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lundi 24 mars 2008

Formalités de séjour en Israël

Source : Ambassade de France en Israel

http://www.ambafrance-il.org/

En vertu de la Loi du Retour, tout individu dont l’un des grands parents est juif se voit octroyer automatiquement la nationalité israélienne lors de la demande d’immigration. Il a toutefois la possibilité de refuser la nationalité israélienne en optant pour le statut de résidant temporaire (5 ans) ou permanent (illimité) lui octroyant le droit de séjourner et travailler en Israël et de jouir de l’ensemble de la législation sociale du pays. Les résidents permanents sont soumis aux obligations militaires israéliennes.

Pour les autres, le motif de leur séjour en Israël détermine leur statut :

Touristes : Les ressortissants français munis d’un passeport en cours de validité sont exempts de visa pour des visites à but touristique. Lors de leur entrée en Israël, ils obtiennent un visa de séjour de 3 mois renouvelable une fois auprès du Ministère de l’Intérieur.

Etudiants : Un visa d’un an est accordé sur production d’un certificat de scolarité (renouvelable chaque année).

ATTENTION : Ces deux types de visa n’octroient pas un droit de travail

Visas de travail : L’octroi d’un permis de séjour et de travail est limité par la loi et par une décision gouvernementale. Il revient à l’employeur d’adresser au bureau du travail israélien une demande de visa de travail pour étranger. Après les vérifications d’usage, il transmet son accord au Ministère de l’Intérieur qui délivre qui le visa dont la durée ne peut dépasser 27 mois. Après cette période, l’intéressé doit quitter le pays et ne peut revenir en Israël qu’après avoir déposé une nouvelle demande de visa. Les travailleurs étrangers ne peuvent prétendre à l’assurance chômage, à la retraite et à la formation professionnelle par le biais de l’Etat. En revanche, ils sont soumis aux cotisations sociales leur permettant de bénéficier du droit au congé de maternité et de l’assurance contre les accidents du travail et la faillite.

Les Conjoints : Les conjoints étrangers de ressortissants israéliens ou de travailleurs étrangers se voient accorder un visa renouvelable chaque année et qui ne leur accorde pas le droit de travailler.

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La population d'Israel

Source : Site un Echo d'Israel
http://www.un-echo-israel.net/

La population d’Israël s’élève à 7 200 000 personnes:
- 5 477 000 de Juifs
- 1 438 000 sont Arabes
- 315 000 personnes enregistrées comme chrétiens non arabes ou sont déclarés sans religion.

Croissance de la population
La croissance de la population israélienne est stable avec le taux de 1, 8% et n’a pas évolué depuis 2003. 90% de cette croissance est naturelle. 10% est dû à l’immigration. Au début des années 90, l’immigration constituait 56% de la croissance annuelle du pays. Dans les années 90, la croissance était de 3%. La croissance naturelle au sein de la population juive est de 1, 5% alors que chez les Arabes, elle s’élève à 2, 6%. Depuis la création de l’Etat d’Israël en 1948, la population a été multipliée par plus de 8,5. En 1948, Israël comptait 806.000 habitants.

Une population relativement jeune
La population israélienne comparée aux populations des pays occidentaux est considérée comme jeune puisque 28% des Israéliens ont entre 0 et 14 ans (contre 17% en moyenne dans les pays européens). 10% de la population ont plus de 65 ans (contre 15% dans les pays occidentaux).

Plus d’Achkenazim que de Sefaradim
On dénombre plus de Juifs issus des pays européens et d’Amérique de Nord (39% de la population) que des juifs d’Afrique du Nord (15%). Le plus petit groupe ethnique est celui des Juifs issus des pays d’Asie avec seulement 12% de l’ensemble de la population.

Plus de femmes que d’hommes
En Israël, il y a 977 hommes pour 1000 femmes. Jusqu’à l’âge de 35 ans, on compte plus d’hommes que de femmes mais à 36 ans, la tendance s’inverse. Après 75 ans, elle s’accentue encore puisqu’il ne reste plus que 673 hommes pour 1000 femmes.

Tel Aviv attire toujours
La moitié de la population juive du pays est concentrée dans le centre du pays dont 20, 9% dans la région de Tel Aviv. Seulement 10% de la population juive habite dans le nord du pays. La population arabe se trouve plutôt à la périphérie : 45% des Arabes habitent dans le Nord (Galilée, Haïfa) et 11% dans le Sud (Néguev).

Densité de population
La densité de population ne cesse d’augmenter en Israël. On enregistrait 310 habitants au km2 contre 220 habitants au Km2 en 1990. Tel Aviv et ses environs (le centre du pays) sont la région la plus peuplée du pays avec 1974 habitants au km2 alors que dans le sud du pays on enregistre seulement 72 habitants au km2.

Les deux villes d’Israël ont la densité est la plus forte sont Bené Brak (près de Tel Aviv) avec 20 266 habitants au Km2 et Bat Yam (au sud de Jaffa) avec 15 785 personnes au Km2.

La densité de la population israélienne est comparable à celle de l’Inde. Elle est l’une des plus forte du monde.

La population d’Israël est majoritairement urbaine.
91% des Israéliens habitent dans des localités de plus de 2000 personnes. Un quart de la population habite dans les quatre grandes villes du pays : Jérusalem, Tel Aviv, Haïfa et Richon LeTsion.

L’espérance de vie progresse
En 2006 sont nés en Israël 148 178 bébés soit une augmentation de 3% par rapport à 2005. L’espérance de vie en Israël est de 78, 5 ans pour un homme et 82, 5 pour une femme. Par rapport à l’an dernier, on enregistre une progression de l’espérance de vie de 0, 2%.

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dimanche 16 mars 2008

Vaut-il mieux acheter ou louer un appartement ?

Source : Arouts 7
http://www.a7fr.com/

Que vaut-il mieux : acheter ou louer son appartement ? C’est la question que se posent de nombreux Israéliens de souche au moment de fonder un foyer ou les nouveaux immigrants lors de leur installation dans le pays.

La tendance en Israël semble être en faveur de l’achat. Mais d’après les résultats d’une enquête que vient de réaliser la faculté d’architecture du Technion de Haïfa, il s’avère qu’un locataire a plus de chances de conserver de l’argent disponible qu’un propriétaire, soumis à la contrainte mensuelle des paiements du prêt hypothécaire qui lui a été consenti.

En fait, établit cette étude, deux facteurs entrent en ligne de compte dans ce cas de figure : le facteur économique et le facteur psychologique. Les questions économiques comprennent les nombreux frais occasionnés par l’acquisition d’un logement comme par exemple le paiement des taxes, de l’agence immobilière, des services d’un avocat, ainsi que les restrictions budgétaires de l’acquéreur, etc…

Quant aux questions psychologiques, toujours d’après cette enquête, il s’avèrerait qu’elles jouent un rôle non négligeable. En effet, les personnes concernées par cette étude se sentiraient plus autonomes et plus libres lorsqu’elles sont propriétaires de leur appartement. 76 % d’entre elles affirment qu’elles préfèrent acheter leur logement pour cette raison.

En outre, un grand nombre d’Israéliens (70 %) considèrent avoir acquis un statut social plus respectable en devenant propriétaires de leur appartement, ainsi qu'une sensation de plus grande stabilité, une certaine sérénité, d’autres parlent de "réussite" et même de "bonheur".

L’argument généralement avancé par 85 % des personnes interrogées est le suivant : "L’achat d’un appartement est préférable étant donné que lorsqu’on a fini de rembourser les prêts, il est à nous. En revanche, si on est locataire, on peut payer un loyer toute la vie et se retrouver sans rien en fin de compte". A cela, le docteur Ben Shahar répond : "Théoriquement, ces conclusions sont erronées étant donné qu’elles ne prennent pas en compte les intérêts bancaires, les risques et d’autres paramètres financiers".

En conclusion, le docteur Ben Shahar affirme que les motifs psychologiques sont dominants par rapport aux calculs financiers. Cette étude intéressante et inattendue a été réalisée par 315 étudiants de première année.

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jeudi 13 mars 2008

Alyah : l’autre droit au retour

Source : Arouts 7
http://www.a7fr.com/

Face au nombre important d’israéliens qui choisissent de vivre en diaspora, Israël tente aujourd’hui de trouver des moyens d’attirer à nouveau ses citoyens.

Profitant de l’esprit de promotion et de commémorations festives marquant le soixantième anniversaire d’Israël, le bureau du Premier ministre a décidé de proposer des avantages financiers à ceux qui souhaiteraient "revenir à la maison" cette année.

"Les précédents gouvernements israéliens n’ont pas assez fait pour garder le contact avec les ressortissants partis émigrer ailleurs", rappelle Oved Yehezkel, Secrétaire de Cabinet du Premier ministre. "Certains d’entre eux n’ont d’ailleurs plus entendu parler de leur pays d’origine, pas même une seule fois, depuis 10 ou 15 ans".

Ainsi donc, à la demande du Premier ministre, Yehezkel a réfléchi à cette question cruciale : comment renouer des relations avec des citoyens qui ont fait le choix de quitter leur pays natal ?
Première étape de cette "reconquête" : recenser avec exactitude la population israélienne résidant en dehors de nos frontières, partout où elle se trouve, afin de pouvoir les contacter directement et tenter de les inciter à revenir en Terre Sainte.

Selon le Cabinet officiel, l’absence de données chiffrées tangibles ne pouvait, jusqu’à présent, que freiner et altérer la qualité de cette relation entre Israël et sa diaspora.

"Le retour des immigrants israéliens sur leur terre, est l’un de mes objectifs principaux", avait déclaré Ehoud Olmert récemment. "Chacun d’entre eux reste lié à Israël, par chaque fibre de son être, et notre pays doit mettre en exergue cette mission et en faire une priorité nationale", avait-il ajouté.

En outre, les responsables israéliens ont compris que dans la relation qui unit les ressortissants à leur pays, Israël doit faire un geste et montrer qu’il se soucie de ses citoyens, et que le lien n’est jamais rompu vraiment. Cette démarche pourrait être de nature à redonner l’envie de retourner en Israël.

Ehoud Olmert, en collaboration avec l’Agence Juive, va donc initier une campagne pour une nouvelle prise de contact, à travers le monde. L’un des moyens d’y parvenir est aussi la création d’un site Internet chargé de répandre ce message. Il s’agirait d’aboutir à une sorte de "Face book juif" présentant des informations sur Israël et sur le monde juif en général, sous toutes ses facettes : sociales, historiques, économiques, culturelles ou religieuses notamment.

L’une des autres initiatives sera de créer des centres culturels juifs à travers le monde, de façon à garder un lien entre les différentes communautés juives du monde et Israël.

Cette histoire d’amour, momentanément mise entre parenthèses, ne pourra que retrouver de sa vigueur.

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mardi 11 mars 2008

Rishon Lezion – la ville la plus riche d’Israël

Source : Arouts 7
http://www.a7fr.com/

D’après le bureau central des statistiques, qui a publié un rapport sur les dépenses du ménage israélien moyen, Rishon Lezion était la ville la plus riche d’Israël en 2006. Cette dernière est classée première parmi les 14 villes citées dans le rapport. Les dépenses moyennes d’un ménage de Rishon Letzion s’élèvent en effet mensuellement à 3.166 dollars (13.000 shekels par mois !)

A Bat Yam, la dernière de la liste, un ménage dépense en moyenne 1.998 $ (8250 shekels) – 37% de moins qu’à Rishon Lezion.

D’après les données du bureau central des statistiques, les dépenses mensuelles par personne en 2006 étaient les plus élevées à Tel Aviv (1.398 $ - 5.780 shekels) et les plus faibles à Bnei Brak (492 $ - 2.030 shekels.)

Bnei Brak a également le nombre le plus élevé de personnes vivant dans un même appartement (4,3), alors qu’à Tel Aviv le nombre de personnes n’est que de 2,2.

Les ménages de Rishon Lezion sont également les premiers en ce qui concerne la possession de téléphones portables (90,6%), d’ordinateurs (74,1%) et de voitures (75%).

Bnei Brak occupe la dernière place, avec seulement 31,9% des foyers détenant une télévision, 42% un ordinateur et 24,2% une voiture.

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Jérusalem en pleine expansion immobilière

Source : Arouts 7
http://www.a7fr.com/

Sur le plan immobilier, Jérusalem devient, peu à peu, la ville d’Israël concentrant le plus de projets de construction de bâtiments. L’homme d’affaires israélien Lev Lévaïev projette la mise en place d’un programme ambitieux : 5 projets immobiliers correspondant à 900 nouveaux logements.

D’ici cinq ans, le milliardaire Lev Lévaïev envisage de lancer cinq projets immobiliers. La société Africa Israël est actuellement en pourparlers avec lui afin de participer à deux de ces projets, sur la base de 150 logements.

On assiste à une expansion en matière de travaux effectués à Jérusalem. La société a débuté un projet appelé Hatser Anéviïm, au centre ville, situé au niveau des rues Anéviim-Mounbaz et Eléni Amalka. A cet endroit, se construit en ce moment un bâtiment imposant de neuf étages, pour 100 appartements. Africa Israël effectue ces travaux en collaboration avec la société Schenfeld. Du côté de la rue Arav Kook, un autre projet de 130 appartements, prévus à la vente, se met en place.

Pour la population orthodoxe, la société prévoit la construction de 160 logements dans le quartier Romema, autour de la salle d’événements Aahouza.

Un autre quartier fermé, avec 130 appartements, sera élaboré, au niveau de la rue Ehad Aam, à la frontière de Rehavia. "Nous ne construisons pas seulement pour les gens de l’extérieur", précise le directeur d’Africa Israël, Yoram Keren. Dans le quartier de Arnona, en partenariat avec la société Ramgor (33%), un autre projet de 400 logements est destiné à la population locale. Un appartement de quatre pièces par exemple coûtera 400 000 dollars".

A propos de l’investissement de sa société sur la ville sainte, il ajoute : "Jérusalem qui est la capitale d’Israël, va devenir la ville qui concentre le plus d’activités immobilières du pays. En proportion gigantesque. Selon nous, l’investissement national public pour le centre de Jérusalem s’élève à un milliard de shekels. De plus, l’ambition municipale de rénover les sites et bâtiments historiques de la ville, ainsi que le projet d’un tramway, augmentent sa valeur immobilière".

Sur ce plan-là également, Jérusalem sera particulièrement … chère.

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dimanche 9 mars 2008

La fiscalité en Israël

Source : http://www.israelfr.com/

Les revenus perçus à l'étranger
Depuis le 1er janvier 2003, la réforme du régime fiscal israélien est entrée en vigueur. Désormais, tout résident israélien devra être imposé sur l'ensemble de ses revenus, qu'ils soient perçus en Israël ou à l'étranger. Suite à cette réforme, viennent s'ajouter aux revenus imposables diverses rétributions telles que les revenus locatifs, les intérêts, les salaires et autres retraites perçues hors des frontières israéliennes.

Les nouveaux immigrants bénéficient toutefois de plusieurs exonérations d'impôts. A titre d'exemple, certains revenus passifs perçus à l'étranger par un "Olé Hadash" (intérêts, dividendes, pensions, royalties ou revenus locatifs) seront exonérés d'impôts durant les 5 premières années de son Alya, à condition que celui-ci etait propriétaire du ou des biens produisant ces mêmes revenus avant son Alya.

La réforme a également redéfini la notion de "domicile fiscal". Celui-ci est à présent déterminé par l'identification du lieu des centres d'intérêts du contribuable, ou encore par le décompte du nombre de jours passés à l'étranger par ce dernier.

Il est important de signaler qu'Israël est signataire de plusieurs conventions de non double imposition avec d'autres Etats, dont la France. Ces conventions permettent au contribuable, dans certains cas, de choisir l'Etat dans lequel il souhaite être imposé ou de déduire de l'impôt dû en Israël, l'impôt payé à l'étranger.

Les pensions
Les pensions sont des revenus imposables en Israël. Les personnes retraitées bénéficient toutefois d'un abattement de 35% (qui peut être limité dans certains cas). Après abattement, l'impôt est calculé conformément à des paliers variant de 10 à 49%.

Comme nous l'avons signalé ci-dessus, les pensions perçues à l'étranger font désormais partie des revenues imposables en Israël. Cependant, celles-ci sont exonérées durant les 5 premières années de résidence en Israël. Après cette "période de grâce", les pensions seront soumises au régime fiscal énoncé ci-dessus, à ceci près que le montant de l'impôt ne pourra excéder celui qui aurait du être payé dans le pays d'origine. Dans certains cas, le montant de l'impôt dû en Israël peut être même inférieur à celui qui aurait du être payé dans le pays d'origine.

Selon la convention de non double imposition entre la France et Israël, les personnes retraitées ayant émigré en Israël sont redevables de l'impôt israélien. Cette règle n'est pas applicable dans le cas des retraités de collectivités locales ou d'organismes publics, ceux-ci devront s'acquitter de leur impôt en France alors même qu'ils résident en Israël.

Les plus values
Les plus values effectuées sur les ventes de bien - y compris à l'étranger - sont imposables en Israël. Les nouveaux immigrants bénéficient toutefois d'une exonération d'impôt sur les plus values effectuées sur les ventes de biens à l'étranger durant les dix premières années de leur Alya. Cette exonération est valable, à condition que les biens vendus étaient en leur possession avant leur immigration. A compter de la onzième année, un calcul proportionnel prenant en compte la durée de détention du bien, déterminera la plus value exonérée et celle qui sera imposée à un taux de 25%. Les "Olim Hadashim" bénéficient aussi d'un taux préférentiel -15% au lieu de 25% - sur les plus values effectuées suite aux ventes de valeurs mobilières étrangères.
Selon la convention entre la France et Israël, les plus values sont en premier lieu imposables dans l'Etat dans lequel les biens se trouvent. Dans le cas de résidents israéliens, celles-ci seront par la suite imposables en Israël, conformément aux règles énoncées ci-dessus.

Les réductions sur l'impôt sur le revenu
Un nouvel immigrant bénéficie de réductions dégressives de l'impôt sur le revenu durant une période de 42 mois. Il est possible de reporter cet allégement dans les cas de service militaire ou d'étude. De même, un "Ole Hadash" n'ayant pas profité de cette réduction pourra déposer une demande de calcul rétroactif (jusque 6 ans), et ainsi dans certains cas, recevoir des remboursements d'impôts.

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Le Ministère de l'Intèrieur en Israel

Source : http://www.israelfr.com/

Le Ministère de l’Intérieur délivre les documents administratifs civils: la carte d’identité, le passeport, le certificat de naissance, de décès ou le permis de port d’arme, etc…

Vous devez vous y rendre pour signaler tout changement d’état-civil comme une naissance, un décès, un changement d’adresse, un mariage ou un divorce.

Dès votre arrivée en Israël vous recevrez un imprimé délivré par le ministère de l’intérieur qui vous servira de carte d’identité provisoire. Toutefois vous devrez, dans la plupart des administrations, présenter votre carte d’identité définitive. Il est vivement conseillé de se rendre au plus tôt au bureau de ce ministère (il en existe un dans chaque ville) pour obtenir ce document définitif.

Conformément à la loi israélienne, vous devez toujours porter votre carte d'identité (Te'oudat Zeout) sur vous et d'autre part, aussi est il important d'en faire rapidement la demande après votre arrivée en Israël.

Comment faire la demande de la Teoudat Zeout:
Toute personne ayant reçu sa Te'oudat Oleh à l'aéroport peut demander sa carte d'identité au Misrad Hapnim le plus proche de son domicile. Vous devrez fournir les documents suivants :

- Teoudat Oleh (carte d'identité d'immigration)
- L'imprimé reçu à l'aéroport et qui sert de carte d'identité provisoire
- Le certificat de judaïcité ou la ketouba (original et photocopie certifiée conforme) à prendre sur soi avant le départ
- L’original et la traduction notariée des certificats de naissance et de mariage (ou du livret de famille)
- 2 photos d'identité
- Passeport d'origine portant le visa d'immigration

Ne pas oublier de reprendre l’original des documents, seules les photocopies doivent rester entre les mains du fonctionnaire .

La Teoudat Zeout est soit immédiatement remise, soit expédiée par la poste. Vous recevrez une enveloppe de plastique bleue, a peine plus grande qu'une carte de crédit, qui contient la carte d'identité et le document qui s'y rattache et comportant le nom, l'adresse, l'état civil et éventuellement le nom du conjoint et des enfants. Des personnes ayant un droit de séjour limité reçoivent une carte de couleur orange.

Chaque israélien de plus de 16 ans doit porter sur lui sa propre carte d'identité. Les enfants de moins de 16 ans sont inscrits sur la carte de leurs parents.

Si les données personnelles qui figurent sur le document étaient amenées à changer, il est important de les faire modifier au Misrad Hapnim.

Pour sortir du pays : Le passeport (Darkon)
90 jours après son Alyah, le Ole H'adash devient automatiquement citoyen israélien, à moins qu'il ne se soit expressément prononcé contre. Il en résulte que vous aurez besoin d'un passeport israélien pour vos futurs déplacements à l'étranger. Pendant la première année de votre Alyah il vous sera établi un "laisser-passer" provisoire (Te'udat Ma'avar). Vous devrez ensuite demander votre passeport israélien définitif. Bien qu'il ne soit pas obligatoire de demander un "laisser-passer", ceci est toutefois conseillé au cas où vous auriez à vous déplacer en urgence.

La procédure:
Le passeport doit être demandé personnellement auprès du Ministère de l'Intérieur (Misrad Hapnim). Chaque membre de la famille doit avoir son propre passeport, même les bébés et les enfants, et eux aussi doivent être présents lors de la demande. Au guichet d'information à l'entrée du Misrad Hapnim, vous seront remis les formulaires nécessaires à la demande.

Il faut fournir les documents suivants: Te'udat Zehut et 2 photos d'identité.
Coût: 75 Shekels pour la Teudat Ma'avar ; 220 Shekels pour le passeport (paiement en liquide ou par carte bancaire). Le passeport vous sera expédié en recommandé par la poste. Il convient de s'y prendre a l'avance quand un déplacement à l'étranger est prévu (les agences de voyage exigent que votre passeport soit en règle avant de vous vendre un billet d'avion).

Les bureaux du Ministère de l’Intérieur sont souvent débordés, venez toujours tôt, et soyez patients. Un bon livre, un en-cas et une boisson vous aideront à patienter !! N’oubliez pas de prendre un numéro dès votre entrée dans les locaux du Ministère pour assurer votre tour.

Munissez-vous des originaux et de photocopies mais faites attention à ne jamais laisser les documents originaux à l’administration.

En cas de demenagement comment signifier votre changement d'adresse ?
La plupart des Israéliens ayant déménagé ont pu expérimenter la frustration de devoir informer eux-mêmes et séparément les différents services municipaux de leur changement d'adresse.

Ceux qui n'ont pas réussi à venir à bout de cette tâche ardue savent ce que c'est que de se voir envoyer leurs factures à leur ancienne adresse, ce qui conduit inévitablement à des factures impayées et des intérêts qui s'accumulent.

La loi oblige certaines compagnies à mettre à jour leurs banques de données clients, pour le ministère de l'Intérieur. Ce qui veut dire que le citoyen lambda n'aura qu'à signifier son changement d'adresse au seul ministère de l¹Intérieur.

Par ailleurs, chaque personne bénéficiera d'une période de grâce de 30 jours pour signaler sa nouvelle adresse.

La loi stipule également que si une facture est envoyée à l'ancienne adresse de la personne 50 jours après qu'elle a notifiée sa nouvelle adresse au ministère, la facture sera considérée comme non délivrée et la personne ne sera donc pas dans l'obligation de payer des intérêts supplémentaires.

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samedi 8 mars 2008

Les transports en commun en Israël

Source : http://www.israelfr.com

L'autobus
C'est le moyen de transport le plus populaire en Israël pour les déplacements urbains et inter-urbains. Le réseau des autocars et autobus EGGED relie toutes les villes et localités, plusieurs fois par jour et assure les liaisons urbaines dans la plupart des villes. Les tarifs des autobus sont très raisonnables et les horaires réguliers. La plupart des services d'autobus ne fonctionnent pas le Shabbat et les jours de fêtes juives.

Retraités et étudiants bénéficient de réductions sur présentation de leur carte. On peut se renseigner dans n'importe quelle agence, au bureau de tourisme ou aux gares routières dans les grandes villes.

Il existe des forfaits de transports illimités valables de 1 à 4 semaines.

Quoi de Neuf, du côté d'Egged ?
C'est nouveau à Egged, pour tout savoir par SMS… Prix des billets, les parcours, horaires des bus… Il suffit d'envoyer un SMS en composant le 2800 et ce 24h/24. Vous recevez une réponse dans les quelques secondes qui suivent. Le prix du SMS est de 49 agorot – question et réponse
Pour plus d'info consulter le site Internet d'Egged : http://www.egged.co.il/

Vous pensez a une excursion alors vous trouverez ce qu'il vous faut sur ce site: http://www.egged.co.il/Eng/main.asp?lngCategoryID=2727

Les Taxis
Vous trouverez 2 types de taxis en Israël :

1/ Des taxis individuels, équipés de compteurs qui assurent les liaisons urbaines et interurbaines (tarifs fixés).

2/ Des taxis collectifs (en hébreu "Shérout") qui assurent des services entre les plus grandes villes et sur certains itinéraires urbains, sur la base d'un prix fixé par passager.

En voyage inter-urbain, il existe des taxis collectifs (moniot sherout) leurs tarifs sont forfaitaires et connus à l’avance. Vous pouvez aussi louer un taxi pour une heure ou une journée après vous être renseignés sur les prix.

Le Train
La société des Chemins de Fer Israéliens assure un service régulier entre Tel-Aviv et Beer-Shev'a au Sud et entre Tel-Aviv et Nahariya au Nord (en passant par Herzlyia, Netanya, Haïfa et Akko), ainsi qu'entre Tel-Aviv et Jérusalem.

On peut réserver ses places à l'avance et tous les trains ont un wagon buffet.
Le service n'est pas assuré le Shabbat et les jours de fêtes.

Depuis 2005, il est possible de relier Modiin à Tel-Aviv (en 26 minutes), et Ashdod à Ashkelon (Ashdod est déjà relié à Tel-Aviv par le train).

En 2008, une nouvelle ligne reliera Haïfa à Bet Shean, et pourrait être prolongée jusqu'en Jordanie.

En 2009 une nouvelle ligne de trains reliera Haïfa à Carmiel en 32 minutes.

Enfin la ligne Ashdod - Eilat est maintenant officiellement planifiée. Elle a été incluse dans le plan régional de développement, ce qui signifie que les plans du chemin de fer ont été soumis aux organisations habilitées à se prononcer sur l'impact sur l'environnement, dont la SPNI. Celle-ci a constaté que ce plan remplissait tous les critères d'environnement, et apportera un plus indéniable à la fois en ce qui concerne les économies d'énergie et la protection de la qualité de l'air. La SPNI a donc approuvé ce plan et y applaudit.

L’objectif est de relier au réseau ferroviaire toutes les localités de plus de 50 000 habitants.
A terme, seront ainsi reliées les villes de Tel-Aviv, Netanya, Herzliya, Petach Tikva, Rosh-Ha'ayin, Beersheva, Lod, Rehovot, Ashdod, Rishon LeZion, Modi'in, Nahariya, Haïfa et ses banlieues, Jérusalem ainsi que l'aéroport Ben Gourion.
Site des chemins de fer israéliens : http://www.israrail.org.il/

Le métro de Tel Aviv
avec un coût de deux milliards d'euros, représente le plus grand projet d'infrastructures en Israël. Israël a annoncé sa décision d'améliorer les conditions de l'appel d'offre pour la construction du métro et du tramway de Tel-Aviv. Le consortium qui remportera l'appel d'offres bénéficiera d'une subvention de 2 milliards de dollars gouvernement israélien, bien que le projet soit réalisé en BOT. La participation importante du gouvernement, qui n'était pas prévue à l'origine, s'explique par le changement du tracé et la construction d'un tunnel dans la région de Bné Brak, qui augmentent sensiblement le coût des travaux.

Ce projet de métro permettra, en 2011, de joindre Bat Yam, au sud de Tel Aviv, à Petah Tikva, en passant par le coeur de Tel-Aviv, Ramat-Gan, et Bne-Brak. C'est le plus important des projets qui sera réalisé en Israël ces prochaines années. La ligne, de 22 kilomètres, comptera une partie souterraine de 9,3 km et 31 stations, 21 extérieures et 10 souterraines. Les trains circuleront toutes les 3 à 10 minutes.

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Travailler en Israël

Source : http://www.israelfr.com/

Les horaires de travail

En Israël, la journée de travail est de 9 heures, avec une pause-déjeuner d'une 1/2 heure qui n'est pas décomptée. La semaine de travail est de 45 heures maximum, généralement sur 5 jours de travail, bien que les commerces et certaines entreprises travaillent sur 6 jours. Le Chabbat est le jour de repos légal. Une entreprise peut fonctionner le Chabbat avec l’autorisation du Ministère du travail.

Le règlement du salaire
La loi oblige l’employeur à verser le salaire au plus tard le 10 du mois suivant. Si le paiement est reporté au-delà, de 1 à 8 jours, l’employeur devra verser 5% du salaire en plus. Pour chaque semaine supplémentaire de retard, il devra ajouter 10% du salaire.

Il faut différencier sur la fiche de paie, la rémunération brute du salaire net. Sur le brut, vous sont prélevés directement vos impôts sur le revenu, et la sécurité sociale - Bitouah Léoumi –qui couvre l’assurance médicale, l’assurance sociale, la retraite…

Le salaire minimum
Il évolue selon différents critères vérifiables auprès des syndicats ou de l’UNIFAN.

Les Congés
1.Durant les 4 premières années, un salarié a le droit à 12 jours de congés par an pour 6 jours de travail hebdomadaire.
2. Le nombre de jours de congé dépend de l’ancienneté dans le travail
3. Au bout d’un an d’ancienneté révolu, sont acquis 5 jours, équivalent à une prime de vacances qui vous est versée entre les mois de mai et de septembre en un ou plusieurs versements.

Il faut ajouter les jours de fêtes obligatoires : 2 jours pour Rosh Hoshana, le jour de Yom Kippour, le 1er et le 7ème jour de Souccoth, le 1er et le 7ème jour de Pessah, le jour de Chavouot, le jour de Yom Haatsmaout.

Les frais de transport.
L’employeur doit les mentionner directement sur la fiche de paie, mais ne les inclus pas dans le salaire. Le montant dépend du prix de la carte de transport forfaitaire mensuelle de la ville où vous habitez. Cette somme n’inclut pas les voyages effectués au titre du travail. L’employeur est dans l’obligation de payer ces frais à partir de la troisième station de bus.

Les heures supplémentaires.
A l’issue des heures régulières, l’employeur est tenu de régler les heures supplémentaires selon l’echelle suivante :
125% pour les 2 premières heures supplémentaires
150% pour les 2 heures suivantes

Les jours de maladie.
Un salarié a droit à 18 jours de congés maladie par an (un jour et demi par mois, cumulables jusqu'à 90 jours par an), rémunérés selon la règle suivante :
0% pour le 1er jour
37.5 % pour le 2ème et le 3ème jour
75 % à partir du 4ème jour.

Sont compris dans ces 18 jours 6 jours pour subvenir aux besoins d’un enfant malade de moins de 16 ans ; Et 6 jours pour chacun des parents de plus de 65 ans ou pour le conjoint en cas d’assistance médicale. 6 autres jours de congés par an sont accordés.

La caisse de retraite complémentaire.
L’employeur souscrit en général à une retraite complémentaire (Bitoua'h Mena'alim) de son choix après un an. 1/3 du montant de cette cotisation est prélevée sur votre salaire, les 2/3 sont financés par l’employeur.

Si vous cotisiez auprès d’une caisse de retraite dans le cadre d’un emploi et que vous quittiez cet emploi, évitez les ruptures de cotisations supérieures à 6 mois. Cela signifierait pour vous une perte non négligeable de votre capital cumulé jusqu’alors.

Les femmes enceintes.
Il est interdit à un employeur de licencier une femme enceinte, si elle a déclaré son état. Par ailleurs, il est possible pour elle de s’absenter pour examens médicaux sans que son salaire en soit affecté. La loi autorise 12 semaines de congé après la naissance pendant lesquelles la Caisse Nationale d’Assurance - le Bitouah Léoumi - versera des allocations (dans le cas où l’employée a été salariée durant les 6 derniers mois).

Le licenciement - pitourim
En cas de licenciement, l’employeur est tenu d’accorder un préavis de un jour par mois pour un employé qui travaille depuis moins d’un an et d’un mois s’il travaille depuis plus de trois ans. Cela est aussi vrai à l’inverse pour un salarié qui désire quitter son poste.

Les indemnités de licenciement - pitsouyim
La règle générale est d’indemniser le salarié par un mois de salaire pour chaque année d’ancienneté. Certains organismes peuvent vous aider à mieux connaître vos droits, et à vous défendre le cas échéant. Renseignez-vous auprès de votre conseiller UNIFAN.

Evitez de débuter dans un nouveau poste sans avoir signé de contrat. Toutes les informations données ci-dessus pourraient ne pas être respectées par votre employeur sans aucun recours possible de votre part de les contester. L’énoncé de ces lois n’inclut pas les conventions collectives.

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vendredi 7 mars 2008

Le permis de conduire en Israel

Qui est autorisé à conduire avec un permis de conduire étranger ?
Vous avez le droit de circuler en Israel avec votre permis de conduire d'origine que dans les trois mois qui suivent votre aliyah. Au dela, vous êtes dans l'obligation de procéder au changement de permis. Dépassé le delai de trois ans, votre permis d'origine ne peut plus etre converti en permis israélien.

Comment obtenir le permis de conduire israélien ?
La démarche pour obtenir le permis israélien varie selon que vous ayez votre permis d'origine en mains, ou que vous apportez votre permis périmé ou si vous le passez pour la première fois.

La première chose à faire est de retirer un formulaire vert auprès du bureau des immatriculations "Misrad Ha'rishouy". Avec ce papier vous allez chez un optométriste pour un examen de la vue et chez un médecin pour passer un examen médical. On peut faire l'ensemble de ces démarches Chez MEMSI également. Si vous avez des problèmes médicaux, les papiers peuvent être bloqués jusqu'à ce que les médecins aient évalué votre cas.

Une fois le papier vert signé par les deux médecins, rendez vous dans n'importe quel bureau du "Misrad Ha'reshouy" pour y faire valider ce formulaire. Pour cela il faut apporter: téoudat zéout, téoudat olé, passeport étranger et permis de conduire d'origine (avec photocopie).

Ensuite, il faut chercher un moniteur de conduite pour pouvoir prendre des cours. Il est fondamental de trouver un professeur francophone si vous n'êtes pas très sûr de votre hébreu.

Après avoir acquitté une nouvelle taxe à la poste ou dans une banque vous pourrez vous présenter à l'examen.

Si vous échouez à l'examen pratique, on vous donne une seconde chance de vous présenter. Par contre, si vous échouez à nouveau, vous serez obligé de passer aussi l'examen théorique.

Cet examen est le même pour tous (30 questions sous forme de QCM). Vous pouvez le passer en français, il y a d'ailleurs des manuels en français. Si vous passez votre permis pour la 1ere fois, contrairement à si vous le renouvelez, vous devrez prendre au moins 28 leçons de conduite.

Si en arrivant en Israël votre permis est périmé, il faut effectuer toutes les démarches dès le début, bien que dans ce cas, les 28 leçons ne soient pas obligatoires.

Si vous échouez à l'examen théorique vous ne pouvez pas vous présenter à l'examen pratique. Les deux examens peuvent être passés autant de fois que nécessaire. L'examen théorique est valide pendant deux ans. Pendant cette période vous devez passer la partie pratique.

Une fois réussi l'examen pratique, le moniteur envoie à votre domicile un permis temporaire qui, une fois validé au bureau de poste, vous servira jusqu' à ce que vous receviez le permis définitif par courrier. Le permis de conduire doit etre renouvelé tous les 5 ans jusqu'à l'age de 65 ans, et tous les 2 ans passé cet age.

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jeudi 6 mars 2008

Préparez-vous à un entretien d'embauche

Source : Site "Terre d'Israël"
http://www.terredisrael.com/


Un employeur potentiel qui vous demande "parlez-moi de vous" attend-il que vous lui racontiez votre enfance ?

Quelle est la réponse adéquate à la question "pourquoi avez-vous quitté votre emploi précédent" ?

Vous entrez dans la pièce, osez un timide sourire et vous présentez :" Bonjour, je suis Amit". Le recruteur vous tend la main. "Bonjour Amit, asseyez-vous". L'entretien débute. "Alors, Amit, parlez-moi un peu de vous". Vous tentez de réfléchir rapidement. "Qu'attend-il de moi ? Dois-je lui raconter que j'étais un enfant introverti ? Que j'ai hésité longtemps avant d'opter pour ce métier ?" Vous répondez rapidement que vous avez effectué votre service militaire dans les blindés. L'entretien se poursuit. "Pourquoi avez-vous quitté votre emploi précédent?" (Devez-vous lui raconter que votre supérieur vous en faisait voir ?) "Quelles sont vos attentes en matière de salaire?" (Faut-il dire combien vous gagniez dans la société précédente?) Chaque nouvelle question est plus embarrassante que la précédente.
Voici quelques conseils pour vous aider à répondre aux questions pièges en entretien d'embauche.

1. Parlez-moi de vous
Malgré une formulation vague, le recruteur n'attend pas que vous lui racontiez votre enfance mais compte vérifier que vous possédez les qualités nécessaires. Il est conseillé de commencer par vous présentez plus amplement (âge, lieu de résidence, situation familiale…), puis de résumer votre expérience tout en soulignant en quoi vous correspondez au profil désiré. Ne jamais demander "Que voulez-vous savoir exactement?". Votre réponse ne doit pas excéder deux minutes.

2. Pourquoi devrais-je vous recruter ?
Il s'agit d'une question déplaisante, qui est systématiquement posée en entretien. La réponse appropriée est évidemment : "Parce que je suis le meilleur", mais il faut veiller à la formulation. Il est important de faire preuve de confiance en soi, sans toutefois tomber dans l'orgueil, et insister sur l'expérience, les recommandations, la personnalité.

3. Quelles sont vos attentes en matière de salaire ?
Il est conseillé de se préparer à cette question à l'avance. Ne surtout pas dire que vous n'en avez aucune idée ni demander l'opinion de votre interlocuteur. Il est recommandé de vérifier ce qui se fait sur le marché et de proposer un chiffre de 10 à 15% plus élevé

4. Quels sont vos points faibles ? (et sa variante : dîtes-moi une chose sur vous que vous ne voudriez pas que je sache…)
Là aussi, préparez-vous à cette question. Il est conseillé de présenter un défaut qui puisse être perçu comme une qualité. Par exemple : vous êtes perfectionniste, ou bourreau de travail.

5. Pourquoi avez-vous quitté votre emploi précédent ?
Le but de la question est de vérifier que la raison de votre départ n'affectera pas vos nouvelles fonctions. Afin de rassurer votre interlocuteur, n'hésitez pas à préciser que vous avez décidé de changer de poste dans le but de booster votre carrière, ou que la compagnie dans laquelle vous travailliez a procédé à des réductions d'effectifs. Ne révélez jamais que la raison de votre départ est liée à une incompatibilité d'humeur avec votre boss ou à un salaire trop bas. Il est bon par exemple de préciser que vous aimez les challenges professionnels.

6. Prévoyez-vous d'agrandir votre famille dans un avenir proche ? (et sa variante : que ferez-vous lorsque votre enfant sera malade ou en vacances ?)
Cette question concerne plus les femmes. Ne surtout pas répondre :"Je ne me suis pas encore organisé(e)". Afin de rassurer l'employeur, il est donc conseillé de préciser que vous pouvez compter sur l'aide d'une nounou ou de la famille.

7. Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Peut-être vous imaginez-vous dans une villa au bord de la mer en train de siroter un cocktail, mais ce n'est pas ce que désire entendre votre interlocuteur. Votre employeur potentiel attend de voir comment vous planifiez votre carrière et définissez vos objectifs professionnels. Il faut lui faire comprendre que vous comptez rester au poste convoité entre deux et quatre ans et que vous prévoyez ensuite de grimper l'échelle professionnelle.

8. Qu'est ce qui vous agace chez les autres ?
Ne surtout pas s'enthousiasmer.... Exemple de réponse appropriée : "Les gens qui ne savent pas travailler en équipe me posent un problème", ou "Je trouve dommage que les gens soient prompts à recevoir des compliments mais soient hermétiques à la critique." Il est conseillé d'ajouter : "Dans tous les cas, je sais m'adapter à mon entourage".

10. Quelles sont selon vous les difficultés inhérentes à un nouveau poste ?
Répondre aussitôt : "A priori, je ne vois pas de difficultés, et si elles se présentent, j'apprendrais à les surmonter." Vous pouvez faire référence à des situations dans lesquelles vous avez su faire face à la pression et au stress.

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lundi 3 mars 2008

Petites entreprises en Israël en chiffres

Source : Arouts Sheva
http://www.a7fr.com/

L’Autorité chargée des entreprises israéliennes se charge chaque année d’aider 4500 d’entre elles à voir le jour.

Selon les dernières données transmises par le Ministère du Commerce et de l’Industrie, plus de 96% des 400 000 entreprises existant en Israël sont des petites entreprises.

Au sein de ces petites entreprises sont employées un million deux cent mille personnes. Ce chiffre représente 60% de la main d’œuvre totale employée en Terre Sainte.

L’Autorité responsable des petites et moyennes entreprises se charge chaque année de venir en aide à plus de 20 000 candidats qui se tournent vers elle. Au bout du compte, ce sont 4500 entreprises qui naissent grâce à son concours.

Ces 4500 entreprises contribuent à la création de 13 500 emplois chaque année. Cette Autorité permet également d’assurer le développement de 2800 entreprises israéliennes. Cette activité de renforcement des entreprises génère elle aussi des emplois : 6000 nouveaux par an.


Le coût de la création d’un emploi pour une petite entreprise est de 3750 shekels en 2007. Le budget global de l’Autorité chargée des petites et moyennes entreprises pour tout Israël s’élève à quinze millions de shekels.


Daniel Matsliah, directeur de l’Autorité, a déclaré : "L’Autorité pour les petites et moyennes entreprises a opéré ces derniers temps à un véritable bouleversement de situation dont les effets sont bénéfiques aujourd’hui : on assiste à plus de persévérance de la part des candidats et le nombre d’emplois dans l’industrie s’est accru grâce aux différents centres de développement des initiatives individuelles".

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Où convient-il d’investir dans l’immobilier en Israel ?

Source : Arouts Sheva
http://www.a7fr.com/


Un journal local de la région du Sharon a demandé à Pini Shafir, un des deux associés propriétaires de l’agence immobilière R.P. Propriétés, groupe d’investissement immobilier, d’indiquer où il était le plus valable d’investir en achetant une propriété.

"Aujourd’hui je conseillerais d’investir dans le secteur Hadar d’Hod Hasharon, étant donné qu’il s’agit d’une région clef et jeune, avec de bonnes infrastructures, comme le train, les jardins d’enfants et les écoles. Cette région est également très accessible aux diverses voies de transports."

"Un autre endroit dans lequel je conseille d’investir c’est la ville de Raanana. Ces dernières années, Raanana a fait un bond au niveau des prix, du fait de l’importante immigration d’Angleterre et de France. Le dollar faible et l’euro fort leur ont permis d’acheter des appartements à des prix plus élevés et en Israël on a su en profiter. Cependant, cela vaut le coup d’investir à Raanana, car il s’agit d’une ville bien entretenue, belle et variée."

"Il y a une population diversifiée, composée de gens non pratiquants et de personnes religieuses, d’Israéliens de souche et d’immigrants d’origine anglo-saxonne, etc. J’ai l’impression qu’ici les prix ne sont pas encore arrivés à leur maximum," a répondu Shafir, lui-même résident de Raanana.

On remarque en effet que 19,4 % des personnes résidant à l’étranger, et qui ont acheté un appartement en Israël en 2006, l’ont fait dans la région Netanya-Herzlia-Raanana à un prix moyen de 1,64 millions de shekels. Les Israéliens se contentent d’un appartement quelque peu moins cher, avec une moyenne de 983 000 shekels pour une propriété dans cette région.

D’après The Marker, la partie économique du journal israélien Haaretz, dans cette région le prix des appartements a augmenté de dizaines de pourcents ces dernières années. Il s’agit en effet de la région où les Israéliens et les résidents de l’étranger ont payé en 2006 les prix moyens les plus élevés du pays.

Reste que d’après un rapport publié fin octobre, la plupart des appartements vendus en Israël n’ont pas coûté plus de 600 000 shekels. Le marché de l’immobilier reste donc à un niveau de prix peu élevés, sauf dans certains endroits qui ne sont pas un critère (Tel Aviv, la région du Sharon et Jérusalem).

En tout, les résidents de l’étranger ont acquis 4 932 appartements l’an passé (contre 5 263 transactions réalisées en 2005). Le prix moyen d’un appartement acquis par un étranger est de 1,3 millions de shekels, contre seulement 681 000 shekels par les Israéliens. Si le nombre de transactions réalisées a diminué, leur prix moyen a marqué une hausse de 7,4 % par rapport à 2005.

Par ailleurs, à Tel Aviv les résidents de l’étranger ont acquis 789 appartements, ce qui représente environ 7 % de l’ensemble des transactions faites dans la ville. Si les Israéliens paient en moyenne 819 000 shekels pour un appartement à Tel Aviv, les étrangers mettent 1,53 millions de shekels. Il s’agit d’un écart de 87 %.

12,3 % des résidents de l’étranger qui ont acheté une propriété en Israël ont préféré le faire dans la région de Réhovot-Ashdod-Rishon Létsion (la plupart à Ashdod, apparemment), pour un prix moyen de 909 000 shekels. En revanche dans cette région, les Israéliens se sont contentés d’appartements coûtant en moyenne 650 000 shekels.

13,4 % des appartements acquis par des résidents de l’étranger sont situés dans le sud du pays, principalement à Eilat. Ils ont coûté en moyenne 622 000 shekels, contre 364 000 shekels pour ceux acquis par les Israéliens.

Et où trouve-t-on les appartements les moins chers du pays ? Dans la Galilée centrale et orientale, dans des villes comme Afoula, Nazareth, Safed, Beit Shean, Tibériade, Hatsor HaGlilit et Kiryat Shmona, des appartements ont été achetés pour 240 000 à 270 000 shekels. Dans le sud, le prix moyen d’un appartement neuf est de 482 000 shekels.

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