel complémentaire qui ne dépend pas du Ministère du logement, mais de la banque qui vous l’accorde. N’hésitez pas à contacter plusieurs banques et à faire jouer la concurrence.
Vérifiez que le propriétaire de l’appartement a déjà payé la taxe du Minhal Mekarkaé Israël, payable une fois à vie pour tout appartement. Dans le cas contraire, cette taxe sera à votre charge.
Il est conseillé de vérifier le montant qui vous sera accordé par le Ministère du logement avant de signer un contrat d’achat. N’entamez aucune procédure sans votre avocat.
Une famille d’olim peut acheter ou construire un logement en association avec un ou deux parents olim – nouveaux immigrants - (parents, oncle, tante, frère, soeur)
Les prêts peuvent alors se cumuler dans des conditions précises.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Le Merkaz klita (centre d'integration)
source : Unifan
Le Merkaz Klita est une structure d’accueil destinée aux nouveaux immigrants, ou aux résidents temporaires, qui désirent se consacrer dans un premier temps à l’étude de la langue, ainsi qu’à la recherche d’un appartement et d’un travail.
L’avantage essentiel du Merkaz Klita est de réunir tous les services dont vous aurez besoin lors des premiers mois de votre intégration, comme: l’oulpan, la garde de vos enfants de 6 mois à 4 ans, ainsi que différents services sociaux et activités socio-culturelles pour les parents et les enfants.
L’inscription se fait, en général, à partir des bureaux de l’Agence Juive à l’étranger.
Le loyer au Merkaz Klita: vous êtes tenus de payer un loyer et les charges pour votre logement. Le loyer diffère selon les catégories d'appartements.
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Le Merkaz Klita est une structure d’accueil destinée aux nouveaux immigrants, ou aux résidents temporaires, qui désirent se consacrer dans un premier temps à l’étude de la langue, ainsi qu’à la recherche d’un appartement et d’un travail.
L’avantage essentiel du Merkaz Klita est de réunir tous les services dont vous aurez besoin lors des premiers mois de votre intégration, comme: l’oulpan, la garde de vos enfants de 6 mois à 4 ans, ainsi que différents services sociaux et activités socio-culturelles pour les parents et les enfants.
L’inscription se fait, en général, à partir des bureaux de l’Agence Juive à l’étranger.
Le loyer au Merkaz Klita: vous êtes tenus de payer un loyer et les charges pour votre logement. Le loyer diffère selon les catégories d'appartements.
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dimanche 25 novembre 2007
Israel en chiffres
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
POPULATION: 6 369 000
Juifs: 77,8%
Non-juifs: 22,2%
REPARTITION DE LA POPULATION
Villes et cités: 90,5%
dont:
Jérusalem: 10,3%
Tel Aviv : 5,8%
Haïfa: 4,2%
Villages et localités communautaires: 3,3%
Moshavim: 3,2%
Kibboutzim: 1,8%
ESPERANCE DE VIE
Femmes: 80,4
Hommes: 76,6
REPARTITION DE LA POPULATION ACTIVE
Services publics et personnels: 32,1%
Industrie: 16,7%
Tourisme, commerce et finances: 19,5%
Agriculture: 2,2%
Autres: 29,5%
ECONOMIE (milliards de $)
Produit National Brut: (PNB per capita: $17 691) 111,2
Exportations, marchandises et services: 49,4
Importations, marchandises et services: 57,4
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
POPULATION: 6 369 000
Juifs: 77,8%
Non-juifs: 22,2%
REPARTITION DE LA POPULATION
Villes et cités: 90,5%
dont:
Jérusalem: 10,3%
Tel Aviv : 5,8%
Haïfa: 4,2%
Villages et localités communautaires: 3,3%
Moshavim: 3,2%
Kibboutzim: 1,8%
ESPERANCE DE VIE
Femmes: 80,4
Hommes: 76,6
REPARTITION DE LA POPULATION ACTIVE
Services publics et personnels: 32,1%
Industrie: 16,7%
Tourisme, commerce et finances: 19,5%
Agriculture: 2,2%
Autres: 29,5%
ECONOMIE (milliards de $)
Produit National Brut: (PNB per capita: $17 691) 111,2
Exportations, marchandises et services: 49,4
Importations, marchandises et services: 57,4
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Israel: vie urbaine et vie rurale
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
Vie urbaine
Environ 91% de la population d'Israël est concentrée dans les centres urbains.
Certains sont situés sur d'anciens sites connus et portent leur nom d'origine; c'est le cas pour Jérusalem, Béer Shéva, Nazareth, Ashkelon, Akko, Safed et Tibériade, dont les quartiers anciens font partie intégrante des nouvelles villes en pleine expansion.
D'autres, comme Hédéra, Petah Tikva, Netanya et Rehovot, se sont développés à partir de villages créés avant l'indépendance. De nouveaux centres urbains se sont constitués durant les premières années de l'Etat, principalement dans les régions sous-peuplées, pour héberger une population en plein essor.
Les constructions urbaines, en pierre, béton et stuc sont de styles divers: vestiges restaurés des siècles passés; immeubles et logements construits pour accueillir les vagues d'immigration pendant la période précédant l'indépendance; faubourgs bâtis à la hâte pour intégrer les immigrants arrivés après l'établissement de l'Etat et, ces dernières années, des quartiers résidentiels, des centres commerciaux et industriels reflétant une planification moderne. La plupart des quartiers résidentiels sont séparés des zones industrielles et commerciales par de grands parcs bien entretenus et des aires de jeu situées dans les limites de la cité.
Les quatre villes principales d'Israël sont Tel Aviv, centre industriel, commercial, financier et culturel du pays, fondé en 1909 et la première ville juive de l'époque moderne; Haïfa, grand port méditerranéen et centre industriel du nord d'Israël; Béer Shéva, principal centre urbain du sud; et Jérusalem, la capitale.
Vie rurale
Près de 9 pour 100 de la population vit dans les zones rurales, au kibboutz ou au moshav, des villages à forme coopérativiste ou collectiviste créés au début du siècle, ou dans des villages agricoles.
Le kibboutz a été établi en tant qu'unité socio-économique où la propriété et les moyens de production appartiennent à la communauté; c'est l'assemblée générale des membres qui prend les décisions. Le kibboutz demande à ses membres une conduite responsable et de se consacrer à la communauté; en contrepartie il couvre tous leurs besoins de la naissance à la vieillesse.
Le kibboutz a fait bien du chemin depuis sa création à l'époque où il faisait oeuvre pionnière; l'agriculture constituait alors l'essentiel de son économie. Aujourd'hui, il a dû se diversifier en s'orientant vers des industries et services divers. Même s'il ne représente que 2% de la population d'Israël (dans environ 268 kibboutzim), ce secteur assure un pourcentage élevé de la production du pays: environ 38% de la production fermière et 8,4% de la production industrielle (diamants non compris). On note dernièrement le développement de l'infrastructure touristique offrant hébergement et couvert, ainsi que l'ouverture de points de vente commercialisant la production de telle ou telle usine; ces activités prennent une importance de plus en plus grande dans l'économie du kibboutz. Bien que ces ajustements exigent des changements d'une grande portée, il est admis que la capacité d'adaptation et celle permettant de trouver le compromis visé sont la clé de sa survie.
Le moshav est un village dans lequel chaque famille possède sa ferme et ses terres avec, à l'origine des coopératives de vente, d'achat et de services pour l'ensemble des exploitations; aujourd'hui les agriculteurs préfèrent plus d'indépendance économique. Près de 452 moshavim, comptant généralement 60 familles chacun, représentent 3,2 pour 100 de la population et fournissent une part importante des produits agricoles du pays.
Les villages (sans compter les localités communautaires) sont habités principalement par des Arabes et des Druses, et représentent près de 3% de la population d'Israël. Les maisons et les terres y sont propriété privée et les agriculteurs les cultivent sur une base individuelle. Ces dernières années ont vu un processus accéléré de mécanisation de l'agriculture, tandis qu'un nombre de plus en plus important de leurs habitants se tournent vers les industries légères locales ou vont travailler dans les centres urbains et ruraux voisins.
Environ la moitié des 170 000 Arabes bédouins du pays, autrefois nomades, sont sédentarisés. Les autres suivent leur mode de vie traditionnel bien que la plupart séjournent dans un seul endroit.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Vie urbaine
Environ 91% de la population d'Israël est concentrée dans les centres urbains.
Certains sont situés sur d'anciens sites connus et portent leur nom d'origine; c'est le cas pour Jérusalem, Béer Shéva, Nazareth, Ashkelon, Akko, Safed et Tibériade, dont les quartiers anciens font partie intégrante des nouvelles villes en pleine expansion.
D'autres, comme Hédéra, Petah Tikva, Netanya et Rehovot, se sont développés à partir de villages créés avant l'indépendance. De nouveaux centres urbains se sont constitués durant les premières années de l'Etat, principalement dans les régions sous-peuplées, pour héberger une population en plein essor.
Les constructions urbaines, en pierre, béton et stuc sont de styles divers: vestiges restaurés des siècles passés; immeubles et logements construits pour accueillir les vagues d'immigration pendant la période précédant l'indépendance; faubourgs bâtis à la hâte pour intégrer les immigrants arrivés après l'établissement de l'Etat et, ces dernières années, des quartiers résidentiels, des centres commerciaux et industriels reflétant une planification moderne. La plupart des quartiers résidentiels sont séparés des zones industrielles et commerciales par de grands parcs bien entretenus et des aires de jeu situées dans les limites de la cité.
Les quatre villes principales d'Israël sont Tel Aviv, centre industriel, commercial, financier et culturel du pays, fondé en 1909 et la première ville juive de l'époque moderne; Haïfa, grand port méditerranéen et centre industriel du nord d'Israël; Béer Shéva, principal centre urbain du sud; et Jérusalem, la capitale.
Vie rurale
Près de 9 pour 100 de la population vit dans les zones rurales, au kibboutz ou au moshav, des villages à forme coopérativiste ou collectiviste créés au début du siècle, ou dans des villages agricoles.
Le kibboutz a été établi en tant qu'unité socio-économique où la propriété et les moyens de production appartiennent à la communauté; c'est l'assemblée générale des membres qui prend les décisions. Le kibboutz demande à ses membres une conduite responsable et de se consacrer à la communauté; en contrepartie il couvre tous leurs besoins de la naissance à la vieillesse.
Le kibboutz a fait bien du chemin depuis sa création à l'époque où il faisait oeuvre pionnière; l'agriculture constituait alors l'essentiel de son économie. Aujourd'hui, il a dû se diversifier en s'orientant vers des industries et services divers. Même s'il ne représente que 2% de la population d'Israël (dans environ 268 kibboutzim), ce secteur assure un pourcentage élevé de la production du pays: environ 38% de la production fermière et 8,4% de la production industrielle (diamants non compris). On note dernièrement le développement de l'infrastructure touristique offrant hébergement et couvert, ainsi que l'ouverture de points de vente commercialisant la production de telle ou telle usine; ces activités prennent une importance de plus en plus grande dans l'économie du kibboutz. Bien que ces ajustements exigent des changements d'une grande portée, il est admis que la capacité d'adaptation et celle permettant de trouver le compromis visé sont la clé de sa survie.
Le moshav est un village dans lequel chaque famille possède sa ferme et ses terres avec, à l'origine des coopératives de vente, d'achat et de services pour l'ensemble des exploitations; aujourd'hui les agriculteurs préfèrent plus d'indépendance économique. Près de 452 moshavim, comptant généralement 60 familles chacun, représentent 3,2 pour 100 de la population et fournissent une part importante des produits agricoles du pays.
Les villages (sans compter les localités communautaires) sont habités principalement par des Arabes et des Druses, et représentent près de 3% de la population d'Israël. Les maisons et les terres y sont propriété privée et les agriculteurs les cultivent sur une base individuelle. Ces dernières années ont vu un processus accéléré de mécanisation de l'agriculture, tandis qu'un nombre de plus en plus important de leurs habitants se tournent vers les industries légères locales ou vont travailler dans les centres urbains et ruraux voisins.
Environ la moitié des 170 000 Arabes bédouins du pays, autrefois nomades, sont sédentarisés. Les autres suivent leur mode de vie traditionnel bien que la plupart séjournent dans un seul endroit.
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Transport du vehicule d'un touriste en Israel
En tant que touriste, vous ne pourrez importer votre véhicule que temporairement (3 mois renouvelables éventuellement une fois)
Vous ne paierez pas de taxes de douane.
La douane peut, théoriquement (nous ne l'avons jamais vu faire) vous demander de déposer un gage équivalent au montant des taxes que vous auriez du payer si vous n'étiez pas touriste.
Munissez-vous de :
Votre passeport
Permis de conduire etranger
Carte grise originale
Certificat d'assurance valide
Le tout au meme nom
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Vous ne paierez pas de taxes de douane.
La douane peut, théoriquement (nous ne l'avons jamais vu faire) vous demander de déposer un gage équivalent au montant des taxes que vous auriez du payer si vous n'étiez pas touriste.
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Permis de conduire etranger
Carte grise originale
Certificat d'assurance valide
Le tout au meme nom
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Israel dans le monde
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
PARMI LES NATIONS
L'Etat d'Israël est membre des Nations unies depuis 1949 et maintient des relations avec la plupart des Etats du monde. Ayant en mémoire des siècles de persécutions, l'expérience dramatique de l'Holocauste et les décennies du conflit israélo-arabe, la politique étrangère d'Israël a pour orientation la progression sur la voie de la paix, tout en assurant la sécurité du pays et la promotion de la coopération avec toutes les nations. L'un des aspects les plus importants de ses relations avec de nombreux pays en voie de développement d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine est le partage de l'expérience et des techniques dans des domaines tels que l'agriculture, l'hydrologie, la planification régionale, la santé publique et le développement communautaire.
ISRAEL ET LE MONDE JUIF
Il y a, selon les dernières statistiques, plus de 13 millions de juifs dans le monde, dont 37% vivent en Israël, et environ 46% en Amérique du Nord. Les relations entre les communautés juives de la Diaspora et Israël s'établissent à divers niveaux, incluant notamment un dialogue constant sur les problèmes d'intérêt mutuel. Israël contribue au renforcement de ses liens avec la Diaspora par la promotion de l'enseignement de l'hébreu, d'activités juives et sionistes, de missions d'étude et du tourisme, la recherche d'investissements financiers et d'entreprises économiques communes. Les juifs de la Diaspora participent à la construction du pays par des contributions financières, leur soutien social et politique et en venant vivre en Israël qu'ils font bénéficier de leurs formations professionnelles et de leurs apports culturels.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
PARMI LES NATIONS
L'Etat d'Israël est membre des Nations unies depuis 1949 et maintient des relations avec la plupart des Etats du monde. Ayant en mémoire des siècles de persécutions, l'expérience dramatique de l'Holocauste et les décennies du conflit israélo-arabe, la politique étrangère d'Israël a pour orientation la progression sur la voie de la paix, tout en assurant la sécurité du pays et la promotion de la coopération avec toutes les nations. L'un des aspects les plus importants de ses relations avec de nombreux pays en voie de développement d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine est le partage de l'expérience et des techniques dans des domaines tels que l'agriculture, l'hydrologie, la planification régionale, la santé publique et le développement communautaire.
ISRAEL ET LE MONDE JUIF
Il y a, selon les dernières statistiques, plus de 13 millions de juifs dans le monde, dont 37% vivent en Israël, et environ 46% en Amérique du Nord. Les relations entre les communautés juives de la Diaspora et Israël s'établissent à divers niveaux, incluant notamment un dialogue constant sur les problèmes d'intérêt mutuel. Israël contribue au renforcement de ses liens avec la Diaspora par la promotion de l'enseignement de l'hébreu, d'activités juives et sionistes, de missions d'étude et du tourisme, la recherche d'investissements financiers et d'entreprises économiques communes. Les juifs de la Diaspora participent à la construction du pays par des contributions financières, leur soutien social et politique et en venant vivre en Israël qu'ils font bénéficier de leurs formations professionnelles et de leurs apports culturels.
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Le système de santé israélien.
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
Le réseau médical étendu d'Israël et le taux élevé de médecins par rapport à la population se traduisent par un faible taux de mortalité infantile (5,8 pour mille enfants) et une espérance de vie élevée (80,3 ans pour les femmes et 76,1 ans pour les hommes)
Les facultés de médecine, de dentisterie, de pharmacologie, les écoles d'infirmières et de rééducation physique assurent une formation de type occidental pour toutes les professions médicales.
La loi sur l'assurance nationale de santé entrée en vigueur en janvier 1995 assure un panier-standard de services, hospitalisation comprise, à tous les résidents d'Israël. L'Institut national d'assurances est chargé du recouvrement des cotisations et de verser les fonds aux quatre caisses d'assurance-maladie qui fournissent les soins médicaux.
C'est le ministère de la Santé publique qui est chargé de l'organisation des services sanitaires; il prépare la législation adéquate et veille à son application; il contrôle les standards médicaux à travers le pays; il délivre les permis d'exercice de la profession et assure la planification et la construction d'hôpitaux. Il agit également en tant que service public sanitaire pour tout ce qui concerne la médecine environnementale et préventive.
Il existe en Israël environ 344 hôpitaux généraux et spécialisés comptant 38 600 lits et cela en plus des dispensaires, centres de protection maternelle et infantile, maisons de repos, centres de rééducation et services de santé scolaires qui incluent les soins dentaires. Les soins et services médicaux sont assurés par le ministère de la Santé, les grandes municipalités, les institutions médicales publiques et privées et les caisses d'assurance-maladie.
Les soins d'urgence et premiers secours sont donnés par le Maguen David Adom (Bouclier rouge de David) équivalent de la Croix-Rouge et du Croissant rouge ailleurs. Il assure, à travers tout le pays, un service d'ambulances, d'unités mobiles de soins intensifs, de postes de premiers secours et une banque du sang.
Des chercheurs israéliens ont apporté d'importantes contributions au progrès de la médecine dans les domaines du cancer et de l'immunologie, la cardiologie et la chirurgie du cerveau, l'orthopédie et la chirurgie plastique ainsi que le traitement des brûlures. Israël joue également un rôle important dans le développement de la technologie médicale, des diagnostics par ordinateurs, systèmes de surveillance et régulation, stimulateurs, lasers médicaux et autres équipements d'assistance médicale et de lutte contre la douleur.
Regardez sur notre site www.demeco-isradem.com la brochure "Preserver sa santé en Israel"
Le réseau médical étendu d'Israël et le taux élevé de médecins par rapport à la population se traduisent par un faible taux de mortalité infantile (5,8 pour mille enfants) et une espérance de vie élevée (80,3 ans pour les femmes et 76,1 ans pour les hommes)
Les facultés de médecine, de dentisterie, de pharmacologie, les écoles d'infirmières et de rééducation physique assurent une formation de type occidental pour toutes les professions médicales.
La loi sur l'assurance nationale de santé entrée en vigueur en janvier 1995 assure un panier-standard de services, hospitalisation comprise, à tous les résidents d'Israël. L'Institut national d'assurances est chargé du recouvrement des cotisations et de verser les fonds aux quatre caisses d'assurance-maladie qui fournissent les soins médicaux.
C'est le ministère de la Santé publique qui est chargé de l'organisation des services sanitaires; il prépare la législation adéquate et veille à son application; il contrôle les standards médicaux à travers le pays; il délivre les permis d'exercice de la profession et assure la planification et la construction d'hôpitaux. Il agit également en tant que service public sanitaire pour tout ce qui concerne la médecine environnementale et préventive.
Il existe en Israël environ 344 hôpitaux généraux et spécialisés comptant 38 600 lits et cela en plus des dispensaires, centres de protection maternelle et infantile, maisons de repos, centres de rééducation et services de santé scolaires qui incluent les soins dentaires. Les soins et services médicaux sont assurés par le ministère de la Santé, les grandes municipalités, les institutions médicales publiques et privées et les caisses d'assurance-maladie.
Les soins d'urgence et premiers secours sont donnés par le Maguen David Adom (Bouclier rouge de David) équivalent de la Croix-Rouge et du Croissant rouge ailleurs. Il assure, à travers tout le pays, un service d'ambulances, d'unités mobiles de soins intensifs, de postes de premiers secours et une banque du sang.
Des chercheurs israéliens ont apporté d'importantes contributions au progrès de la médecine dans les domaines du cancer et de l'immunologie, la cardiologie et la chirurgie du cerveau, l'orthopédie et la chirurgie plastique ainsi que le traitement des brûlures. Israël joue également un rôle important dans le développement de la technologie médicale, des diagnostics par ordinateurs, systèmes de surveillance et régulation, stimulateurs, lasers médicaux et autres équipements d'assistance médicale et de lutte contre la douleur.
Regardez sur notre site www.demeco-isradem.com la brochure "Preserver sa santé en Israel"
samedi 24 novembre 2007
Les institutions de l'Etat d'Israel
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
La Déclaration d'Indépendance de l'Etat d'Israël (14 mai 1948) constitue le credo de la nation et stipule que "L'Etat d'Israël... assurera à tous ses habitants l'égalité complète des droits sociaux et politiques, sans distinction de religion, de race ou de sexe; il garantira la liberté de culte, de conscience, de langue, d'éducation et de culture. Il assurera la protection des Lieux saints de toutes les religions et sera fidèle aux principes de la Charte des Nations unies".
Israël est une démocratie parlementaire où le législatif, l'exécutif et le judiciaire reposent sur le principe de la séparation des pouvoirs afin de mieux assurer le contrôle et l'équilibre du régime.
LE PRESIDENT
Chef de l'Etat. Elu par la Knesset (le Parlement israélien) pour un mandat de sept ans, le président signe les lois. La charge du président, dont les fonctions sont principalements représentatives, symbolise l'unité de la nation. Il dispose du droit de grâce et de commutation des peines sur recommandation du ministre de la Justice et reçoit les lettres de créance des ambassadeurs étrangers.
LA KNESSET
Assemblée législative, est un parlement à chambre unique comptant 120 membres qui siègent en sessions plénières et au sein de 15 commissions parlementaires. Les sessions plénières sont consacrées aux débats généraux et aux votes sur la politique et l'action du gouvernement, ainsi qu'à l'examen de projets de lois soumis par le gouvernement ou, à titre personnel, par les parlementaires. Avant leur promulgation, les lois passent trois lectures. Des amendements sont introduits en commission après la première lecture et approuvés en session plénière lors de la seconde; un vote final a lieu en troisième lecture. Le président de la Knesset, le président, le premier ministre et le ministre compétent signent les lois. Les débats à la Knesset ont lieu en hébreu; les parlementaires arabes et druzes peuvent s'exprimer en arabe (langue officielle en Israël) et un système de traduction simultanée fonctionne à cet effet.
Les parlementaires, représentant une vaste gamme de partis politiques, sont élus tous les quatre ans dans le cadre d'élections nationales, l'ensemble du pays constituant une seule circonscription. Le nombre de sièges attribués à chaque parti à la Knesset est proportionnel au pourcentage des suffrages exprimés que ce parti a obtenu sur le plan national. Tout citoyen dispose du droit de vote à partir de 18 ans et est éligible à 21 ans.
LE GOUVERNEMENT
Le pouvoir exécutif est responsable devant la Knesset dont il doit obtenir la confiance. Il dispose de larges pouvoirs pour diriger tous les aspects majeurs de la vie du pays. Quant aux prochaines élections législatives, le président chargera un député de former le gouvernement et de présenter une liste de ministres à l'approbation de la Knesset dans les 28 jours ; la moitié des members du gouvernement doivent être des députés. La plupart des ministres se voient attribuer un portefeuille et sont à la tête d'un ministère; d'autres exercent la fonction de ministre sans portefeuille mais peuvent se voir confier des tâches spéciales. Le premier ministre peut également faire office de ministre en charge d'un portefeuille.
Depuis 1948, tous les gouvernements ont reposé sur des coalitions entre divers partis, aucun d'entre eux n'ayant jamais obtenu la majorité absolue. Le mandat du gouvernement est de quatre ans, mais il peut être raccourci par la démission ou le décès du premier ministre ou le vote d'une motion de censure par la Knesset.
LE JUDICIAIRE
Est absolument indépendant de l'exécutif et du législatif. Les juges sont nommés par le président de l'Etat sur recommandation d'une commission publique et restent en fonction jusqu'à leur retraite à l'âge de 70 ans. Le système judiciaire comprend trois niveaux: des tribunaux de première instance, compétents en matière civile et pour les délits mineurs; des tribunaux de district, compétents pour toutes les affaires civiles et criminelles échappant à la compétence des tribunaux de première instance; la Cour suprême, à compétence nationale, siégeant comme cour d'appel et Haute cour de justice pour les plaintes des particuliers contre l'administration.La loi assure aux citoyens leurs pleins droits démocratiques et individuels: liberté d'expression et de culte, suffrage universel et égalité devant la loi. La liberté de la presse, d'appartenance politique, la liberté d'emploi, le droit de grève et le droit de manifester sont également reconnus par la législation israélienne.
Lors de l'accession d'Israël à l'indépendance, l'ensemble des lois retenues comprenait la réglementation en vigueur pendant la période du Mandat britannique (1922-1948) dans la mesure où cette réglementation n'était pas en contradiction avec les dispositions de la Déclaration d'indépendance de l'Etat. Depuis, de nouvelles lois ont été adoptées et les anciens textes amendés pour faire face aux nouvelles situations. Un certain nombre de lois fondamentales régissent le fonctionnement des principales institutions de l'Etat.
L'ADMINISTRATION LOCALE
Comprend 63 municipalités et 146 conseils locaux. Les conseils locaux et municipaux sont élus à la représentation proportionnelle: les maires et présidents des conseils locaux sont élus par un vote direct. A la tête des 53 conseils régionaux (qui regroupent chacun plusieurs petites localités) se trouvent des présidents élus au sein des comités directeurs de ces localités).
LES FORCES DE DEFENSE D'ISRAEL
Sont constituées par les appelés qui font leur service militaire obligatoire, les réservistes et les militaires de carrière. Tous les appelés, garçons et filles de 18 ans, font un service militaire de 3 ans pour les hommes et 21 mois pour les femmes. Les hommes assurent des périodes de réserve jusqu'à 51 ans et les femmes jusqu'à 24 ans. Des étudiants dans certaines disciplines intéressant l'armée (médecine, infirmerie, enseignement, ingénierie) peuvent obtenir un sursis et doivent ensuite servir, dans leur profession, pour une période de 3 à 5 ans après l'obtention de leur diplôme. Avec un faible contingent, Tsahal compte surtout sur les réservistes appelés régulièrement pour des périodes d'entraînement et de service. Ainsi l'armée et la nation sont, en fait, confondues par ces passages constants de la vie civile à la vie militaire.
L'armée est également sensible aux autres demandes de la société et elle a, au cours des années, rempli des tâches sociales et nationales variées. La mise en uvre de divers programmes répond notamment aux besoins les plus urgents du moment.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
La Déclaration d'Indépendance de l'Etat d'Israël (14 mai 1948) constitue le credo de la nation et stipule que "L'Etat d'Israël... assurera à tous ses habitants l'égalité complète des droits sociaux et politiques, sans distinction de religion, de race ou de sexe; il garantira la liberté de culte, de conscience, de langue, d'éducation et de culture. Il assurera la protection des Lieux saints de toutes les religions et sera fidèle aux principes de la Charte des Nations unies".
Israël est une démocratie parlementaire où le législatif, l'exécutif et le judiciaire reposent sur le principe de la séparation des pouvoirs afin de mieux assurer le contrôle et l'équilibre du régime.
LE PRESIDENT
Chef de l'Etat. Elu par la Knesset (le Parlement israélien) pour un mandat de sept ans, le président signe les lois. La charge du président, dont les fonctions sont principalements représentatives, symbolise l'unité de la nation. Il dispose du droit de grâce et de commutation des peines sur recommandation du ministre de la Justice et reçoit les lettres de créance des ambassadeurs étrangers.
LA KNESSET
Assemblée législative, est un parlement à chambre unique comptant 120 membres qui siègent en sessions plénières et au sein de 15 commissions parlementaires. Les sessions plénières sont consacrées aux débats généraux et aux votes sur la politique et l'action du gouvernement, ainsi qu'à l'examen de projets de lois soumis par le gouvernement ou, à titre personnel, par les parlementaires. Avant leur promulgation, les lois passent trois lectures. Des amendements sont introduits en commission après la première lecture et approuvés en session plénière lors de la seconde; un vote final a lieu en troisième lecture. Le président de la Knesset, le président, le premier ministre et le ministre compétent signent les lois. Les débats à la Knesset ont lieu en hébreu; les parlementaires arabes et druzes peuvent s'exprimer en arabe (langue officielle en Israël) et un système de traduction simultanée fonctionne à cet effet.
Les parlementaires, représentant une vaste gamme de partis politiques, sont élus tous les quatre ans dans le cadre d'élections nationales, l'ensemble du pays constituant une seule circonscription. Le nombre de sièges attribués à chaque parti à la Knesset est proportionnel au pourcentage des suffrages exprimés que ce parti a obtenu sur le plan national. Tout citoyen dispose du droit de vote à partir de 18 ans et est éligible à 21 ans.
LE GOUVERNEMENT
Le pouvoir exécutif est responsable devant la Knesset dont il doit obtenir la confiance. Il dispose de larges pouvoirs pour diriger tous les aspects majeurs de la vie du pays. Quant aux prochaines élections législatives, le président chargera un député de former le gouvernement et de présenter une liste de ministres à l'approbation de la Knesset dans les 28 jours ; la moitié des members du gouvernement doivent être des députés. La plupart des ministres se voient attribuer un portefeuille et sont à la tête d'un ministère; d'autres exercent la fonction de ministre sans portefeuille mais peuvent se voir confier des tâches spéciales. Le premier ministre peut également faire office de ministre en charge d'un portefeuille.
Depuis 1948, tous les gouvernements ont reposé sur des coalitions entre divers partis, aucun d'entre eux n'ayant jamais obtenu la majorité absolue. Le mandat du gouvernement est de quatre ans, mais il peut être raccourci par la démission ou le décès du premier ministre ou le vote d'une motion de censure par la Knesset.
LE JUDICIAIRE
Est absolument indépendant de l'exécutif et du législatif. Les juges sont nommés par le président de l'Etat sur recommandation d'une commission publique et restent en fonction jusqu'à leur retraite à l'âge de 70 ans. Le système judiciaire comprend trois niveaux: des tribunaux de première instance, compétents en matière civile et pour les délits mineurs; des tribunaux de district, compétents pour toutes les affaires civiles et criminelles échappant à la compétence des tribunaux de première instance; la Cour suprême, à compétence nationale, siégeant comme cour d'appel et Haute cour de justice pour les plaintes des particuliers contre l'administration.La loi assure aux citoyens leurs pleins droits démocratiques et individuels: liberté d'expression et de culte, suffrage universel et égalité devant la loi. La liberté de la presse, d'appartenance politique, la liberté d'emploi, le droit de grève et le droit de manifester sont également reconnus par la législation israélienne.
Lors de l'accession d'Israël à l'indépendance, l'ensemble des lois retenues comprenait la réglementation en vigueur pendant la période du Mandat britannique (1922-1948) dans la mesure où cette réglementation n'était pas en contradiction avec les dispositions de la Déclaration d'indépendance de l'Etat. Depuis, de nouvelles lois ont été adoptées et les anciens textes amendés pour faire face aux nouvelles situations. Un certain nombre de lois fondamentales régissent le fonctionnement des principales institutions de l'Etat.
L'ADMINISTRATION LOCALE
Comprend 63 municipalités et 146 conseils locaux. Les conseils locaux et municipaux sont élus à la représentation proportionnelle: les maires et présidents des conseils locaux sont élus par un vote direct. A la tête des 53 conseils régionaux (qui regroupent chacun plusieurs petites localités) se trouvent des présidents élus au sein des comités directeurs de ces localités).
LES FORCES DE DEFENSE D'ISRAEL
Sont constituées par les appelés qui font leur service militaire obligatoire, les réservistes et les militaires de carrière. Tous les appelés, garçons et filles de 18 ans, font un service militaire de 3 ans pour les hommes et 21 mois pour les femmes. Les hommes assurent des périodes de réserve jusqu'à 51 ans et les femmes jusqu'à 24 ans. Des étudiants dans certaines disciplines intéressant l'armée (médecine, infirmerie, enseignement, ingénierie) peuvent obtenir un sursis et doivent ensuite servir, dans leur profession, pour une période de 3 à 5 ans après l'obtention de leur diplôme. Avec un faible contingent, Tsahal compte surtout sur les réservistes appelés régulièrement pour des périodes d'entraînement et de service. Ainsi l'armée et la nation sont, en fait, confondues par ces passages constants de la vie civile à la vie militaire.
L'armée est également sensible aux autres demandes de la société et elle a, au cours des années, rempli des tâches sociales et nationales variées. La mise en uvre de divers programmes répond notamment aux besoins les plus urgents du moment.
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Culture et loisirs en Israel
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
Quatre millénaires de patrimoine juif, un siècle de sionisme politique et cinq décennies de vie nationale moderne ont contribué au développement d'une culture israélienne reflétant des éléments internationaux tout en aspirant à son authenticité propre. L'expression culturelle artistique est presque aussi variée en Israël que sa population; les activités artistiques satisfont tous les goûts et des créateurs et interprètes de niveau international y côtoient de futurs artistes et des amateurs.
LE PEUPLE DU LIVRE
A la base du développement littéraire du pays se trouve la renaissance, depuis un siècle, de la langue hébraïque. Les écrivains et poètes israéliens traitent aussi bien les sujets d'intérêt purement local que les grands thèmes universels, exprimant la nature changeante des problèmes du pays et le développement de la société complexe et variée. Près de 2 500 titres nouveaux publiés annuellement, en plus des rééditions de classiques et des ouvrages importés, sont vendus dans les librairies de chaque ville et bourgade. Plus de 1 000 bibliothèques de prêts, dont certaines ambulantes desservant les localités les plus isolées, complètent ce réseau de distribution. La Foire internationale du livre attire, tous les deux ans, à Jérusalem, des milliers de visiteurs et, chaque printemps, la Semaine du livre hébraïque transforme les parcs et jardins en marchés où la foule se presse avec intérêt.
ARTS PLASTIQUES
La peinture et la sculpture, tout en reflétant les courants internationaux modernes, sont, elles aussi, influencées par le paysage et le caractère spécifiques d'Israël. L'art, sous toutes ses formes, est largement exposé dans les musées et nombreuses galeries que l'on trouve dans tout le pays. De vieux quartiers de Jérusalem, Jaffa et Safed ont été transformés en colonies d'artistes et le village d'artistes de Ein Hod, sur les pentes du Carmel, près de Haïfa, offre un merveilleux décor rustique aux artistes qui y vivent.
MUSIQUE, THEATRE ET DANSE
Plusieurs orchestres symphoniques, dont l'Orchestre philharmonique d'Israël de réputation mondiale, des chorales, une troupe d'opéra et des dizaines d'ensembles de chambre se produisent dans tout le pays. Les troupes de danse professionnelles et les troupes folkloriques se présentent devant des publics enthousiastes. Habimah, la troupe de théâtre nationale, des théâtres municipaux et diverses troupes de professionnels et amateurs ont un répertoire allant des pièces classiques aux dernières productions des dramaturges israéliens. L'industrie israélienne du cinéma commence à se faire une place sur le marché international.
La chanson fait partie de la vie quotidienne et les Israéliens manquent rarement les occasions publiques ou privées de chanter; des chanteurs israéliens participent, non sans succès, à des compétitions internationales. Les chansons folkloriques ont un style très particulier, mélange de mélodies d'origines ethniques diverses et de paroles souvent extraites de la Bible. Certaines sont à l'origine de danses folkloriques, très appréciées en Israël par les amateurs de tous âges.
ARCHEOLOGIE
Le lien entre le passé du pays et son présent est visible sous sa forme la plus matérielle dans plus de 3 500 sites archéologiques officiellement enregistrés et représentant des millénaires d'histoire. Plusieurs découvertes confirment la continuité des liens entre le peuple juif et la Terre d'Israël; c'est le cas, entre autres, des écuries de Salomon à Meggido, des maisons de la période du Temple dans la Cité de David à Jérusalem, des bains rituels à Massada, de nombreux vestiges de synagogues dans tout le pays et des Manuscrits de la mer Morte comprenant le plus ancien exemplaire du Livre d'Isaïe, encore facilement lisible. Des fouilles ont révélé des vestiges d'autres civilisations ayant laissé leur empreinte sur le pays au cours des siècles. Toutes les découvertes et tous les sites sont répertoriés et préservés pour le bénéfice des chercheurs et des visiteurs.
MUSEES
Quelque 170 musées, couvrant des sujets allant de l'archéologie à la zoologie, sont à la disposition des visiteurs dans les villes, bourgades et kibboutzim du pays et en reçoivent plus de 8 millions par an. Le Musée Israël, musée national, consacre des pavillons à l'archéologie, aux uvres de Judaïca, et aux Impressionnistes et peintres israéliens; il abrite les Manuscrits de la mer Morte et des collections spéciales. Yad Vashem, le Mémorial national des héros et des martyrs de la Shoah, comprend un musée historique consacré au génocide. D'autres, comme le musée Ha'Aretz, présentent des expositions permanentes liées au développement du pays depuis les temps préhistoriques. D'une conception tout à fait unique, le musée de la Diaspora (Beit Ha'Tefoutsot) expose, à l'aide de maquettes, dioramas, ordinateurs et des équipements audio-visuels, l'histoire des communautés juives dans le monde.
MEDIA
La liberté de la presse fait partie intégrante de la démocratie israélienne. Il paraît en Israël 17 quotidiens en hébreu et 11 en d'autres langues dont l'arabe, plus un grand nombre de publications périodiques.Deux chaînes de télévision, la télévision câblée et par satellite (chaînes locales et des dizaines de chaînes internationales) ainsi que plusieurs stations de radio présentent une grande variété d'émissions et notamment les actualités, des interviews, débats, jeux, films et variétés, en sus des programmes éducatifs et culturels. Des émissions en langue arabe sont conçues en fonction des intérêts de la population arabe tandis que des programmes dans d'autres langues viennent répondre aux besoins des nouveaux immigrants et des touristes. Des émissions sur ondes courtes sont diffusées régulièrement à l'intention des auditeurs à l'étranger.
SPORT
Le football et le basket-ball sont les sports les plus populaires d'Israël, suivis par la natation, le tennis, le volley-ball, la gymnastique, l'athlétisme et d'autres spécialités qui, chaque année, conquièrent un nouveau public. Des équipes locales disputent régulièrement des championnats devant de grandes foules de supporters et les équipes nationales représentent Israël dans les compétitions internationales.
Les principales organisations sportives d'Israël (Maccabi, Bétar, Hapoel et Elitsour) ont des équipes locales dans divers sports, ainsi que des établissements dans lesquels s'entraînent les futurs champions. Des sportifs juifs du monde entier participent aux Maccabiades et aux championnats de l'Hapoel, ces rencontres ayant lieu tous les quatre ans.
Des compétitions spéciales, telles que le marathon annuel autour du lac Kinnéret (mer de Galilée), la traversée du lac et la Marche de Jérusalem attirent des milliers de participants chaque année. Le camping et les excursions sont très populaires et près de 6 500 000 personnes visitent annuellement les nombreux parcs nationaux et réserves naturelles. Pour ceux qui aiment l'aventure, des excursions sont organisées hors des sentiers battus dans quelques-uns des plus beaux sites du monde et des plongées sous-marines leur offrent les merveilleux paysages de coraux du golfe d'Eilat; ils ont également la possibilité de parcourir à cheval les collines de Galilée, les côtes de la Méditerranée et d'autres régions. Ces dernières années ont vu le développement des courses cyclistes et automobiles, des sports nautiques, du vol à voile, de la planche à voile et de l'alpinisme.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Quatre millénaires de patrimoine juif, un siècle de sionisme politique et cinq décennies de vie nationale moderne ont contribué au développement d'une culture israélienne reflétant des éléments internationaux tout en aspirant à son authenticité propre. L'expression culturelle artistique est presque aussi variée en Israël que sa population; les activités artistiques satisfont tous les goûts et des créateurs et interprètes de niveau international y côtoient de futurs artistes et des amateurs.
LE PEUPLE DU LIVRE
A la base du développement littéraire du pays se trouve la renaissance, depuis un siècle, de la langue hébraïque. Les écrivains et poètes israéliens traitent aussi bien les sujets d'intérêt purement local que les grands thèmes universels, exprimant la nature changeante des problèmes du pays et le développement de la société complexe et variée. Près de 2 500 titres nouveaux publiés annuellement, en plus des rééditions de classiques et des ouvrages importés, sont vendus dans les librairies de chaque ville et bourgade. Plus de 1 000 bibliothèques de prêts, dont certaines ambulantes desservant les localités les plus isolées, complètent ce réseau de distribution. La Foire internationale du livre attire, tous les deux ans, à Jérusalem, des milliers de visiteurs et, chaque printemps, la Semaine du livre hébraïque transforme les parcs et jardins en marchés où la foule se presse avec intérêt.
ARTS PLASTIQUES
La peinture et la sculpture, tout en reflétant les courants internationaux modernes, sont, elles aussi, influencées par le paysage et le caractère spécifiques d'Israël. L'art, sous toutes ses formes, est largement exposé dans les musées et nombreuses galeries que l'on trouve dans tout le pays. De vieux quartiers de Jérusalem, Jaffa et Safed ont été transformés en colonies d'artistes et le village d'artistes de Ein Hod, sur les pentes du Carmel, près de Haïfa, offre un merveilleux décor rustique aux artistes qui y vivent.
MUSIQUE, THEATRE ET DANSE
Plusieurs orchestres symphoniques, dont l'Orchestre philharmonique d'Israël de réputation mondiale, des chorales, une troupe d'opéra et des dizaines d'ensembles de chambre se produisent dans tout le pays. Les troupes de danse professionnelles et les troupes folkloriques se présentent devant des publics enthousiastes. Habimah, la troupe de théâtre nationale, des théâtres municipaux et diverses troupes de professionnels et amateurs ont un répertoire allant des pièces classiques aux dernières productions des dramaturges israéliens. L'industrie israélienne du cinéma commence à se faire une place sur le marché international.
La chanson fait partie de la vie quotidienne et les Israéliens manquent rarement les occasions publiques ou privées de chanter; des chanteurs israéliens participent, non sans succès, à des compétitions internationales. Les chansons folkloriques ont un style très particulier, mélange de mélodies d'origines ethniques diverses et de paroles souvent extraites de la Bible. Certaines sont à l'origine de danses folkloriques, très appréciées en Israël par les amateurs de tous âges.
ARCHEOLOGIE
Le lien entre le passé du pays et son présent est visible sous sa forme la plus matérielle dans plus de 3 500 sites archéologiques officiellement enregistrés et représentant des millénaires d'histoire. Plusieurs découvertes confirment la continuité des liens entre le peuple juif et la Terre d'Israël; c'est le cas, entre autres, des écuries de Salomon à Meggido, des maisons de la période du Temple dans la Cité de David à Jérusalem, des bains rituels à Massada, de nombreux vestiges de synagogues dans tout le pays et des Manuscrits de la mer Morte comprenant le plus ancien exemplaire du Livre d'Isaïe, encore facilement lisible. Des fouilles ont révélé des vestiges d'autres civilisations ayant laissé leur empreinte sur le pays au cours des siècles. Toutes les découvertes et tous les sites sont répertoriés et préservés pour le bénéfice des chercheurs et des visiteurs.
MUSEES
Quelque 170 musées, couvrant des sujets allant de l'archéologie à la zoologie, sont à la disposition des visiteurs dans les villes, bourgades et kibboutzim du pays et en reçoivent plus de 8 millions par an. Le Musée Israël, musée national, consacre des pavillons à l'archéologie, aux uvres de Judaïca, et aux Impressionnistes et peintres israéliens; il abrite les Manuscrits de la mer Morte et des collections spéciales. Yad Vashem, le Mémorial national des héros et des martyrs de la Shoah, comprend un musée historique consacré au génocide. D'autres, comme le musée Ha'Aretz, présentent des expositions permanentes liées au développement du pays depuis les temps préhistoriques. D'une conception tout à fait unique, le musée de la Diaspora (Beit Ha'Tefoutsot) expose, à l'aide de maquettes, dioramas, ordinateurs et des équipements audio-visuels, l'histoire des communautés juives dans le monde.
MEDIA
La liberté de la presse fait partie intégrante de la démocratie israélienne. Il paraît en Israël 17 quotidiens en hébreu et 11 en d'autres langues dont l'arabe, plus un grand nombre de publications périodiques.Deux chaînes de télévision, la télévision câblée et par satellite (chaînes locales et des dizaines de chaînes internationales) ainsi que plusieurs stations de radio présentent une grande variété d'émissions et notamment les actualités, des interviews, débats, jeux, films et variétés, en sus des programmes éducatifs et culturels. Des émissions en langue arabe sont conçues en fonction des intérêts de la population arabe tandis que des programmes dans d'autres langues viennent répondre aux besoins des nouveaux immigrants et des touristes. Des émissions sur ondes courtes sont diffusées régulièrement à l'intention des auditeurs à l'étranger.
SPORT
Le football et le basket-ball sont les sports les plus populaires d'Israël, suivis par la natation, le tennis, le volley-ball, la gymnastique, l'athlétisme et d'autres spécialités qui, chaque année, conquièrent un nouveau public. Des équipes locales disputent régulièrement des championnats devant de grandes foules de supporters et les équipes nationales représentent Israël dans les compétitions internationales.
Les principales organisations sportives d'Israël (Maccabi, Bétar, Hapoel et Elitsour) ont des équipes locales dans divers sports, ainsi que des établissements dans lesquels s'entraînent les futurs champions. Des sportifs juifs du monde entier participent aux Maccabiades et aux championnats de l'Hapoel, ces rencontres ayant lieu tous les quatre ans.
Des compétitions spéciales, telles que le marathon annuel autour du lac Kinnéret (mer de Galilée), la traversée du lac et la Marche de Jérusalem attirent des milliers de participants chaque année. Le camping et les excursions sont très populaires et près de 6 500 000 personnes visitent annuellement les nombreux parcs nationaux et réserves naturelles. Pour ceux qui aiment l'aventure, des excursions sont organisées hors des sentiers battus dans quelques-uns des plus beaux sites du monde et des plongées sous-marines leur offrent les merveilleux paysages de coraux du golfe d'Eilat; ils ont également la possibilité de parcourir à cheval les collines de Galilée, les côtes de la Méditerranée et d'autres régions. Ces dernières années ont vu le développement des courses cyclistes et automobiles, des sports nautiques, du vol à voile, de la planche à voile et de l'alpinisme.
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Population de l'état d'Israel
Source : Ministère des affaires étrangères israélien
Fondée en tant qu'Etat juif, la société israélienne, qui compte plus de six millions d'habitants, constitue une mosaïque de religions, de cultures et de traditions sociales. La citoyenneté y est déterminée par la naissance, la résidence ou la naturalisation; ceux qui le souhaitent peuvent conserver une double nationalité.
L'affiliation et la pratique religieuses sont un choix personnel et la liberté de culte est garantie par la Déclaration d'Indépendance de l'Etat. A l'heure actuelle, la population du pays comprend un peu plus de 77,8% de juifs, près de 15,2% de musulmans, 2,1% de chrétiens (surtout arabes), 1,7% de Druzes et 3,2% non classés par la religion.
Dans ce cadre pluraliste, les diverses communautés maintiennent leurs propres institutions religieuses, éducatives, culturelles et charitables. Les tribunaux de chaque communauté ont pleine juridiction pour tout ce qui concerne le statut personnel de leurs membres.
Les Lieux saints du pays sont administrés par les autorités religieuses de chaque communauté; la loi assure leur protection contre toutes tentatives de profanation et en garantit le libre accès.
Le jour de repos officiel est le samedi. Les musulmans ont leur jour férié le vendredi et les chrétiens le dimanche.
Depuis l'établissement de l'Etat (1948) la population juive est passée de 650 000 âmes à près de cinq millions d'habitants, doublant au cours des seules quatre premières années, avec l'immigration de masse composée de survivants de l'Holocauste et de réfugiés des pays arabes. Les juifs ont ensuite continué à arriver en nombres plus ou moins importants, venant aussi bien de pays où ils étaient persécutés que du monde libre. Deux grandes opérations (1984, 1991) ont fait venir en Israël la quasi-totalité de la communauté juive d'Ethiopie, considérée comme remontant à l'époque du roi Salomon. Une autre grande vague d'immigration, qui débuta en 1989, a conduit en Israël plus d'un million juifs de l'ex-Union soviétique.
Dans le cadre de ce "Rassemblement des exilés", les juifs sont arrivés avec les traditions de leurs communautés respectives ainsi que certains aspects des cultures des pays au sein desquels ils vivaient depuis des siècles. C'est la raison pour laquelle la population juive d'Israël, bien qu'unie par une foi et une histoire communes, se caractérise par une grande diversité de points de vue et de modes de vie; il en résulte une société de style en partie occidental, en partie d'Europe orientale, en partie moyen-oriental mais surtout israélien.
Les communautés non-juives d'Israël pour la plupart arabes représentent environ 22% de la population; elles sont passées de 156 000 habitants en 1949 à plus de 1,4 million aujourd'hui. Leur participation au processus démocratique du pays témoigne de leur civisme, bien que le développement des relations entre Arabes israéliens et juifs ait été freiné, par les différences de langue, de religion et de mode de vie ainsi que par le conflit israélo-arabe qui a duré pendant des dizaines d'années. Les deux populations vivent côte à côte, maintenant des contacts aux niveaux économique, municipal et politique mais avec une intéraction sociale des plus réduites.
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Fondée en tant qu'Etat juif, la société israélienne, qui compte plus de six millions d'habitants, constitue une mosaïque de religions, de cultures et de traditions sociales. La citoyenneté y est déterminée par la naissance, la résidence ou la naturalisation; ceux qui le souhaitent peuvent conserver une double nationalité.
L'affiliation et la pratique religieuses sont un choix personnel et la liberté de culte est garantie par la Déclaration d'Indépendance de l'Etat. A l'heure actuelle, la population du pays comprend un peu plus de 77,8% de juifs, près de 15,2% de musulmans, 2,1% de chrétiens (surtout arabes), 1,7% de Druzes et 3,2% non classés par la religion.
Dans ce cadre pluraliste, les diverses communautés maintiennent leurs propres institutions religieuses, éducatives, culturelles et charitables. Les tribunaux de chaque communauté ont pleine juridiction pour tout ce qui concerne le statut personnel de leurs membres.
Les Lieux saints du pays sont administrés par les autorités religieuses de chaque communauté; la loi assure leur protection contre toutes tentatives de profanation et en garantit le libre accès.
Le jour de repos officiel est le samedi. Les musulmans ont leur jour férié le vendredi et les chrétiens le dimanche.
Depuis l'établissement de l'Etat (1948) la population juive est passée de 650 000 âmes à près de cinq millions d'habitants, doublant au cours des seules quatre premières années, avec l'immigration de masse composée de survivants de l'Holocauste et de réfugiés des pays arabes. Les juifs ont ensuite continué à arriver en nombres plus ou moins importants, venant aussi bien de pays où ils étaient persécutés que du monde libre. Deux grandes opérations (1984, 1991) ont fait venir en Israël la quasi-totalité de la communauté juive d'Ethiopie, considérée comme remontant à l'époque du roi Salomon. Une autre grande vague d'immigration, qui débuta en 1989, a conduit en Israël plus d'un million juifs de l'ex-Union soviétique.
Dans le cadre de ce "Rassemblement des exilés", les juifs sont arrivés avec les traditions de leurs communautés respectives ainsi que certains aspects des cultures des pays au sein desquels ils vivaient depuis des siècles. C'est la raison pour laquelle la population juive d'Israël, bien qu'unie par une foi et une histoire communes, se caractérise par une grande diversité de points de vue et de modes de vie; il en résulte une société de style en partie occidental, en partie d'Europe orientale, en partie moyen-oriental mais surtout israélien.
Les communautés non-juives d'Israël pour la plupart arabes représentent environ 22% de la population; elles sont passées de 156 000 habitants en 1949 à plus de 1,4 million aujourd'hui. Leur participation au processus démocratique du pays témoigne de leur civisme, bien que le développement des relations entre Arabes israéliens et juifs ait été freiné, par les différences de langue, de religion et de mode de vie ainsi que par le conflit israélo-arabe qui a duré pendant des dizaines d'années. Les deux populations vivent côte à côte, maintenant des contacts aux niveaux économique, municipal et politique mais avec une intéraction sociale des plus réduites.
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Géographie et climat d'Israel
Source : Ministère des affaires étrangères Israélien
Israël, Terre de la Bible, patrie historique du peuple juif, est situé au Moyen-Orient, sur la côte orientale de la mer Méditerranée et forme un pont reliant trois continents: l'Asie, l'Afrique et l'Europe.
Dans ce pays, il y a près de quatre mille ans, le peuple juif a commencé à développer sa religion et sa culture; et c'est ici qu'il a maintenu, pendant des siècles, en tant qu'Etat souverain, puis sous domination étrangère, une présence physique ininterrompue.
Géographie
De forme longue et étroite, le pays fait 470 kilomètres dans sa plus grande longueur, du nord au sud, et près de 135 kilomètres dans sa plus grande largeur, entre la Méditerranée et la mer Morte. Israël est bordé par le Liban au nord, la Syrie au nord-est, la Jordanie à l'est, l'Egypte au sud-ouest et la Méditerranée à l'ouest.
Malgré ses petites dimensions, Israël offre une variété de caractères géographiques et de climats aussi considérable qu'un continent. Au nord, ce sont les montagnes de Galilée couvertes de forêts et les vertes vallées fertiles; la plaine côtière, le long de la Méditerranée, est une région de dunes de sable et de cultures intenses; au centre du pays, les sommets rocheux des monts de Judée et Samarie descendent en pente abrupte vers la vallée semi-tropicale du Jourdain et la mer Morte, le point le plus bas du globe terrestre. Des montagnes désertiques, couvrant dans le sud les régions du Néguev et de la Arava, débouchent sur le golfe d'Eilat, au nord de la mer Rouge.
CLIMAT
Le climat d'Israël est caractérisé par beaucoup d'ensoleillement avec une saison de pluies allant de novembre à avril. La moyenne des pluies varie entre 500 à 750 mm dans le nord et environ 30 mm dans le sud. Les conditions climatiques régionales varient beaucoup: étés chauds et humides, hivers tièdes et pluvieux dans la plaine côtière; étés secs et agréablement chauds, hivers frais avec des pluies et parfois un peu de neige dans les régions montagneuses; étés chauds et secs, hivers doux dans la vallée du Jourdain; et un climat semi-aride toute l'année avec des journées chaudes, parfois torrides, et des nuits fraîches, dans le sud.
EAU
L'eau étant rare dans cette région, de grands efforts sont faits pour en tirer le profit maximum et surtout pour découvrir de nouvelles ressources. Après 1960, les sources d'eau douce ont été intégrées en un réseau national dont l'artère centrale, la Conduite nationale hydraulique, transporte l'eau du nord et du centre du pays vers le sud aride par des stations de pompage, réservoirs, aqueducs, canaux et canalisations géantes. Les programmes d'utilisation de nouvelles ressources comprennent l'insémination de nuages, la récupération des eaux d'écoulement et le dessalement de l'eau de mer.
FLORE ET FAUNE
La grande diversité de la flore et de la faune d'Israël reflète sa situation géographique ainsi que la variété du climat et de la topographie. Plus de 500 espèces d'oiseaux, quelque 100 variétés de mammifères et 90 espèces de serpents et près de 3 000 plantes, dont 150 ne poussent qu'en Israël, y ont été dénombrées. Plus de 150 réserves naturelles et 65 parcs nationals couvrant près de 1 000 km2 ont déjà été créées et des centaines d'autres sites sont encore prévus.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Israël, Terre de la Bible, patrie historique du peuple juif, est situé au Moyen-Orient, sur la côte orientale de la mer Méditerranée et forme un pont reliant trois continents: l'Asie, l'Afrique et l'Europe.
Dans ce pays, il y a près de quatre mille ans, le peuple juif a commencé à développer sa religion et sa culture; et c'est ici qu'il a maintenu, pendant des siècles, en tant qu'Etat souverain, puis sous domination étrangère, une présence physique ininterrompue.
Géographie
De forme longue et étroite, le pays fait 470 kilomètres dans sa plus grande longueur, du nord au sud, et près de 135 kilomètres dans sa plus grande largeur, entre la Méditerranée et la mer Morte. Israël est bordé par le Liban au nord, la Syrie au nord-est, la Jordanie à l'est, l'Egypte au sud-ouest et la Méditerranée à l'ouest.
Malgré ses petites dimensions, Israël offre une variété de caractères géographiques et de climats aussi considérable qu'un continent. Au nord, ce sont les montagnes de Galilée couvertes de forêts et les vertes vallées fertiles; la plaine côtière, le long de la Méditerranée, est une région de dunes de sable et de cultures intenses; au centre du pays, les sommets rocheux des monts de Judée et Samarie descendent en pente abrupte vers la vallée semi-tropicale du Jourdain et la mer Morte, le point le plus bas du globe terrestre. Des montagnes désertiques, couvrant dans le sud les régions du Néguev et de la Arava, débouchent sur le golfe d'Eilat, au nord de la mer Rouge.
CLIMAT
Le climat d'Israël est caractérisé par beaucoup d'ensoleillement avec une saison de pluies allant de novembre à avril. La moyenne des pluies varie entre 500 à 750 mm dans le nord et environ 30 mm dans le sud. Les conditions climatiques régionales varient beaucoup: étés chauds et humides, hivers tièdes et pluvieux dans la plaine côtière; étés secs et agréablement chauds, hivers frais avec des pluies et parfois un peu de neige dans les régions montagneuses; étés chauds et secs, hivers doux dans la vallée du Jourdain; et un climat semi-aride toute l'année avec des journées chaudes, parfois torrides, et des nuits fraîches, dans le sud.
EAU
L'eau étant rare dans cette région, de grands efforts sont faits pour en tirer le profit maximum et surtout pour découvrir de nouvelles ressources. Après 1960, les sources d'eau douce ont été intégrées en un réseau national dont l'artère centrale, la Conduite nationale hydraulique, transporte l'eau du nord et du centre du pays vers le sud aride par des stations de pompage, réservoirs, aqueducs, canaux et canalisations géantes. Les programmes d'utilisation de nouvelles ressources comprennent l'insémination de nuages, la récupération des eaux d'écoulement et le dessalement de l'eau de mer.
FLORE ET FAUNE
La grande diversité de la flore et de la faune d'Israël reflète sa situation géographique ainsi que la variété du climat et de la topographie. Plus de 500 espèces d'oiseaux, quelque 100 variétés de mammifères et 90 espèces de serpents et près de 3 000 plantes, dont 150 ne poussent qu'en Israël, y ont été dénombrées. Plus de 150 réserves naturelles et 65 parcs nationals couvrant près de 1 000 km2 ont déjà été créées et des centaines d'autres sites sont encore prévus.
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vendredi 23 novembre 2007
Histoire de l'Agence Juive
Source: Agence Juive
Nous sommes en 1929.
Voici déjà sept ans que la société des nations (éphémère ancêtre de l’ONU) a confié à la Grande Bretagne un mandat sur la Palestine. Le mandat chargeait la puissance mandataire d’assumer «la responsabilité d’instituer dans le pays un état de choses politique, administratif et économique de nature à assurer l’établissement du foyer national pour le peuple juif (…) et à assurer également le développement d’institutions de libre gouvernement, ainsi que la sauvegarde des droits civils et religieux de tous les habitants de la Palestine, à quelque race ou religion qu’ils appartiennent.» (article 2 du mandat)
Pour assister la Grande Bretagne dans cet objectif «un organisme juif convenable sera officiellement reconnu et aura le droit de donner des avis à l’administration de la Palestine et de coopérer avec elle dans toutes questions économiques, sociales et autres, susceptibles d’affecter l’établissement du foyer national juif et les intérêts de la population juive en Palestine, et, toujours sous réserve du contrôle de l’administration, d’aider et de participer au développement du pays.» (article 4 du mandat) C’est l’Organisation Sioniste Mondiale qui créera, lors de son 16ème congrès, cet organisme juif auquel elle donnera le nom d’Agence Juive.
L'Agence Juive représentera alors les intérêts du Yishouv juif face à la puissance mandataire jusqu’à la naissance d’Israël, en 1948. Elle s’occupera en outre de l’organisation de la vie économique et sociale au sein du Yishouv, répartissant les visas d’immigration accordés par la puissance mandataire, installant les nouveaux immigrants, construisant de nouveaux villages, développant l’activité économique, sociale, culturelle et sanitaire.
La montée des persécutions nazies contribue, dès le milieu des années trente, à mettre l’Agence Juive sur le devant de la scène pour assumer la responsabilité du sauvetage des juifs d’Allemagne. Tâche menée, on s’en doute, de manière incomplète mais qui fondera durablement ce qui reste à ce jour la vocation principale de l’Agence Juive : Permettre à tout juif de faire son Alya ; Le chercher pour le sauver quand c’est nécessaire.
L’entrée en guerre fait se refermer l’étau sur les juifs d’Europe. L’objectif de l’Agence Juive est désormais d’obtenir à tout prix des certificats d’entrée pour la Palestine mandataire. Ces certificats étaient accordés, amer paradoxe, seulement au compte-gouttes à un moment ou les juifs en avaient cruellement besoin. Les juifs faisaient les frais de la politique proche orientale de la Grande Bretagne qui vida peu à peu le mandat qui lui avait été confié de tout contenu.
La fin de la guerre amène le besoin d’organiser l’évacuation et la réinstallation de centaines de milliers de survivants de la Shoah. L’opération «Berikha» (fuite) organisée par l’Agence Juive permettra l’évacuation d’Europe centrale de 250 000 survivants et leur réinstallation provisoire dans différents campements d’Europe orientale, à Chypres notamment.
Parallèlement, des bateaux tentaient régulièrement leur chance et essayaient de faire débarquer clandestinement des survivants qui n’avaient pas obtenu de visas de la puissance mandataire.
En marge de ces vastes opérations de sauvetage, l’Agence Juive continuait d’assumer, de fait, la gestion des affaires du Yishouv. Et celles-ci prenaient, après la guerre, la tournure d’une confrontation ouverte avec la puissance mandataire qui refusait d’assumer la création d’un «foyer national pour la peuple Juif» et restait indifférente aux attaques perpétrées par les arabes contre le Yishouv. C’est donc de l’organisation de la défense juive qu’il était surtout question de 1945 à 1948.
L’échec des britanniques à trouver une solution au conflit entre les populations juives et arabes traça la voie à la décision historique de l’ONU de partager la Palestine en deux états, l’un juif, l’autre arabe. Soulagement et explosion de joie dans le Yishouv ; Mais aussi veillée d’arme car les Arabes ont refusé le plan de partage et juré la parte de l’Etat d’Israël naissant.
La période qui précède la déclaration d’indépendance du 14 mai 1948 voit se constituer les futures institutions de l’Etat d’Israël, nées pour partie des restes de l’administration mandataire et pour partie d’un remaniement des institutions du Yishouv. De nombreuses prérogatives de l’Agence Juive sont ainsi transférées à un gouvernement provisoire.
L’Agence Juive quitte les devants de la scène politique pour se consacrer à la vaste tache du rassemblement des exilés. Une œuvre titanesque : La population d’Israël est de 600 000 âmes à sa naissance. Elle va intégrer près de 1 300 000 immigrants jusqu’à la guerre des 6 jours, soit deux fois sa propre population. Les nouveaux arrivants viennent du monde entier :
- D’Europe centrale et orientale d’abord : Rescapés de la Shoah, entassés dans des camps de personnes déplacées à Chypres ou ailleurs, ils sont les premiers à profiter des possibilités d’immigration illimitées qu’offre l’Etat d’Israël. 100 000 Olim débarquent depuis la déclaration d’indépendance jusqu’à la fin de l’année 1948 ; 239 000 en 1949, 170 000 en 1950 et 175 000 en 1951.
- Du Yemen : L’opération « Tapis Volant » transfert, par avion, environ 50 000 juifs en Israël, dans des conditions ressenties par les voyageurs comme « bibliques » (le voyage en avion rappelle le verset du livre de l’exode – XIX, 4 : Et je vous ai porté sur des ailes d’aigles et amené vers moi).
- D’Irak : La communauté juive menacée (110 000 personnes) arrive en Israël en 1951 avec l’opération «Ezra et Nehemia».
- Du Maroc (120 000 juifs jusqu’en 1960) de Tunisie (22 000 durant la même période) de Libye, d’Egypte, de Syrie, du Liban, de Turquie et d’Iran.
L’Agence Juive doit organiser le rapatriement des nouveaux venus et leur installation dans le pays. Installation qui se fait dans des conditions souvent difficiles, vu les difficultés économiques importantes.
L’Agence Juive continue depuis son rôle de rassembleur des exilés. Chaque année, des milliers de nouveaux immigrants sont arrivés en Israël.
On peut toutefois distinguer trois autres temps forts dans cette odyssée :
Les deux premiers sont les impressionnants sauvetages des juifs d’Ethiopie.
En 1984, 9 000 juifs sont amenés d’Ethiopie en Israël par un immense pont aérien (opération Moshé)
En 1991 l’opération est reproduite : 14 300 juifs d’Ethiopie gagent Israël en 36 heures (opération Salomon)
Le troisième temps fort est la conséquence de la chute du bloc Soviétique. Celle-ci entraîne la montée en Israël de plus d’un million de juifs d’Ex-URSS. L’Alya d’ex-URSS est désormais en baisse et c’est vers les nations occidentales ou vivent actuellement le plus de juifs, que se tourne désormais l’Agence Juive. L’Alya n’y est certes pas vécue dans la même urgence que dans les pays d’ex-URSS ou d’Ethiopie, mais le maintien d’un fort taux d’assimilation, ainsi que la résurgence de la bête antisémite, rendent nécessaire cette action.
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Nous sommes en 1929.
Voici déjà sept ans que la société des nations (éphémère ancêtre de l’ONU) a confié à la Grande Bretagne un mandat sur la Palestine. Le mandat chargeait la puissance mandataire d’assumer «la responsabilité d’instituer dans le pays un état de choses politique, administratif et économique de nature à assurer l’établissement du foyer national pour le peuple juif (…) et à assurer également le développement d’institutions de libre gouvernement, ainsi que la sauvegarde des droits civils et religieux de tous les habitants de la Palestine, à quelque race ou religion qu’ils appartiennent.» (article 2 du mandat)
Pour assister la Grande Bretagne dans cet objectif «un organisme juif convenable sera officiellement reconnu et aura le droit de donner des avis à l’administration de la Palestine et de coopérer avec elle dans toutes questions économiques, sociales et autres, susceptibles d’affecter l’établissement du foyer national juif et les intérêts de la population juive en Palestine, et, toujours sous réserve du contrôle de l’administration, d’aider et de participer au développement du pays.» (article 4 du mandat) C’est l’Organisation Sioniste Mondiale qui créera, lors de son 16ème congrès, cet organisme juif auquel elle donnera le nom d’Agence Juive.
L'Agence Juive représentera alors les intérêts du Yishouv juif face à la puissance mandataire jusqu’à la naissance d’Israël, en 1948. Elle s’occupera en outre de l’organisation de la vie économique et sociale au sein du Yishouv, répartissant les visas d’immigration accordés par la puissance mandataire, installant les nouveaux immigrants, construisant de nouveaux villages, développant l’activité économique, sociale, culturelle et sanitaire.
La montée des persécutions nazies contribue, dès le milieu des années trente, à mettre l’Agence Juive sur le devant de la scène pour assumer la responsabilité du sauvetage des juifs d’Allemagne. Tâche menée, on s’en doute, de manière incomplète mais qui fondera durablement ce qui reste à ce jour la vocation principale de l’Agence Juive : Permettre à tout juif de faire son Alya ; Le chercher pour le sauver quand c’est nécessaire.
L’entrée en guerre fait se refermer l’étau sur les juifs d’Europe. L’objectif de l’Agence Juive est désormais d’obtenir à tout prix des certificats d’entrée pour la Palestine mandataire. Ces certificats étaient accordés, amer paradoxe, seulement au compte-gouttes à un moment ou les juifs en avaient cruellement besoin. Les juifs faisaient les frais de la politique proche orientale de la Grande Bretagne qui vida peu à peu le mandat qui lui avait été confié de tout contenu.
La fin de la guerre amène le besoin d’organiser l’évacuation et la réinstallation de centaines de milliers de survivants de la Shoah. L’opération «Berikha» (fuite) organisée par l’Agence Juive permettra l’évacuation d’Europe centrale de 250 000 survivants et leur réinstallation provisoire dans différents campements d’Europe orientale, à Chypres notamment.
Parallèlement, des bateaux tentaient régulièrement leur chance et essayaient de faire débarquer clandestinement des survivants qui n’avaient pas obtenu de visas de la puissance mandataire.
En marge de ces vastes opérations de sauvetage, l’Agence Juive continuait d’assumer, de fait, la gestion des affaires du Yishouv. Et celles-ci prenaient, après la guerre, la tournure d’une confrontation ouverte avec la puissance mandataire qui refusait d’assumer la création d’un «foyer national pour la peuple Juif» et restait indifférente aux attaques perpétrées par les arabes contre le Yishouv. C’est donc de l’organisation de la défense juive qu’il était surtout question de 1945 à 1948.
L’échec des britanniques à trouver une solution au conflit entre les populations juives et arabes traça la voie à la décision historique de l’ONU de partager la Palestine en deux états, l’un juif, l’autre arabe. Soulagement et explosion de joie dans le Yishouv ; Mais aussi veillée d’arme car les Arabes ont refusé le plan de partage et juré la parte de l’Etat d’Israël naissant.
La période qui précède la déclaration d’indépendance du 14 mai 1948 voit se constituer les futures institutions de l’Etat d’Israël, nées pour partie des restes de l’administration mandataire et pour partie d’un remaniement des institutions du Yishouv. De nombreuses prérogatives de l’Agence Juive sont ainsi transférées à un gouvernement provisoire.
L’Agence Juive quitte les devants de la scène politique pour se consacrer à la vaste tache du rassemblement des exilés. Une œuvre titanesque : La population d’Israël est de 600 000 âmes à sa naissance. Elle va intégrer près de 1 300 000 immigrants jusqu’à la guerre des 6 jours, soit deux fois sa propre population. Les nouveaux arrivants viennent du monde entier :
- D’Europe centrale et orientale d’abord : Rescapés de la Shoah, entassés dans des camps de personnes déplacées à Chypres ou ailleurs, ils sont les premiers à profiter des possibilités d’immigration illimitées qu’offre l’Etat d’Israël. 100 000 Olim débarquent depuis la déclaration d’indépendance jusqu’à la fin de l’année 1948 ; 239 000 en 1949, 170 000 en 1950 et 175 000 en 1951.
- Du Yemen : L’opération « Tapis Volant » transfert, par avion, environ 50 000 juifs en Israël, dans des conditions ressenties par les voyageurs comme « bibliques » (le voyage en avion rappelle le verset du livre de l’exode – XIX, 4 : Et je vous ai porté sur des ailes d’aigles et amené vers moi).
- D’Irak : La communauté juive menacée (110 000 personnes) arrive en Israël en 1951 avec l’opération «Ezra et Nehemia».
- Du Maroc (120 000 juifs jusqu’en 1960) de Tunisie (22 000 durant la même période) de Libye, d’Egypte, de Syrie, du Liban, de Turquie et d’Iran.
L’Agence Juive doit organiser le rapatriement des nouveaux venus et leur installation dans le pays. Installation qui se fait dans des conditions souvent difficiles, vu les difficultés économiques importantes.
L’Agence Juive continue depuis son rôle de rassembleur des exilés. Chaque année, des milliers de nouveaux immigrants sont arrivés en Israël.
On peut toutefois distinguer trois autres temps forts dans cette odyssée :
Les deux premiers sont les impressionnants sauvetages des juifs d’Ethiopie.
En 1984, 9 000 juifs sont amenés d’Ethiopie en Israël par un immense pont aérien (opération Moshé)
En 1991 l’opération est reproduite : 14 300 juifs d’Ethiopie gagent Israël en 36 heures (opération Salomon)
Le troisième temps fort est la conséquence de la chute du bloc Soviétique. Celle-ci entraîne la montée en Israël de plus d’un million de juifs d’Ex-URSS. L’Alya d’ex-URSS est désormais en baisse et c’est vers les nations occidentales ou vivent actuellement le plus de juifs, que se tourne désormais l’Agence Juive. L’Alya n’y est certes pas vécue dans la même urgence que dans les pays d’ex-URSS ou d’Ethiopie, mais le maintien d’un fort taux d’assimilation, ainsi que la résurgence de la bête antisémite, rendent nécessaire cette action.
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Aide du Ministére de l'Intégration aux nouveaux immigrants promoteurs
Source: Ministère de l'Intégration
Le ministère de l'Intégration a mis sur pied un Fonds de prêt pour les olim promoteurs souhaitant ouvrir ou promouvoir une affaire.
Pour recevoir un prêt, il faut s'adresser au M.A.T.I. Le conseiller de M.A.T.I. évaluera la rentabilité de l'affaire, et préparera un plan commercial en conséquence.
L'objectif du plan commercial est d'aider l'entrepreneur à planifier la création de l'entreprise et son fonctionnement ou de définir les besoins d'une affaire en développement.
Procédure d'autorisation du prêt
Le conseiller transmet à la Commission du Fonds pour l'Olè Indépendant le plan commercial, accompagné de sa recommandation.
La Commission du Fonds examinera divers aspects liés à l'entreprise et au promoteur pour répondre aux questions suivantes:
L'affaire, conformément est-elle économiquement rentable ?
Le promoteur répond-il aux critères lui donnant droit à un prêt ?
Le montant du prêt est adapté aux besoins de l'affaire et conforme au tableau des montants et conditions du prêt. La Commission décide des garanties et cautions que le promoteur doit présenter. Le promoteur est dirigé vers une des banques liée au ministère de l'Intégration, afin d'y obtenir le prêt. Le promoteur doit présenter à la banque les garanties et cautions fixées par la Commission.
Remarque : L'assistance n'est accordée qu'une fois seulement.
Ont droit au prêt : olim, citoyens olim, mineurs de retour au pays et enfants d'olim en période donnant droit
Conditions
- Le promoteur ou son (sa) conjoint(e) n'ont pas reçu de prêt du Fonds par le passé.
- Le promoteur possède des qualifications professionnelles adéquates pour faire fonctionner l'affaire, y compris une licence professionnelle dans les cas pertinents. (On joindra à la demande les autorisations pertinentes).
- Le promoteur doit investir dans l'affaire une partie de son capital privé conformément aux critères figurant dans le tableau des montants et conditions du prêt.
- Le plan commercial doit démontrer une capacité personnelle et une rentabilité économique probable susceptibles d'assurer le succès de l'affaire.
- Le plan commercial doit démontrer une capacité de rembourser le prêt à l'avenir.
- L'argent du prêt ne servira qu'à l'objectif figurant dans le plan commercial ou à l'objectif autorisé par la Commission du Fonds.
- Le prêt ne sera accordé que si le promoteur obtient les autorisations des autorités concernées.
- L'affaire sera la source de revenu essentielle du promoteur et il y travaillera lui-même.
Période donnant droit à l'aide
- Pour les olim, 10 ans à partir de la date d'octroi du statut d'olè
- Citoyens de retour au pays : un an à partir de la date d'octroi du statut de résident de retour.
Appel contre la décision de la Commission
Un promoteur dont la demande a été rejetée a le droit de faire appel devant la Commission d'Appel du Fonds. A cette fin, il faut s'adresser au coordinateur régional des initiatives d'entreprise.
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Le ministère de l'Intégration a mis sur pied un Fonds de prêt pour les olim promoteurs souhaitant ouvrir ou promouvoir une affaire.
Pour recevoir un prêt, il faut s'adresser au M.A.T.I. Le conseiller de M.A.T.I. évaluera la rentabilité de l'affaire, et préparera un plan commercial en conséquence.
L'objectif du plan commercial est d'aider l'entrepreneur à planifier la création de l'entreprise et son fonctionnement ou de définir les besoins d'une affaire en développement.
Procédure d'autorisation du prêt
Le conseiller transmet à la Commission du Fonds pour l'Olè Indépendant le plan commercial, accompagné de sa recommandation.
La Commission du Fonds examinera divers aspects liés à l'entreprise et au promoteur pour répondre aux questions suivantes:
L'affaire, conformément est-elle économiquement rentable ?
Le promoteur répond-il aux critères lui donnant droit à un prêt ?
Le montant du prêt est adapté aux besoins de l'affaire et conforme au tableau des montants et conditions du prêt. La Commission décide des garanties et cautions que le promoteur doit présenter. Le promoteur est dirigé vers une des banques liée au ministère de l'Intégration, afin d'y obtenir le prêt. Le promoteur doit présenter à la banque les garanties et cautions fixées par la Commission.
Remarque : L'assistance n'est accordée qu'une fois seulement.
Ont droit au prêt : olim, citoyens olim, mineurs de retour au pays et enfants d'olim en période donnant droit
Conditions
- Le promoteur ou son (sa) conjoint(e) n'ont pas reçu de prêt du Fonds par le passé.
- Le promoteur possède des qualifications professionnelles adéquates pour faire fonctionner l'affaire, y compris une licence professionnelle dans les cas pertinents. (On joindra à la demande les autorisations pertinentes).
- Le promoteur doit investir dans l'affaire une partie de son capital privé conformément aux critères figurant dans le tableau des montants et conditions du prêt.
- Le plan commercial doit démontrer une capacité personnelle et une rentabilité économique probable susceptibles d'assurer le succès de l'affaire.
- Le plan commercial doit démontrer une capacité de rembourser le prêt à l'avenir.
- L'argent du prêt ne servira qu'à l'objectif figurant dans le plan commercial ou à l'objectif autorisé par la Commission du Fonds.
- Le prêt ne sera accordé que si le promoteur obtient les autorisations des autorités concernées.
- L'affaire sera la source de revenu essentielle du promoteur et il y travaillera lui-même.
Période donnant droit à l'aide
- Pour les olim, 10 ans à partir de la date d'octroi du statut d'olè
- Citoyens de retour au pays : un an à partir de la date d'octroi du statut de résident de retour.
Appel contre la décision de la Commission
Un promoteur dont la demande a été rejetée a le droit de faire appel devant la Commission d'Appel du Fonds. A cette fin, il faut s'adresser au coordinateur régional des initiatives d'entreprise.
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jeudi 22 novembre 2007
Permis d'exercer en Israel
Source : Ministère de l'intégration
Liste des professions requérant une certification ou un permis d'exercer en Israël
Médecins
Dentistes
Pharmaciens
Infirmières
Vétérinaires
Avocats
Experts-comptables
Enseignants
Psychologues
Agents d'assurances
Agents de voyages
Guides touristiques
Chauffeurs (transports publics et poids-lourds)
Electriciens
Chefs mécaniciens
Opérateurs de grues
Optométristes
Installateurs de gaz
Techniciens de radiologie
Agents immobiliers
Laborantins
Maîtres-nageurs
Chimistes
Péritomistes (mohalim)
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Liste des professions requérant une certification ou un permis d'exercer en Israël
Médecins
Dentistes
Pharmaciens
Infirmières
Vétérinaires
Avocats
Experts-comptables
Enseignants
Psychologues
Agents d'assurances
Agents de voyages
Guides touristiques
Chauffeurs (transports publics et poids-lourds)
Electriciens
Chefs mécaniciens
Opérateurs de grues
Optométristes
Installateurs de gaz
Techniciens de radiologie
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Maîtres-nageurs
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Péritomistes (mohalim)
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Intégrer le monde du travail en Israel
Source : Ministère de l'Intégration
L'absorption sur le marché de l'emploi constitue une étape importante dans l'intégration des olim en Israël. Le Ministère de l'Intégration œuvre à plusieurs niveaux afin d'intégrer les olim sur le marché du travail local, en tenant compte de l'instruction et de l'expérience acquise par l'olé.
Les programmes varient en fonction de la profession du nouvel immigrant, de ses données personnelles et des exigences du métier en Israël.
Il y a des professions pour lesquelles il ne faut pas de préparation, à part l'étude de l'hébreu. Ceux qui exercent ces professions pourront trouver du travail par l'intermédiaire des petites annonces, avec l'aide des centres d'orientation du ministère de l'Intégration, par le service de l'emploi, ou à l'aide de relations personnelles.
Dans un grand nombre d'autres professions, il faut un processus de préparation qui comprend: étude de l'hébreu professionnel, examens de certification ou de qualification professionnelle et travail en stage pendant une certaine période.
Dans certains cas, après une recherche et des tentatives visant à s'intégrer au travail dans son métier, l'olè doit se soumettre à un recyclage professionnel, qui lui permettra de trouver un emploi plus accessible.
Le Ministère de l'Intégration accorde aux olim une gamme de services pouvant faciliter leur intégration sur le marché de l'emploi.
Premiers pas dans l'intégration à l'emploi
1- Traduction notariée des diplômes et certificats attestant d'une formation professionnelle.
2- Reconnaissance du diplôme: examen et comparaison des diplômes attestant du niveau d'instruction : baccalauréat, licence, maîtrise, etc. avec les diplômes parallèles en Israël. La reconnaissance des diplômes s'effectue dans les départements d'évaluation des titres de l'étranger au ministère de l'Education.
3- Reconnaissance professionnelle : le processus de certification afin de recevoir un permis israélien d'exercer la profession.
4- Octroi d'un statut professionnel - associations ou organisations professionnelles pour les artistes, sportifs et scientifiques - assistance spéciale en fonction de la décision de comités professionnels.
5- Un bon niveau d'hébreu, ainsi que l'exige le processus de certification professionnelle: oulpan, oulpan avancé, oulpan professionnel - en fonction des besoins.
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L'absorption sur le marché de l'emploi constitue une étape importante dans l'intégration des olim en Israël. Le Ministère de l'Intégration œuvre à plusieurs niveaux afin d'intégrer les olim sur le marché du travail local, en tenant compte de l'instruction et de l'expérience acquise par l'olé.
Les programmes varient en fonction de la profession du nouvel immigrant, de ses données personnelles et des exigences du métier en Israël.
Il y a des professions pour lesquelles il ne faut pas de préparation, à part l'étude de l'hébreu. Ceux qui exercent ces professions pourront trouver du travail par l'intermédiaire des petites annonces, avec l'aide des centres d'orientation du ministère de l'Intégration, par le service de l'emploi, ou à l'aide de relations personnelles.
Dans un grand nombre d'autres professions, il faut un processus de préparation qui comprend: étude de l'hébreu professionnel, examens de certification ou de qualification professionnelle et travail en stage pendant une certaine période.
Dans certains cas, après une recherche et des tentatives visant à s'intégrer au travail dans son métier, l'olè doit se soumettre à un recyclage professionnel, qui lui permettra de trouver un emploi plus accessible.
Le Ministère de l'Intégration accorde aux olim une gamme de services pouvant faciliter leur intégration sur le marché de l'emploi.
Premiers pas dans l'intégration à l'emploi
1- Traduction notariée des diplômes et certificats attestant d'une formation professionnelle.
2- Reconnaissance du diplôme: examen et comparaison des diplômes attestant du niveau d'instruction : baccalauréat, licence, maîtrise, etc. avec les diplômes parallèles en Israël. La reconnaissance des diplômes s'effectue dans les départements d'évaluation des titres de l'étranger au ministère de l'Education.
3- Reconnaissance professionnelle : le processus de certification afin de recevoir un permis israélien d'exercer la profession.
4- Octroi d'un statut professionnel - associations ou organisations professionnelles pour les artistes, sportifs et scientifiques - assistance spéciale en fonction de la décision de comités professionnels.
5- Un bon niveau d'hébreu, ainsi que l'exige le processus de certification professionnelle: oulpan, oulpan avancé, oulpan professionnel - en fonction des besoins.
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Accueil des nouveaux immigrants à l'aéroport
Arrivée au bureau du Ministère de l'Intégration de l'aéroport
Après votre atterrissage et avant d'accéder au contrôle des passeports, des représentants du Ministère de l'Intégration viendront à votre rencontre.
Dans le cas où les représentants ne vous auraient pas localisé, à la gauche du contrôle des passeports se trouve un téléphone avec lequel vous pourrez prendre contact directement avec eux.
Si vous n'avez pas trouvé le téléphone, adressez vous au contrôle des frontières, présentez le visa se trouvant dans votre passeport et un représentant vous sera envoyé.
Un autre moyen de prendre contact avec des représentants du ministère à l'aéroport est de vous rendre aux renseignements qui contacteront un représentant du Ministère de l'Intégration.
Les services à votre disposition à l'aéroport:
- Une infirmière pour soins d'urgence procurés aux malades et aux personnes handicapés
- Une pièce pour "maman et bébé "
- Des téléphones gratuits pour Israël et l'étranger
- Une collation légère
Quels documents devez-vous présenter à l'aéroport ?
- Un passeport avec un visa d'olé
- Une lettre du délégué de l'Alya
- Un extrait d'acte de naissance
- Un certificat de mariage
- Une attestation de divorce (si necessaire)
- Un certificat de décès du/de la conjoint/e (si necessaire)
- Un certificat de tutelle concernant les mineurs (si necessaire)
Quels documents recevrez-vous à l'aéroport?
- Un carnet d'olé ou un certificat de bénéficiaire. La famille entière a droit à un carnet d'olé familial. Les enfants d'olim célibataires de moins de 25 ans seront inclus dans le carnet d'olé familial. Les enfants d'olim mariés ou divorcés âgés de moins de 25 ans, ont droit à un certificat d'enfants d'olim même s'ils ont fait leur Alya avec leurs parents.
- Un formulaire d'inscription au Registre d'Etat Civil comportant le numéro de carte d'identité.
- Un formulaire d'assurance-santé pour inscription dans une caisse d'assurance- maladie.
- Un formulaire pour l'ouverture d'un compte en banque.
Où se rendre immédiatement après l'arrivée en Israël ?
- Chez des amis ou de la famille
- Dans un appartement préalablement loué
- A l'hôtel, pour quelques jours, jusqu'à la location d'un appartement
- Dans un Oulpan-kibboutz
- Dans un appartement loué au kibboutz dans le cadre de la "Première maison en Israël"
- Dans un centre d'intégration ( pour toute personne ayant arrangé cela préalablement avec un délégué d'Alya)
Quelle aide financière recevez-vous?
Toute personne ayant droit au "panier d'intégration" : premier paiement en liquide
Toute personne ayant droit à l'allocation-douane : premier paiement en liquide
Toute personne ayant droit à l'allocation de vieillesse : avance en liquide
Les bagages
Durant le temps où vous vous trouvez dans le bureau du Ministère de l'Intégration, vos bagages vous attendront dans le hall des arrivées. A la fin des formalités et après avoir reçu les documents, vous pourrez descendre dans le hall des arrivées afin de récupérer vos bagages.
Transport depuis l'aéroport
Chaque olé a droit à un transport depuis l'aéroport, avec ses bagages personnels, à la destination qu'il souhaite. Ce transport n’est valable qu’une fois avec une limitation concernant la quantité de bagages qu’il est possible de transporter.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
Après votre atterrissage et avant d'accéder au contrôle des passeports, des représentants du Ministère de l'Intégration viendront à votre rencontre.
Dans le cas où les représentants ne vous auraient pas localisé, à la gauche du contrôle des passeports se trouve un téléphone avec lequel vous pourrez prendre contact directement avec eux.
Si vous n'avez pas trouvé le téléphone, adressez vous au contrôle des frontières, présentez le visa se trouvant dans votre passeport et un représentant vous sera envoyé.
Un autre moyen de prendre contact avec des représentants du ministère à l'aéroport est de vous rendre aux renseignements qui contacteront un représentant du Ministère de l'Intégration.
Les services à votre disposition à l'aéroport:
- Une infirmière pour soins d'urgence procurés aux malades et aux personnes handicapés
- Une pièce pour "maman et bébé "
- Des téléphones gratuits pour Israël et l'étranger
- Une collation légère
Quels documents devez-vous présenter à l'aéroport ?
- Un passeport avec un visa d'olé
- Une lettre du délégué de l'Alya
- Un extrait d'acte de naissance
- Un certificat de mariage
- Une attestation de divorce (si necessaire)
- Un certificat de décès du/de la conjoint/e (si necessaire)
- Un certificat de tutelle concernant les mineurs (si necessaire)
Quels documents recevrez-vous à l'aéroport?
- Un carnet d'olé ou un certificat de bénéficiaire. La famille entière a droit à un carnet d'olé familial. Les enfants d'olim célibataires de moins de 25 ans seront inclus dans le carnet d'olé familial. Les enfants d'olim mariés ou divorcés âgés de moins de 25 ans, ont droit à un certificat d'enfants d'olim même s'ils ont fait leur Alya avec leurs parents.
- Un formulaire d'inscription au Registre d'Etat Civil comportant le numéro de carte d'identité.
- Un formulaire d'assurance-santé pour inscription dans une caisse d'assurance- maladie.
- Un formulaire pour l'ouverture d'un compte en banque.
Où se rendre immédiatement après l'arrivée en Israël ?
- Chez des amis ou de la famille
- Dans un appartement préalablement loué
- A l'hôtel, pour quelques jours, jusqu'à la location d'un appartement
- Dans un Oulpan-kibboutz
- Dans un appartement loué au kibboutz dans le cadre de la "Première maison en Israël"
- Dans un centre d'intégration ( pour toute personne ayant arrangé cela préalablement avec un délégué d'Alya)
Quelle aide financière recevez-vous?
Toute personne ayant droit au "panier d'intégration" : premier paiement en liquide
Toute personne ayant droit à l'allocation-douane : premier paiement en liquide
Toute personne ayant droit à l'allocation de vieillesse : avance en liquide
Les bagages
Durant le temps où vous vous trouvez dans le bureau du Ministère de l'Intégration, vos bagages vous attendront dans le hall des arrivées. A la fin des formalités et après avoir reçu les documents, vous pourrez descendre dans le hall des arrivées afin de récupérer vos bagages.
Transport depuis l'aéroport
Chaque olé a droit à un transport depuis l'aéroport, avec ses bagages personnels, à la destination qu'il souhaite. Ce transport n’est valable qu’une fois avec une limitation concernant la quantité de bagages qu’il est possible de transporter.
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Vos premières demarches en Israel
Source : Ministère de l'Intégration
Ouverture d'un compte bancaire:
Il faut ouvrir un compte en banque dès que possible, afin d'y déposer l'argent de l’aide que vous aurez reçu à l'aéroport et aussil'aide financière que vous recevrez par la suite du Ministère de l'Intégration. Les versements de la Sécurité Sociale seront aussi versées sur votre compte en banque.
Attention! Dans le cas d'une famille, le compte bancaire doit être ouvert au nom des deux conjoints
Documents requis : Le carnet d'olé des deux conjoints ou une procuration notariale au cas où l’un des conjoints ne peut se présenter à la banque
Première visite au Ministère de l'Intégration et de l'Immigration: Il est important de se rendre dès les premiers jours de votre arrivée dans le pays dans les locaux du Ministère de l’Intégration proche de votre domicile.
Objectifs :
- Communiquer les détails du compte bancaire, afin de recevoir l'aide financière directement sur votre compte.
- Recevoir les informations nécessaires et les conseils concernant le panier d'intégration ou l'allocation de subsistance, l'aide au logement (loyer), les possibilités d'éducation pour les enfants ainsi que les possibilités d’aides provenant d'autres ministères.
- Recevoir des informations concernant les Oulpans dans la région dans laquelle vous résidez ainsi qu’une lettre adressée à un Oulpan pour l’étude de l'hébreu.
- Obtention d’une aide financière pour toute personne n'ayant pas droit au panier d'intégration
Demande de carte d'identité et de passeport israélien: Afin d'obtenir une carte d’identité et/ou un passeport israélien, ainsi qu’effectuer tout changement sur votre carte d’identité, adressez-vous au Ministère de l'Intérieur proche de votre domicile.
Documents requis: carnet d'olé, acte de naissance, acte de mariage ou de divorce, ou acte de décès de l'un des conjoints, formulaire de l'aéroport, passeports de tous les membres de la famille, deux photos d’identité.
Inscription dans un Oulpan: La connaissance de l'hébreu est l’une des conditions les plus importantes pour une bonne intégration. Il est conseillé d'apprendre l'hébreu au cours des premiers mois suivant l'Alya et non pas de le différer, car le droit à une aide dans ce domaine n’est accordé que durant la période proche de votre date d’alya.
Choix du lieu de résidence: Les possibilités de logement sont les suivantes
- Location d'un appartement sur le marché privé.
- Location d'un appartement dans un kibboutz dans le cadre du programme "Première maison en Israël".
- Logement provisoire chez des parents.
- Merkaz Klita (centre d’intégration pour toute personne ayant un «arrangement préalable»)- Oulpan Kibboutz Pour les olim recevant un "panier d'intégration"
- l'assistance pour le logement est comprise dans le "panier".
Visite à votre mairie: Dans les municipalités vous pourrez recevoir les services suivants:
- La réduction des impôts municipaux (arnona) est accordée aux nouveaux immigrants la première année suivant leur Alya.
- L'inscription dans les crèches, jardins d'enfants et écoles s’effectue au département de l'Education de la municipalité.
- L’obtention d’une aide particulière pour les personnes handicapées ou atteints d’une maladie grave s’effectue au département des affaires sociales de la municipalité.
Documents requis : carnet d'olé, contrat de location, documents d'invalidité ou de maladie.
Inscription à une caisse d'assurance-maladie: Il faut immédiatement s'inscrire à une caisse d'assurance-maladie. Sans assurance, vous ne pourrez recevoir des soins médicaux en cas de besoin! L'inscription se fait à la banque postale en remplissant un formulaire d'inscription dans lequel vous mentionnerez la caisse d'assurance-maladie de votre choix. La présence des deux conjoints est requise. Vous devez payer des frais d'inscription.Avec le formulaire, vous pourrez vous rendre à la succursale de la Caisse d’assurance-maladie afin d’y recevoir une carte de membre ainsi que des services médicaux en cas de besoin.
Documents requis: carnet d'olé, lettre adressée à la Caisse d'assurance-maladie et une carte d'identité ou extrait du Registre d’Etat Civil.
Allocations familiales/Allocation vieillesse de la Sécurité Sociale: Toute personne ayant droit au panier d'intégration recevra les allocations directement sur le compte bancaire communiqué au Ministère de l'Intégration.Toute personne n’ayant pas droit au «panier d'intégration» doit s'adresser à l’agence du Bitouah Leoumi (Sécurité Sociale) proche de son domicile et remplir un formulaire de demande d’obtention d'allocations familiales ou d'allocation vieillesse.
L’allocation sera versée aux bénéficiaires directement sur leur compte en banque.
Documents requis: carnet d'olé et carte d'identité, ou extrait du Registre d’Etat Civil.
Remplacement du permis de conduire international par un permis israélien: Si vous avez un permis de conduire international, vous pouvez l'utiliser jusqu'à 3 mois après votre Alya. Après quoi, vous devrez le remplacer par un permis israélien. Ce remplacement s’effectue au bureau des permis.
Documents requis: carnet d'olé, permis de conduire international.
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Ouverture d'un compte bancaire:
Il faut ouvrir un compte en banque dès que possible, afin d'y déposer l'argent de l’aide que vous aurez reçu à l'aéroport et aussil'aide financière que vous recevrez par la suite du Ministère de l'Intégration. Les versements de la Sécurité Sociale seront aussi versées sur votre compte en banque.
Attention! Dans le cas d'une famille, le compte bancaire doit être ouvert au nom des deux conjoints
Documents requis : Le carnet d'olé des deux conjoints ou une procuration notariale au cas où l’un des conjoints ne peut se présenter à la banque
Première visite au Ministère de l'Intégration et de l'Immigration: Il est important de se rendre dès les premiers jours de votre arrivée dans le pays dans les locaux du Ministère de l’Intégration proche de votre domicile.
Objectifs :
- Communiquer les détails du compte bancaire, afin de recevoir l'aide financière directement sur votre compte.
- Recevoir les informations nécessaires et les conseils concernant le panier d'intégration ou l'allocation de subsistance, l'aide au logement (loyer), les possibilités d'éducation pour les enfants ainsi que les possibilités d’aides provenant d'autres ministères.
- Recevoir des informations concernant les Oulpans dans la région dans laquelle vous résidez ainsi qu’une lettre adressée à un Oulpan pour l’étude de l'hébreu.
- Obtention d’une aide financière pour toute personne n'ayant pas droit au panier d'intégration
Demande de carte d'identité et de passeport israélien: Afin d'obtenir une carte d’identité et/ou un passeport israélien, ainsi qu’effectuer tout changement sur votre carte d’identité, adressez-vous au Ministère de l'Intérieur proche de votre domicile.
Documents requis: carnet d'olé, acte de naissance, acte de mariage ou de divorce, ou acte de décès de l'un des conjoints, formulaire de l'aéroport, passeports de tous les membres de la famille, deux photos d’identité.
Inscription dans un Oulpan: La connaissance de l'hébreu est l’une des conditions les plus importantes pour une bonne intégration. Il est conseillé d'apprendre l'hébreu au cours des premiers mois suivant l'Alya et non pas de le différer, car le droit à une aide dans ce domaine n’est accordé que durant la période proche de votre date d’alya.
Choix du lieu de résidence: Les possibilités de logement sont les suivantes
- Location d'un appartement sur le marché privé.
- Location d'un appartement dans un kibboutz dans le cadre du programme "Première maison en Israël".
- Logement provisoire chez des parents.
- Merkaz Klita (centre d’intégration pour toute personne ayant un «arrangement préalable»)- Oulpan Kibboutz Pour les olim recevant un "panier d'intégration"
- l'assistance pour le logement est comprise dans le "panier".
Visite à votre mairie: Dans les municipalités vous pourrez recevoir les services suivants:
- La réduction des impôts municipaux (arnona) est accordée aux nouveaux immigrants la première année suivant leur Alya.
- L'inscription dans les crèches, jardins d'enfants et écoles s’effectue au département de l'Education de la municipalité.
- L’obtention d’une aide particulière pour les personnes handicapées ou atteints d’une maladie grave s’effectue au département des affaires sociales de la municipalité.
Documents requis : carnet d'olé, contrat de location, documents d'invalidité ou de maladie.
Inscription à une caisse d'assurance-maladie: Il faut immédiatement s'inscrire à une caisse d'assurance-maladie. Sans assurance, vous ne pourrez recevoir des soins médicaux en cas de besoin! L'inscription se fait à la banque postale en remplissant un formulaire d'inscription dans lequel vous mentionnerez la caisse d'assurance-maladie de votre choix. La présence des deux conjoints est requise. Vous devez payer des frais d'inscription.Avec le formulaire, vous pourrez vous rendre à la succursale de la Caisse d’assurance-maladie afin d’y recevoir une carte de membre ainsi que des services médicaux en cas de besoin.
Documents requis: carnet d'olé, lettre adressée à la Caisse d'assurance-maladie et une carte d'identité ou extrait du Registre d’Etat Civil.
Allocations familiales/Allocation vieillesse de la Sécurité Sociale: Toute personne ayant droit au panier d'intégration recevra les allocations directement sur le compte bancaire communiqué au Ministère de l'Intégration.Toute personne n’ayant pas droit au «panier d'intégration» doit s'adresser à l’agence du Bitouah Leoumi (Sécurité Sociale) proche de son domicile et remplir un formulaire de demande d’obtention d'allocations familiales ou d'allocation vieillesse.
L’allocation sera versée aux bénéficiaires directement sur leur compte en banque.
Documents requis: carnet d'olé et carte d'identité, ou extrait du Registre d’Etat Civil.
Remplacement du permis de conduire international par un permis israélien: Si vous avez un permis de conduire international, vous pouvez l'utiliser jusqu'à 3 mois après votre Alya. Après quoi, vous devrez le remplacer par un permis israélien. Ce remplacement s’effectue au bureau des permis.
Documents requis: carnet d'olé, permis de conduire international.
Visitez notre site : www.demeco-isradem.com
mercredi 21 novembre 2007
L'assurance Maladie en Israel (Koupat Holim)
L'inscription a l'assurance maladie est la condition sine qua non pour bénéficier d'une couverture médicale.
Ne tardez pas à vous inscrire.
En cas de non inscription et de problème médical quelconque, vous risquez de vous exposer inutilement à de fortes dépenses.
Consultez sur notre site www.demeco-isradem.com la brochure "Inscription a l'assurance maladie" éditée par le Ministère de l'Intégration.
Ne tardez pas à vous inscrire.
En cas de non inscription et de problème médical quelconque, vous risquez de vous exposer inutilement à de fortes dépenses.
Consultez sur notre site www.demeco-isradem.com la brochure "Inscription a l'assurance maladie" éditée par le Ministère de l'Intégration.
Reconnaissance de vos diplomes en Israel.
Source: Ministere de l'Intégration
L'évaluation des titres universitaires et des diplômes de l'étranger est un processus qui prend du temps. Il faut commencer à s'en occuper - y compris la traduction des documents - dès les premiers jours de l'oulpan, de sorte qu'en arrivant au stade de la recherche d'un emploi, vous disposiez de tous les documents traduits et certifiés par le Bureau d'Évaluation des Titres Universitaires et des diplômes étrangers.
Pour obtenir l'accréditation du bureau d'évaluation des titres universitaires il faut effectuer les démarches suivantes :
A.
1. Remplir un formulaire de demande d'évaluation de titre/diplôme universitaire. On peut obtenir le formulaire au Bureau d'Évaluation des titres universitaires et des diplômes étrangers au Ministère de l'Éducation - voir adresses ci-dessous.
Il ne faut remplir que la partie B et y joindre les documents suivants :
1. Une photocopie certifiée conforme du diplôme original, avec la signature de l'employé ayant comparé la photocopie et l'original. On peut faire certifier la photocopie de diplômes et de documents en présentant l'original dans chacun des bureaux régionaux du ministère de l'Éducation - voir adresse ci-après.
2. Une photocopie certifiée conforme des détails du programme d'études - liste des cours et notes obtenues.
3. Une photocopie certifiée conforme du carnet de travail (pour les olim de la C.E.I.)
4. Une traduction notariée en hébreu des trois documents susmentionnés (il n'est pas nécessaire de traduire des documents rédigés en anglais).
5. Les ingénieurs y joindront une photocopie certifiée de leur inscription au "Registre des Ingénieurs et Architectes". Pour s'inscrire au Registre des Ingénieurs et Architectes, s'adresser au Ministère du Travail et des Affaires Sociales, Derech Petach-Tikva 86, Tel-Aviv 67138 Tél. : 03-5634171
6. Pour chaque demande, mentionner le numéro de carte d'identité.
7. En cas de changement de nom, il faut joindre une photocopie de l'acte de mariage ou une déclaration notariée.
B.
Présenter le formulaire et les documents susmentionnés au Département de Reconnaissance des Titres et Diplômes dans les bureaux régionaux du Ministère de l'Éducation :
Jérusalem: 22, Rue Kanfei Nesharim, Givat Shaul, Tél : 02-5601639
Tel-Aviv: 2, Rue. Hashlosha, Yad Eliahu, Tél. : 03-6866126
Haifa: Migdal Haneviim, 2, rue Huri, Tél. : 04-8353811
Nazrath Ilit: Binyan Beit Hasmemshala, Tél. : 04-650017
Beer-Sheva: Shd. Itzhak Reger, Tél. :08-6464203
C.
Trois Remarques :
1. Il n'est pas nécessaire de s'adresser personnellement au ministère de l'Éducation. L'accréditation du diplôme sera envoyée au requérant par la poste.
2. Le ministère de l'Éducation ne s'occupe pas de l'évaluation d'études non terminées !
3. Le certificat est accordé à des fins de barème salarial uniquement.
Visitez notre site: www.demeco-isradem.com
L'évaluation des titres universitaires et des diplômes de l'étranger est un processus qui prend du temps. Il faut commencer à s'en occuper - y compris la traduction des documents - dès les premiers jours de l'oulpan, de sorte qu'en arrivant au stade de la recherche d'un emploi, vous disposiez de tous les documents traduits et certifiés par le Bureau d'Évaluation des Titres Universitaires et des diplômes étrangers.
Pour obtenir l'accréditation du bureau d'évaluation des titres universitaires il faut effectuer les démarches suivantes :
A.
1. Remplir un formulaire de demande d'évaluation de titre/diplôme universitaire. On peut obtenir le formulaire au Bureau d'Évaluation des titres universitaires et des diplômes étrangers au Ministère de l'Éducation - voir adresses ci-dessous.
Il ne faut remplir que la partie B et y joindre les documents suivants :
1. Une photocopie certifiée conforme du diplôme original, avec la signature de l'employé ayant comparé la photocopie et l'original. On peut faire certifier la photocopie de diplômes et de documents en présentant l'original dans chacun des bureaux régionaux du ministère de l'Éducation - voir adresse ci-après.
2. Une photocopie certifiée conforme des détails du programme d'études - liste des cours et notes obtenues.
3. Une photocopie certifiée conforme du carnet de travail (pour les olim de la C.E.I.)
4. Une traduction notariée en hébreu des trois documents susmentionnés (il n'est pas nécessaire de traduire des documents rédigés en anglais).
5. Les ingénieurs y joindront une photocopie certifiée de leur inscription au "Registre des Ingénieurs et Architectes". Pour s'inscrire au Registre des Ingénieurs et Architectes, s'adresser au Ministère du Travail et des Affaires Sociales, Derech Petach-Tikva 86, Tel-Aviv 67138 Tél. : 03-5634171
6. Pour chaque demande, mentionner le numéro de carte d'identité.
7. En cas de changement de nom, il faut joindre une photocopie de l'acte de mariage ou une déclaration notariée.
B.
Présenter le formulaire et les documents susmentionnés au Département de Reconnaissance des Titres et Diplômes dans les bureaux régionaux du Ministère de l'Éducation :
Jérusalem: 22, Rue Kanfei Nesharim, Givat Shaul, Tél : 02-5601639
Tel-Aviv: 2, Rue. Hashlosha, Yad Eliahu, Tél. : 03-6866126
Haifa: Migdal Haneviim, 2, rue Huri, Tél. : 04-8353811
Nazrath Ilit: Binyan Beit Hasmemshala, Tél. : 04-650017
Beer-Sheva: Shd. Itzhak Reger, Tél. :08-6464203
C.
Trois Remarques :
1. Il n'est pas nécessaire de s'adresser personnellement au ministère de l'Éducation. L'accréditation du diplôme sera envoyée au requérant par la poste.
2. Le ministère de l'Éducation ne s'occupe pas de l'évaluation d'études non terminées !
3. Le certificat est accordé à des fins de barème salarial uniquement.
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Citoyen de retour : définition du Ministére de l'Intégration.
Source : Ministere de l'Intégration
Le ministère de l'Intégration encourage le retour d'Israéliens dans le pays au moyen des activités suivantes :
- Contacts maintenus avec la population des Israéliens à l'étranger par l'entremise des consulats et des maisons France- Israël.
- Conseils, orientation et assistance aux résidents de retour au pays - à l'étranger dans les consulats israéliens et en Israël, dans les bureaux du ministère de l'Intégration.
QUI EST " RÉSIDENT DE RETOUR AU PAYS " ?
Un résident de retour au pays est un citoyen israélien répondant aux critères suivants :
1. Âge : 17 et plus
2. Séjour à l'étranger : au moins deux ans. Un " scientifique " aura droit à l'assistance du Centre d'Intégration des chercheurs et investisseurs désirant créer une affaire - après un séjour à l'étranger de 3 ans au moins.
3. Visites en Israël cumulatives ou consécutives : 4 mois maximum pour chaque année d'absence. Une visite commencée durant une année et poursuivie sans interruption l'année suivante sera considérée comme une seule visite.
4. Mission (chelihout) à l'étranger - le résident (ou sa conjointe, ou l'un de ses parents) n'a pas été employé par l'Etat d'Israël ou l'un de ses organes, y compris les sociétés gouvernementales, l'Organisation Sioniste Mondiale, l'Agence Juive, Keren Kayemet Leisrael, Keren Hayessod, La Magbit Unifiée, les Bonds, sauf si 5 années se sont écoulées depuis la fin de la chelihout et le retour en Israël.
La décision quant au statut se fera en Israël dans l'un des bureaux du ministère de l'Intégration, en fonction des dates figurant dans les tampons d'entrée et de sortie du passeport et l'examen des inscriptions au ministère de l'Intérieur. Le calcul de la période d'absence du pays se fera en fonction des deux années ayant précédé le retour en Israël.
Pour un " scientifique " - et un investisseur le calcul se fera sur les 3 dernières années précédant le retour en Israël.
Qui n'est pas considéré comme résident de retour par le Ministère de l'Intégration ?
1. Celui qui a bénéficié par le passé de l'assistance accordée au "résident de retour"
2. Celui qui est encore en période donnant droit comme olè - recevra une assistance conformément à l'éligibilité qui lui reste.
3. Celui qui a séjourné à l'étranger en mission (chelihout).
Période donnant droit à l'assistance
1. La période donnant droit pour un résident de retour, au Ministère de l'Intégration, est de 12 mois à partir de la date de retour au pays.
2. La période donnant droit à l'assistance accordée par la douane, est de 9 mois à partir de la date de retour au pays. On peut importer directement un véhicule automobile seulement dans les 3 mois suivant la date de retour au pays.
3. Une période de service militaire (ordinaire ou de réserve) ne sera pas comptée dans le cadre de la période donnant droit ou dans le cadre des visites dans le pays.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Le ministère de l'Intégration encourage le retour d'Israéliens dans le pays au moyen des activités suivantes :
- Contacts maintenus avec la population des Israéliens à l'étranger par l'entremise des consulats et des maisons France- Israël.
- Conseils, orientation et assistance aux résidents de retour au pays - à l'étranger dans les consulats israéliens et en Israël, dans les bureaux du ministère de l'Intégration.
QUI EST " RÉSIDENT DE RETOUR AU PAYS " ?
Un résident de retour au pays est un citoyen israélien répondant aux critères suivants :
1. Âge : 17 et plus
2. Séjour à l'étranger : au moins deux ans. Un " scientifique " aura droit à l'assistance du Centre d'Intégration des chercheurs et investisseurs désirant créer une affaire - après un séjour à l'étranger de 3 ans au moins.
3. Visites en Israël cumulatives ou consécutives : 4 mois maximum pour chaque année d'absence. Une visite commencée durant une année et poursuivie sans interruption l'année suivante sera considérée comme une seule visite.
4. Mission (chelihout) à l'étranger - le résident (ou sa conjointe, ou l'un de ses parents) n'a pas été employé par l'Etat d'Israël ou l'un de ses organes, y compris les sociétés gouvernementales, l'Organisation Sioniste Mondiale, l'Agence Juive, Keren Kayemet Leisrael, Keren Hayessod, La Magbit Unifiée, les Bonds, sauf si 5 années se sont écoulées depuis la fin de la chelihout et le retour en Israël.
La décision quant au statut se fera en Israël dans l'un des bureaux du ministère de l'Intégration, en fonction des dates figurant dans les tampons d'entrée et de sortie du passeport et l'examen des inscriptions au ministère de l'Intérieur. Le calcul de la période d'absence du pays se fera en fonction des deux années ayant précédé le retour en Israël.
Pour un " scientifique " - et un investisseur le calcul se fera sur les 3 dernières années précédant le retour en Israël.
Qui n'est pas considéré comme résident de retour par le Ministère de l'Intégration ?
1. Celui qui a bénéficié par le passé de l'assistance accordée au "résident de retour"
2. Celui qui est encore en période donnant droit comme olè - recevra une assistance conformément à l'éligibilité qui lui reste.
3. Celui qui a séjourné à l'étranger en mission (chelihout).
Période donnant droit à l'assistance
1. La période donnant droit pour un résident de retour, au Ministère de l'Intégration, est de 12 mois à partir de la date de retour au pays.
2. La période donnant droit à l'assistance accordée par la douane, est de 9 mois à partir de la date de retour au pays. On peut importer directement un véhicule automobile seulement dans les 3 mois suivant la date de retour au pays.
3. Une période de service militaire (ordinaire ou de réserve) ne sera pas comptée dans le cadre de la période donnant droit ou dans le cadre des visites dans le pays.
Visitez notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Retraités en Israel
La brochure "Retraités en Israel" éditée par le Ministére de l'Intégration israélien en téléchargement sur notre site : http://www.demeco-isradem.com/ donne des informations sur
- Les conditions de vie à la retraite
- Les possibilités d’emploi pour les seniors
- L’allocation vieillesse
- Le logement dans les maisons de retraite ou dans des logements à loyer protégé
- Les activités du troisième âge
- Les services sociaux
- Les services de santé
- Les avantages accordés aux personnes âgées.
Cette brochure est destinée aux personnes du 3èmes âge désireuses de monter en Israël.
- Les conditions de vie à la retraite
- Les possibilités d’emploi pour les seniors
- L’allocation vieillesse
- Le logement dans les maisons de retraite ou dans des logements à loyer protégé
- Les activités du troisième âge
- Les services sociaux
- Les services de santé
- Les avantages accordés aux personnes âgées.
Cette brochure est destinée aux personnes du 3èmes âge désireuses de monter en Israël.
mardi 20 novembre 2007
Aliyah : Préservez votre santé en Israel
Dans la brochure "préservez votre santé en Israel" éditée par le Ministére de l'Intégration israélien en téléchargement sur notre site : http://www.demeco-isradem.com/ vous trouverez des conseils judicieux de santé particuliers aux conditions de vie en Israël.
Aliyah : Brochures d'information
Le ministère de l’intégration publie des brochures d’informations à l’intention des nouveaux et anciens immigrants, pour les touristes se préparant à l’alya, pour les israéliens de retour et le personnel s’occupant d’intégration.
Les brochures contiennent des informations officielles et mises à jour régulièrement sur le processus de l’alya et l’intégration en Israël, les droits et devoirs du nouvel israélien ainsi que les explications concernant les différentes aides, des conseils d’orientation et une information sur la vie sociale et culturelle en Israël.
Les brochures sont expédiées dans toutes les sections et agences du ministère à travers le pays ainsi qu’aux entrées dans le pays : aéroport et ports d’Israël.
Elles sont également distribuées :
Dans les différents centres d’apprentissage de l’hébreu (oulpanim)
Dans les centres d’informations
Dans les mairies et autorités locales, etc…
Il est possible de commander ces brochures en écrivant à l’adresse suivante:
Ministère de l’Intégration département des publications
15 rue Hillel
Jérusalem - 94581
telefax : 02-624 15 85
Certaines sont en telechargement sur notre site : http://www.demeco-isradem.com/
Les brochures contiennent des informations officielles et mises à jour régulièrement sur le processus de l’alya et l’intégration en Israël, les droits et devoirs du nouvel israélien ainsi que les explications concernant les différentes aides, des conseils d’orientation et une information sur la vie sociale et culturelle en Israël.
Les brochures sont expédiées dans toutes les sections et agences du ministère à travers le pays ainsi qu’aux entrées dans le pays : aéroport et ports d’Israël.
Elles sont également distribuées :
Dans les différents centres d’apprentissage de l’hébreu (oulpanim)
Dans les centres d’informations
Dans les mairies et autorités locales, etc…
Il est possible de commander ces brochures en écrivant à l’adresse suivante:
Ministère de l’Intégration département des publications
15 rue Hillel
Jérusalem - 94581
telefax : 02-624 15 85
Certaines sont en telechargement sur notre site : http://www.demeco-isradem.com/
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